Saly-Portudal (Mbour), 16 nov (APS) – L’Agence nationale de la maison de l’outil (ANAMO) constitue ‘’une forte contribution’’, un document de référence de la politique économique et sociale globale du Sénégal, en l’occurrence le Plan Sénégal émergent (PSE), a indiqué le ministre de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat, Mamadou Talla.
Il a, par conséquent, invité le Bureau opérationnel de suivi du PSE à appuyer le programme d’urgence de réhabilitation et d’équipement des 36 maisons de l’outil qui constituent ‘’le patrimoine foncier’’ de l’ANAMO.
M. Talla présidait samedi, à Saly-Portudal (Mbour) le démarrage des travaux de la table ronde de deux jours sur la présentation et le partage du concept de maison de l’outil et du projet d’investissement de l’ANAMO pour l’horizon 2020.
‘’Il y a théoriquement 36 maisons de l’outil, mais nous en avions trouvé que deux. Aujourd’hui, nous en sommes à sept. L’ambition et les idées sont toutes là et depuis très longtemps nous sommes en train de nous battre pour pouvoir trouver des moyens pour que ce maillon essentiel qui nous manquait’, a déclaré Mamadou Talla.
Selon lui, dans le domaine de la formation professionnelle, le partenariat est ‘’un levier indispensable’’ et ‘’un outil stratégique majeur’’ pour répondre à la fois aux exigences du marché du travail et à la problématique de l’insertion socioprofessionnelle des sortants des centres de formation classique.
‘’Notre ambition c’est que dans les années à venir, les futurs artisans du Sénégal, comme dans tous les pays du monde, sortis de nos centre de formation (...) puissent créer une multitude de petites et moyennes entreprises (PME). C’est là qu’on commencerait à parler, en réalité, d’émergence et de la résolution définitive des problèmes du chômage’’, a fait valoir M. Talla.
‘’Les grandes entreprises emploient beaucoup de jeunes, mais l’innovation viendrait de notre possibilité et de notre faculté à observer des mutations dans le domaine de la formation professionnelle’’, a dit M. Talla.
Pour sa part, le Directeur général de l'ANAMO), El hadji Malick Mbaye, a dit ‘’son ambition de positionner’’ sa structure comme ‘’le bras technique’’ du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat en matière d’insertion.
Il a indiqué que ce pari ne peut être gagné qu’avec le concours de tous les acteurs, pour leur permettre à l’insertion de trouver ‘’un terreau fertile’’ pour se développer.
‘’Une telle préoccupation se justifie par le fait que le Plan Sénégal (PSE) suggère une réinvention de l’éducation et de la formation. Le ministère l’a très bien compris en initiant le projet de lycées professionnels dont le mérite sera de diminuer sensiblement le taux de déscolarisation et d’inscrire les jeunes dans une dynamique de professionnalisation'', a-t-il expliqué.
ADE/AD
Il a, par conséquent, invité le Bureau opérationnel de suivi du PSE à appuyer le programme d’urgence de réhabilitation et d’équipement des 36 maisons de l’outil qui constituent ‘’le patrimoine foncier’’ de l’ANAMO.
M. Talla présidait samedi, à Saly-Portudal (Mbour) le démarrage des travaux de la table ronde de deux jours sur la présentation et le partage du concept de maison de l’outil et du projet d’investissement de l’ANAMO pour l’horizon 2020.
‘’Il y a théoriquement 36 maisons de l’outil, mais nous en avions trouvé que deux. Aujourd’hui, nous en sommes à sept. L’ambition et les idées sont toutes là et depuis très longtemps nous sommes en train de nous battre pour pouvoir trouver des moyens pour que ce maillon essentiel qui nous manquait’, a déclaré Mamadou Talla.
Selon lui, dans le domaine de la formation professionnelle, le partenariat est ‘’un levier indispensable’’ et ‘’un outil stratégique majeur’’ pour répondre à la fois aux exigences du marché du travail et à la problématique de l’insertion socioprofessionnelle des sortants des centres de formation classique.
‘’Notre ambition c’est que dans les années à venir, les futurs artisans du Sénégal, comme dans tous les pays du monde, sortis de nos centre de formation (...) puissent créer une multitude de petites et moyennes entreprises (PME). C’est là qu’on commencerait à parler, en réalité, d’émergence et de la résolution définitive des problèmes du chômage’’, a fait valoir M. Talla.
‘’Les grandes entreprises emploient beaucoup de jeunes, mais l’innovation viendrait de notre possibilité et de notre faculté à observer des mutations dans le domaine de la formation professionnelle’’, a dit M. Talla.
Pour sa part, le Directeur général de l'ANAMO), El hadji Malick Mbaye, a dit ‘’son ambition de positionner’’ sa structure comme ‘’le bras technique’’ du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat en matière d’insertion.
Il a indiqué que ce pari ne peut être gagné qu’avec le concours de tous les acteurs, pour leur permettre à l’insertion de trouver ‘’un terreau fertile’’ pour se développer.
‘’Une telle préoccupation se justifie par le fait que le Plan Sénégal (PSE) suggère une réinvention de l’éducation et de la formation. Le ministère l’a très bien compris en initiant le projet de lycées professionnels dont le mérite sera de diminuer sensiblement le taux de déscolarisation et d’inscrire les jeunes dans une dynamique de professionnalisation'', a-t-il expliqué.
ADE/AD