(APS) - L’accès au crédit a été identifié comme un problème récurrent dans les différents secteurs d’activité par le rapport produit par les conseils de quartiers et exposé au cours du forum sur l’emploi des jeunes et la formation organisé samedi à Saint-Louis par l’Agence de développement communal (ADC).
A coté du problème d’accès au crédit, les six domaines d’activités où les jeunes sont les plus présents sont le commerce, la pêche, l’agriculture et l’élevage, l’artisanat, l’éducation le transport et le tourisme, indique le document qui relève que ‘’le manque de formation constitue également un goulot d’étranglement’’ pour les jeunes.
Ainsi les quinze conseils de quartiers qui se sont exprimés ont formulé des doléances pour la mise en place d’écoles de formation aux métiers de la pêche, du transport, du commerce et du tourisme où l’informel règne en maître.
Paradoxalement, ce rapport note le peu de jeunes inscrits — seulement une cinquantaine — à l’école d’élevage pour un établissement d’un niveau assez appréciable avec des enseignants de bon niveau.
Un appel a été lancé aux jeunes pour s’approcher de cet établissement qui peut jouer un rôle important dans la formation et la résorption du chômage dans la ville de Saint-Louis.
L’agriculture également, malgré les potentialités dont regorge la vallée du fleuve Sénégal, s’est signalée par le peu de jeunes qui y sont engagés. Dans ce rapport qui appelle les jeunes à s’investir davantage dans ce secteur porteur d’emplois avec les différents programmes développés par le gouvernement, ils sont au nombre de 1.000. Ce qui est dérisoire, si l’on sait que les jeunes avoisinent le chiffre de 150.000.
Dans le secteur de l’éducation, le document souligne que les jeunes diplômés au chômage donnent des cours du soir à leurs cadets dans les quartiers moyennant une rémunération. Mais ils sont confrontés à des problèmes de locaux pour dispenser leurs cours à coté du manque de subvention pour se doter d’un équipement minimal.
Il a été demandé aux autorités d’agir pour régler ce problème en autorisant au moins l’accès des écoles à ces jeunes débrouillards et à leurs élèves les jours non ouvrables.
Durant la plénière qui a suivi l’exposé des différents responsables de structures invités à ce forum, les jeunes ont aussi émis le souhait d’être recrutés prioritairement dans les travaux engagés dans la ville avec notamment les travaux pour l’embellissement de la berge et les routes, et le pont Faidherbe.
Ce chantier a été attribué à l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public (AGETIP).
A coté du problème d’accès au crédit, les six domaines d’activités où les jeunes sont les plus présents sont le commerce, la pêche, l’agriculture et l’élevage, l’artisanat, l’éducation le transport et le tourisme, indique le document qui relève que ‘’le manque de formation constitue également un goulot d’étranglement’’ pour les jeunes.
Ainsi les quinze conseils de quartiers qui se sont exprimés ont formulé des doléances pour la mise en place d’écoles de formation aux métiers de la pêche, du transport, du commerce et du tourisme où l’informel règne en maître.
Paradoxalement, ce rapport note le peu de jeunes inscrits — seulement une cinquantaine — à l’école d’élevage pour un établissement d’un niveau assez appréciable avec des enseignants de bon niveau.
Un appel a été lancé aux jeunes pour s’approcher de cet établissement qui peut jouer un rôle important dans la formation et la résorption du chômage dans la ville de Saint-Louis.
L’agriculture également, malgré les potentialités dont regorge la vallée du fleuve Sénégal, s’est signalée par le peu de jeunes qui y sont engagés. Dans ce rapport qui appelle les jeunes à s’investir davantage dans ce secteur porteur d’emplois avec les différents programmes développés par le gouvernement, ils sont au nombre de 1.000. Ce qui est dérisoire, si l’on sait que les jeunes avoisinent le chiffre de 150.000.
Dans le secteur de l’éducation, le document souligne que les jeunes diplômés au chômage donnent des cours du soir à leurs cadets dans les quartiers moyennant une rémunération. Mais ils sont confrontés à des problèmes de locaux pour dispenser leurs cours à coté du manque de subvention pour se doter d’un équipement minimal.
Il a été demandé aux autorités d’agir pour régler ce problème en autorisant au moins l’accès des écoles à ces jeunes débrouillards et à leurs élèves les jours non ouvrables.
Durant la plénière qui a suivi l’exposé des différents responsables de structures invités à ce forum, les jeunes ont aussi émis le souhait d’être recrutés prioritairement dans les travaux engagés dans la ville avec notamment les travaux pour l’embellissement de la berge et les routes, et le pont Faidherbe.
Ce chantier a été attribué à l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public (AGETIP).