Saint-Louis, 18 fév (APS) - Le chef de la division coopération du ministère de l’Economie et des Finances, Mamour Ousmane Bâ, a salué les efforts consentis par le Grand Duché de Luxembourg, l’un des rares pays à avoir porté son aide publique au développement à hauteur de 1 % de son PIB.
‘’La coopération avec le Luxembourg est très fructueuse et j’irai même jusqu’à qualifier ce pays de petit géant au vue du nombre de ses habitants (465 000) et de sa superficie (2590 Km2)’’, déclare M. Bâ au cours d’une conférence de presse introduite mercredi dans le cadre du comité de pilotage du programme bilatéral Sénégal-Luxembourg.
Il est ensuite revenu sur les différentes instances de coordination de ce programme indicatif de coopération qui réunissait pour la première fois son comité de coordination prévu alternativement dans les zones d’innervation que sont les régions de Matam, Louga et Saint-Louis.
Le projet prévoit d’intervenir aussi dans la région de Thiès dans les domaines de l’assainissement et de l’enseignement technique et professionnel qui constituent avec la santé, la gouvernance les principaux domaines ciblés.
Dans ce cadre, le Luxembourg a entrepris une réhabilitation du lycée technique André Peytavin de Saint-Louis ainsi que plusieurs autres activités dont les premiers jalons sont en train d’être posés pour ce programme qui s’étend de 2007 à 2011.
Quant au chef de bureau de la coopération luxembourgeoise, Jacques Flies, il a donné des garanties pour le déroulement de ce programme conformément aux engagements pris par les autorités politiques de son pays malgré la crise économique internationale.
Il a rappelé els premiers pas effectués par son pays à Saint-Louis où a été enregistré la première action vers els années 80 avec les travaux d’extension et de rénovation de l’hôpital régional. Plus tard, les deux pays son arrivés à signer un programme d’indicatif de coopération qui a été suivi d’un autre en cours et évalué à plus 34 milliards.
Les interventions du Luxembourg s’inscrivent dans le cadre de la politique globale du gouvernement sénégalais par le biais du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP), souligne M. Flies.
‘’La coopération avec le Luxembourg est très fructueuse et j’irai même jusqu’à qualifier ce pays de petit géant au vue du nombre de ses habitants (465 000) et de sa superficie (2590 Km2)’’, déclare M. Bâ au cours d’une conférence de presse introduite mercredi dans le cadre du comité de pilotage du programme bilatéral Sénégal-Luxembourg.
Il est ensuite revenu sur les différentes instances de coordination de ce programme indicatif de coopération qui réunissait pour la première fois son comité de coordination prévu alternativement dans les zones d’innervation que sont les régions de Matam, Louga et Saint-Louis.
Le projet prévoit d’intervenir aussi dans la région de Thiès dans les domaines de l’assainissement et de l’enseignement technique et professionnel qui constituent avec la santé, la gouvernance les principaux domaines ciblés.
Dans ce cadre, le Luxembourg a entrepris une réhabilitation du lycée technique André Peytavin de Saint-Louis ainsi que plusieurs autres activités dont les premiers jalons sont en train d’être posés pour ce programme qui s’étend de 2007 à 2011.
Quant au chef de bureau de la coopération luxembourgeoise, Jacques Flies, il a donné des garanties pour le déroulement de ce programme conformément aux engagements pris par les autorités politiques de son pays malgré la crise économique internationale.
Il a rappelé els premiers pas effectués par son pays à Saint-Louis où a été enregistré la première action vers els années 80 avec les travaux d’extension et de rénovation de l’hôpital régional. Plus tard, les deux pays son arrivés à signer un programme d’indicatif de coopération qui a été suivi d’un autre en cours et évalué à plus 34 milliards.
Les interventions du Luxembourg s’inscrivent dans le cadre de la politique globale du gouvernement sénégalais par le biais du Document de stratégie de réduction de la pauvreté (DSRP), souligne M. Flies.