Dakar, 1-er fév (APS) – Un atelier de la Banque mondiale (BM) s’est ouvert lundi à Dakar, à l’intention de 18 pays africains, pour améliorer les procédures d’étude de l’impact des projets de l’institution dans le secteur financier et privé.
18 pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Europe centrale sont représentés par quelque 130 participants à cette réunion qui se poursuit jusqu’à jeudi.
Cette rencontre doit permettre d’améliorer l’évaluation des projets de la BM dans les pays --- dont le Sénégal --- prenant part à la réunion.
En Afrique, ‘’les entreprises conçoivent le coût du financement comme un obstacle à l’investissement’’, a relevé Marilou Jane Uy, chargée de l’administration du secteur financier et privé pour l’Afrique, à la BM.
La BM envisage de mettre une équipe de recherche chargée de l’évaluation de 18 projets financiers à mettre en œuvre prochainement, a-t-elle fait savoir.
‘’C’est un atelier de très haut niveau. L’évaluation d’impact est très importante et très difficile. Elle permet d’évaluer l’impact d’un programme politique. C’est difficile de mesurer l’impact de programmes dans lesquels nous mettons des ressources rares’’, a expliqué Aminata Niane, directrice général de l’Agence chargée de la promotion de l’investissement au Sénégal (APIX).
‘’Il est intéressant que les gens se réunissent régulièrement pour améliorer ce que nous faisons. (…) Personne n’a le monopole de l’évaluation’’, a dit Mme Niane. Elle préconise une approche participative, dans ce domaine.
La BM suivra une nouvelle approche dans l’évaluation de l’impact de ses projets, expliquent les organisateurs de l’atelier. Ils préconisent de faire ‘’connaître le lien entre la cause et l’effet’’ en matière d’évaluation de l’impact des projets.
‘’Une mauvaise évaluation de l’impact d’un projet donne lieu à de mauvaises orientations d’un projet’’, a fait savoir Arianna Legovini, chef du Programme d’évaluation de l’impact des projets, à la BM.
La BM intervient dans l’amélioration du climat des investissements, de la réglementation du secteur privé financier et de la réforme du secteur public des pays membres représentés à cet atelier.
18 pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Europe centrale sont représentés par quelque 130 participants à cette réunion qui se poursuit jusqu’à jeudi.
Cette rencontre doit permettre d’améliorer l’évaluation des projets de la BM dans les pays --- dont le Sénégal --- prenant part à la réunion.
En Afrique, ‘’les entreprises conçoivent le coût du financement comme un obstacle à l’investissement’’, a relevé Marilou Jane Uy, chargée de l’administration du secteur financier et privé pour l’Afrique, à la BM.
La BM envisage de mettre une équipe de recherche chargée de l’évaluation de 18 projets financiers à mettre en œuvre prochainement, a-t-elle fait savoir.
‘’C’est un atelier de très haut niveau. L’évaluation d’impact est très importante et très difficile. Elle permet d’évaluer l’impact d’un programme politique. C’est difficile de mesurer l’impact de programmes dans lesquels nous mettons des ressources rares’’, a expliqué Aminata Niane, directrice général de l’Agence chargée de la promotion de l’investissement au Sénégal (APIX).
‘’Il est intéressant que les gens se réunissent régulièrement pour améliorer ce que nous faisons. (…) Personne n’a le monopole de l’évaluation’’, a dit Mme Niane. Elle préconise une approche participative, dans ce domaine.
La BM suivra une nouvelle approche dans l’évaluation de l’impact de ses projets, expliquent les organisateurs de l’atelier. Ils préconisent de faire ‘’connaître le lien entre la cause et l’effet’’ en matière d’évaluation de l’impact des projets.
‘’Une mauvaise évaluation de l’impact d’un projet donne lieu à de mauvaises orientations d’un projet’’, a fait savoir Arianna Legovini, chef du Programme d’évaluation de l’impact des projets, à la BM.
La BM intervient dans l’amélioration du climat des investissements, de la réglementation du secteur privé financier et de la réforme du secteur public des pays membres représentés à cet atelier.