Bacombel (Sandiara), 13 oct (APS) - L’implication des populations et surtout celle des jeunes dans le projet-pilote écovillage de Bacombel est une réalité, a indiqué mercredi le président du Conseil rural de Sandiara, Aliou Faye.
Cette implication, on peut déjà la percevoir à travers toutes les actions entreprises au niveau du périmètre et la mise en place d’infrastructures essentielles à la bonne marche du projet, a-t-il indiqué en marge de la visite du minsitre chargé des Ecovillages, des Bassins de rétention, des Las artificiels et de la Pisciculture dans le département de Mbour.
"Cette implication des populations de Bacoumel, notamment les jeunes et les femmes dans les actions de planification et de lutte contre la pauvreté, de conservation participative de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques prouve que celles-ci se sont bien appropriées le projet et sont conscientes des enjeux de développement durable que celui-ci pourra contribuer à résoudre dans la zone", a-t-il poursuivi.
C’est pourquoi le Conseil rural s’est engagé à "une contribution substantielle" dans le cadre du co-financement du projet écovillage PNUD FEM.
Une contribution estimée à plus de 106 millions de francs Cfa pour la période 2011-2015. Concrètement, il s’agit d’apports en nature à travers la main d’œuvre, la mise à disposition d’infrastructures de base, de terres arables, entre autres.
"Les trois micro-projets destinés aux jeunes et aux femmes constituent une preuve suffisante de la volonté du Gouvernement du Sénégal de lutter contre la pauvreté et de leur assurer de meilleures conditions de vie", a souligné Aliou Faye.
Le projet-pilote écovillage de Bacoumel dont le financement est l’œuvre d’une parfaite entente entre le PNUD FEM et la Communauté rurale de Sandiara a pour principal objectif de contribuer "de façon efficiente" a améliorer les conditions de vie et d’existence des braves populations composées essentiellement d’agriculteurs et d’éleveurs.
ADE/ASG
Cette implication, on peut déjà la percevoir à travers toutes les actions entreprises au niveau du périmètre et la mise en place d’infrastructures essentielles à la bonne marche du projet, a-t-il indiqué en marge de la visite du minsitre chargé des Ecovillages, des Bassins de rétention, des Las artificiels et de la Pisciculture dans le département de Mbour.
"Cette implication des populations de Bacoumel, notamment les jeunes et les femmes dans les actions de planification et de lutte contre la pauvreté, de conservation participative de la biodiversité, d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques prouve que celles-ci se sont bien appropriées le projet et sont conscientes des enjeux de développement durable que celui-ci pourra contribuer à résoudre dans la zone", a-t-il poursuivi.
C’est pourquoi le Conseil rural s’est engagé à "une contribution substantielle" dans le cadre du co-financement du projet écovillage PNUD FEM.
Une contribution estimée à plus de 106 millions de francs Cfa pour la période 2011-2015. Concrètement, il s’agit d’apports en nature à travers la main d’œuvre, la mise à disposition d’infrastructures de base, de terres arables, entre autres.
"Les trois micro-projets destinés aux jeunes et aux femmes constituent une preuve suffisante de la volonté du Gouvernement du Sénégal de lutter contre la pauvreté et de leur assurer de meilleures conditions de vie", a souligné Aliou Faye.
Le projet-pilote écovillage de Bacoumel dont le financement est l’œuvre d’une parfaite entente entre le PNUD FEM et la Communauté rurale de Sandiara a pour principal objectif de contribuer "de façon efficiente" a améliorer les conditions de vie et d’existence des braves populations composées essentiellement d’agriculteurs et d’éleveurs.
ADE/ASG