La lutte contre le Sida, un levier pour la promotion des programmes de développement, soutient Modou Diagne Fada
Dakar, 28 nov (APS) - La lutte contre le Sida est un ’’important’’ levier aidant à promouvoir les programmes de développement dans les pays comme le Sénégal, a estimé samedi le ministre de la Santé et de la Prévention, Modou Diagne Fada.
Selon lui, il demeure ’’incontestable’’ que la société civile, par sa contribution à la réussite de la lutte contre le Sida au Sénégal, est un acteur clé pour accélérer l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD.
Le ministre de la Santé présidait l’ouverture des travaux de la huitième assemblée générale annuelle de l’Alliance nationale contre le Sida (ANCS), axée sur le thème : ’’Droits humains liés au VIH et Accès universel’’.
Elle a enregistré la participation des associations membres de l’ANCS et a permis de faire le bilan des exercices clos des années 2007-2008-2009, mais aussi de dégager les perspectives de cette organisation de lutte contre le Sida.
Modou Diagne Fada a dit que, compte tenu de la situation du Sénégal, marquée par un contexte d’épidémie de type concentré avec taux de prévalence élevé au niveau des populations clé les plus exposées, l’accès aux offres de services liés au VIH/Sida doit être assuré de manière continue.
Une des raisons, a-t-il dit, qui a incité le chef de l’Etat à rendre gratuit l’accès aux médicaments antirétroviraux depuis 2003 et qui mérite d’être salué par tous les acteurs engagés dans la réponse.
Le ministre de la Santé a indiqué que la tenue de cette Assemblée générale donne l’occasion à d’apprécier à sa juste valeur la contribution de l’ANCS aux résultats ‘’élogieux’’ obtenus dans la riposte à la pandémie par le Sénégal.
M. Diagne a rappelé que depuis quinze ans, l’ANCS sillonne l’ensemble du territoire national pour assurer le renforcement des capacités des organisations communautaires et d’apporter l’appui technique nécessaire à la mise en œuvre des interventions de qualité.
Il a également relevé la mobilisation des ressources financières et techniques par l’ANCS, pour les organisations de la société civile et l’appui à l’élaboration et à la mise en œuvre de stratégies efficace et adaptée pour répondre aux besoins des communautés face à la pandémie du VIH.
Auparavant, le président du conseil d’administration de l’ANCS, Paul Sagna a rappelé que, depuis 16 ans, son organisation s’implique dans la lutte contre le Sida en assurant la coordination des interventions de la société civile dans le cadre du programme du Fonds mondial depuis 2005.
Revenant sur le choix du thème, il a souligné qu’au cours de la dernière décennie, le besoin ‘’crucial’’ de renforcer les droits humains pour riposter efficacement à l’épidémie et ainsi pouvoir gérer ses répercussions.
A en croire le président du conseil d’administration de l’ANCS, la protection des droits de l’homme liés au VIH et la promotion de la santé publique doivent se renforcer mutuellement.
C’est pourquoi, a dit Paul Sagna, l’ANCS dont les valeurs sont fondées sur les droits humains, la santé publique et le développement socioéconomique, s’inscrit dans cette même dynamique de lier la lutte contre le VIH/Sida aux droits humains.
A ce sujet, il a précisé que l’ANCS est résolument engagée à protéger les droits des Personnes vivant avec le VIH et des groupes vulnérables à accéder aux services de prévention, de traitement, de soins et de soutien.
LTF/ADC
Selon lui, il demeure ’’incontestable’’ que la société civile, par sa contribution à la réussite de la lutte contre le Sida au Sénégal, est un acteur clé pour accélérer l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement (OMD.
Le ministre de la Santé présidait l’ouverture des travaux de la huitième assemblée générale annuelle de l’Alliance nationale contre le Sida (ANCS), axée sur le thème : ’’Droits humains liés au VIH et Accès universel’’.
Elle a enregistré la participation des associations membres de l’ANCS et a permis de faire le bilan des exercices clos des années 2007-2008-2009, mais aussi de dégager les perspectives de cette organisation de lutte contre le Sida.
Modou Diagne Fada a dit que, compte tenu de la situation du Sénégal, marquée par un contexte d’épidémie de type concentré avec taux de prévalence élevé au niveau des populations clé les plus exposées, l’accès aux offres de services liés au VIH/Sida doit être assuré de manière continue.
Une des raisons, a-t-il dit, qui a incité le chef de l’Etat à rendre gratuit l’accès aux médicaments antirétroviraux depuis 2003 et qui mérite d’être salué par tous les acteurs engagés dans la réponse.
Le ministre de la Santé a indiqué que la tenue de cette Assemblée générale donne l’occasion à d’apprécier à sa juste valeur la contribution de l’ANCS aux résultats ‘’élogieux’’ obtenus dans la riposte à la pandémie par le Sénégal.
M. Diagne a rappelé que depuis quinze ans, l’ANCS sillonne l’ensemble du territoire national pour assurer le renforcement des capacités des organisations communautaires et d’apporter l’appui technique nécessaire à la mise en œuvre des interventions de qualité.
Il a également relevé la mobilisation des ressources financières et techniques par l’ANCS, pour les organisations de la société civile et l’appui à l’élaboration et à la mise en œuvre de stratégies efficace et adaptée pour répondre aux besoins des communautés face à la pandémie du VIH.
Auparavant, le président du conseil d’administration de l’ANCS, Paul Sagna a rappelé que, depuis 16 ans, son organisation s’implique dans la lutte contre le Sida en assurant la coordination des interventions de la société civile dans le cadre du programme du Fonds mondial depuis 2005.
Revenant sur le choix du thème, il a souligné qu’au cours de la dernière décennie, le besoin ‘’crucial’’ de renforcer les droits humains pour riposter efficacement à l’épidémie et ainsi pouvoir gérer ses répercussions.
A en croire le président du conseil d’administration de l’ANCS, la protection des droits de l’homme liés au VIH et la promotion de la santé publique doivent se renforcer mutuellement.
C’est pourquoi, a dit Paul Sagna, l’ANCS dont les valeurs sont fondées sur les droits humains, la santé publique et le développement socioéconomique, s’inscrit dans cette même dynamique de lier la lutte contre le VIH/Sida aux droits humains.
A ce sujet, il a précisé que l’ANCS est résolument engagée à protéger les droits des Personnes vivant avec le VIH et des groupes vulnérables à accéder aux services de prévention, de traitement, de soins et de soutien.
LTF/ADC
