Dakar, 25 nov (APS) - Le recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Abdou Salam Sall, a procédé, mercredi, au lancement du premier incubateur d’entreprises de l’Afrique de l’Ouest, dont l’une des missions est de favoriser l’émergence et la concrétisation de projets d’entreprises.
M. Sall a accompli ce geste en compagnie du directeur de l’Institut de recherche pour le développement (IRD), Michel Laurent et du représentant de la Coopération française et en présence des recteurs des universités de Bambey, de Saint louis, de Ziguinchor.
Financé à hauteur de 1,2 milliards de francs CFA (1,8 million d’euros), le projet d’incubateur d’entreprises est le fruit d’un partenariat entre l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’ambassade de France au Sénégal.
‘’Avec l’installation de cet incubateur, notre pays inaugure une nouvelle ère’’, a soutenu le recteur Abdou Salam Sall, relevant que ‘’le monde académique africain œuvre déjà pour la création d’entreprises’’.
M. Sall a ajouté : ‘’Nous voulons par cet incubateur apprendre à aller de la science au marché, nous voulons aider les chercheurs, les étudiants à valoriser les meilleurs idées et projets d’entreprises’’.
Logé dans l’enceinte de l’Ecole supérieure polytechnique (ESP), l’incubateur, en tant que structure, doit accompagner, favoriser l’émergence et la concrétisation d’idées, de projets en entreprises innovantes. Il a pour mission d’assister les jeunes étudiants ou chercheurs porteurs d’idées, les aider, les accompagner à transformer leurs idées en entreprises viables.
L’objectif visé est de ‘’générer une meilleure situation d’insertion professionnelle des étudiants, en les rapprochant des entreprises d’une part, d’autre part en les incitant à créer des emplois directs et indirects afin de lutter contre le chômage’’.
Le directeur de l’IRD, Michel Laurent, a estimé que le lancement de cette structure est ‘’historique’’ et illustre ‘’une fois de plus la volonté de l’IRD de participer activement, avec ses partenaires sénégalais, au renforcement des relations entre le monde académique et les entreprises, afin de contribuer à l’essor économique du Sénégal’’.
M. Laurent s’est dit ‘’convaincu’’ de l’importance que représentent l’innovation et la formation pour les pays en voies de développement.
‘’Nous devons responsabiliser les jeunes docteurs’’, a-t-il lancé, assurant que’’ l’IRD compte aider les jeunes porteurs d’idées ‘’sur la voie de la concrétisation de leurs projets’’.
A ce propos, il a cité l’exemple de deux projets de jeunes qui bénéficient déjà de l’appui de l’institut, sur les biopesticides et sur la modélisation des connaissances.
‘’Nous allons chaque année mettre une enveloppe pour faire le pré-amorçage des laboratoires et mettre en place un crédit annuel pour les jeunes doctorants‘’, a-t-il ajouté, précisant toutefois que la réussite d’une telle démarche exige un investissement collectif à longue durée.
Initié par l’Université Cheikh Anta Diop et l’IRD, avec le soutien de la Coopération française, le projet incubateur est devenu national. Il s’oriente désormais, en plus de l’UCAD, à l’ensemble des universités du pays.
Les différents partenaires ont procédé à la signature du protocole d’accord relatif à la création de l’incubateur d’entreprises.
M. Sall a accompli ce geste en compagnie du directeur de l’Institut de recherche pour le développement (IRD), Michel Laurent et du représentant de la Coopération française et en présence des recteurs des universités de Bambey, de Saint louis, de Ziguinchor.
Financé à hauteur de 1,2 milliards de francs CFA (1,8 million d’euros), le projet d’incubateur d’entreprises est le fruit d’un partenariat entre l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’ambassade de France au Sénégal.
‘’Avec l’installation de cet incubateur, notre pays inaugure une nouvelle ère’’, a soutenu le recteur Abdou Salam Sall, relevant que ‘’le monde académique africain œuvre déjà pour la création d’entreprises’’.
M. Sall a ajouté : ‘’Nous voulons par cet incubateur apprendre à aller de la science au marché, nous voulons aider les chercheurs, les étudiants à valoriser les meilleurs idées et projets d’entreprises’’.
Logé dans l’enceinte de l’Ecole supérieure polytechnique (ESP), l’incubateur, en tant que structure, doit accompagner, favoriser l’émergence et la concrétisation d’idées, de projets en entreprises innovantes. Il a pour mission d’assister les jeunes étudiants ou chercheurs porteurs d’idées, les aider, les accompagner à transformer leurs idées en entreprises viables.
L’objectif visé est de ‘’générer une meilleure situation d’insertion professionnelle des étudiants, en les rapprochant des entreprises d’une part, d’autre part en les incitant à créer des emplois directs et indirects afin de lutter contre le chômage’’.
Le directeur de l’IRD, Michel Laurent, a estimé que le lancement de cette structure est ‘’historique’’ et illustre ‘’une fois de plus la volonté de l’IRD de participer activement, avec ses partenaires sénégalais, au renforcement des relations entre le monde académique et les entreprises, afin de contribuer à l’essor économique du Sénégal’’.
M. Laurent s’est dit ‘’convaincu’’ de l’importance que représentent l’innovation et la formation pour les pays en voies de développement.
‘’Nous devons responsabiliser les jeunes docteurs’’, a-t-il lancé, assurant que’’ l’IRD compte aider les jeunes porteurs d’idées ‘’sur la voie de la concrétisation de leurs projets’’.
A ce propos, il a cité l’exemple de deux projets de jeunes qui bénéficient déjà de l’appui de l’institut, sur les biopesticides et sur la modélisation des connaissances.
‘’Nous allons chaque année mettre une enveloppe pour faire le pré-amorçage des laboratoires et mettre en place un crédit annuel pour les jeunes doctorants‘’, a-t-il ajouté, précisant toutefois que la réussite d’une telle démarche exige un investissement collectif à longue durée.
Initié par l’Université Cheikh Anta Diop et l’IRD, avec le soutien de la Coopération française, le projet incubateur est devenu national. Il s’oriente désormais, en plus de l’UCAD, à l’ensemble des universités du pays.
Les différents partenaires ont procédé à la signature du protocole d’accord relatif à la création de l’incubateur d’entreprises.