Saint Louis, 25 mai (APS) – La chargée de programme du Fonds mondial au Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS), le docteur Fatou Nar Mbaye Diouf invite les collectivités locales à accroitre leur appui à la lutte contre le VIH/Sida et à s’inspirer de l’exemple de Saint-Louis qui est ‘’un modèle’’ en matière de dépistage.
‘’Aujourd’hui, la santé est une compétence décentralisée. Même s’il y a énormément de choses que les collectivités locales sont en train de faire, il n’en demeure pas moins qu’il reste encore beaucoup à faire’’, a dit Mme Diouf dans un entretien accordé à l’APS.
Le docteur Fatou Nar Mbaye Diouf faisait partie d’une délégation dépêchée par le CNLS à la 18-ème édition du Festival de Jazz de Saint Louis (du 20 au 23 mai).
Cette mission, qui s’inscrivait dans le cadre d’un partenariat avec la Division de lutte contre le Sida et le IST, a fait dépister 4.004 personnes dont 7 sont positives et un cas jugé indéterminé.
‘’La collectivité, dans la région de Saint Louis, a mobilisé des fonds pour la lutte contre le VIH et je pense que c’est un exemple à donner à travers tout le pays, parce que chaque collectivité doit apporter une part de son budget propre pour la lutte contre le VIH’’, a indiqué le médecin.
Fatou Nar Mbaye Diouf a fait savoir que cela est un aspect qui permet de pérenniser la lutte contre le VIH/Sida, en cas de retrait des partenaires. Ce qui, pour elle, n’est pas souhaitable, parce que ‘’la lutte contre le VIH/Sida demande énormément de moyens’’.
Elle a également signalé que même si la décentralisation est arrivée à un stade ‘’très avancé’’ et avec tous les moyens dont disposent les collectivités, il est aussi important que les partenaires puissent accompagner l’Etat dans la lutte contre cette maladie
‘’Je pense, a ajouté le docteur Fatou Nar Mbaye Diouf, que le déroulement d’un plan national de lutte contre le Sida est important et nécessite l’apport de tous les partenaires’’.
Selon elle, lorsqu’on regarde de manière globale le financement du VIH/Sida, la contribution des partenaires y joue un rôle important.
C’est pourquoi elle a fait remarquer que la pérennisation des actions d’un programme nécessite aussi bien l’apport des collectivités, de l’Etat, que des partenaires.
‘’Aujourd’hui, la santé est une compétence décentralisée. Même s’il y a énormément de choses que les collectivités locales sont en train de faire, il n’en demeure pas moins qu’il reste encore beaucoup à faire’’, a dit Mme Diouf dans un entretien accordé à l’APS.
Le docteur Fatou Nar Mbaye Diouf faisait partie d’une délégation dépêchée par le CNLS à la 18-ème édition du Festival de Jazz de Saint Louis (du 20 au 23 mai).
Cette mission, qui s’inscrivait dans le cadre d’un partenariat avec la Division de lutte contre le Sida et le IST, a fait dépister 4.004 personnes dont 7 sont positives et un cas jugé indéterminé.
‘’La collectivité, dans la région de Saint Louis, a mobilisé des fonds pour la lutte contre le VIH et je pense que c’est un exemple à donner à travers tout le pays, parce que chaque collectivité doit apporter une part de son budget propre pour la lutte contre le VIH’’, a indiqué le médecin.
Fatou Nar Mbaye Diouf a fait savoir que cela est un aspect qui permet de pérenniser la lutte contre le VIH/Sida, en cas de retrait des partenaires. Ce qui, pour elle, n’est pas souhaitable, parce que ‘’la lutte contre le VIH/Sida demande énormément de moyens’’.
Elle a également signalé que même si la décentralisation est arrivée à un stade ‘’très avancé’’ et avec tous les moyens dont disposent les collectivités, il est aussi important que les partenaires puissent accompagner l’Etat dans la lutte contre cette maladie
‘’Je pense, a ajouté le docteur Fatou Nar Mbaye Diouf, que le déroulement d’un plan national de lutte contre le Sida est important et nécessite l’apport de tous les partenaires’’.
Selon elle, lorsqu’on regarde de manière globale le financement du VIH/Sida, la contribution des partenaires y joue un rôle important.
C’est pourquoi elle a fait remarquer que la pérennisation des actions d’un programme nécessite aussi bien l’apport des collectivités, de l’Etat, que des partenaires.