Le rapport, dont le thème est : « Les ressources naturelles au service du développement durable de l’Afrique », dresse un état des lieux des ressources renouvelables et non renouvelables du continent (eau, forêts, minéraux), les changements climatiques et leur meilleur utilisation possible pour accroître et soutenir la croissance pour le développement et la réduction de la pauvreté. La déforestation est un sérieux problème et les pertes annuelles sont estimées à 4 millions d’hectares ; d’où l’invite faite dans le rapport à une intervention pour changer les politiques et pratiques de gestion forestière. En effet, les forêts constituent un vaste potentiel économique mais partiellement exploité.
Les écosystèmes forestiers peuvent jouer des rôles multiples et les forêts contribuent à réguler le climat et améliorer l’environnement, estime le rapport. « L’Afrique est le continent le plus touché par les changements climatique et pourtant c’est le moins pollueur. La communauté internationale, toutes les parties prenantes au développement y compris le secteur privé ont un grand rôle à jouer dans l’adaptation et la gestion des risques », ajoute le document.
L’Afrique occupe le premier rang pour la production et les réserves en or, diamant, aluminium, phosphate, et de beaucoup d’autres minéraux mais ne tire pas profit de la vente de ces ressources. C’est le cas pour le pétrole brut et le gaz qui représente respectivement 17 et 18 pour cent des exportations mondiales, précise le rapport. Cependant, il ressort également du rapport que malgré cette abondance des ressources, on note une stagnation économique et une instabilité. Les pays les plus riches en ressources sont moins performants que les plus démunis qui ont bénéficié de leur position géographique (côtiers) pour développer d’autres secteurs.
Il relève également le paradoxe de l’abondance des ressources dont dispose l’Afrique. La question de savoir comment mettre les ressources naturelles au service des pauvres a été évoquée dans le rapport qui en dernier lieu propose des perspectives pour le développement du continent.
Le continent doit relever le défi de la bonne gouvernance en misant sur la transparence et le développement du capital humain, suggère le rapport. Un autre défi non moins important, la maîtrise des cours mondiaux, la dépendance d’une seule ou quelques matières premières et éviter les conflits armés nés souvent de la pauvreté, la faible croissance et les inégalités. Une distribution équitable entre l’environnement, la croissance économique et la gouvernance sont des éléments essentiels étroitement liés pour que les ressources naturelles servent aux pauvres, souligne le rapport.
Il met l’accent sur les perspectives pour mettre le continent sur la voie du développement avec notamment quelques clés à savoir, obtenir plus de recettes, la transparence et la responsabilisation, le renforcement de la gouvernance et des institutions, une politique économique saine, des investissements publics et la mise en place d’un fonds pour le futur à travers des bénéfices générationnels.
Les écosystèmes forestiers peuvent jouer des rôles multiples et les forêts contribuent à réguler le climat et améliorer l’environnement, estime le rapport. « L’Afrique est le continent le plus touché par les changements climatique et pourtant c’est le moins pollueur. La communauté internationale, toutes les parties prenantes au développement y compris le secteur privé ont un grand rôle à jouer dans l’adaptation et la gestion des risques », ajoute le document.
L’Afrique occupe le premier rang pour la production et les réserves en or, diamant, aluminium, phosphate, et de beaucoup d’autres minéraux mais ne tire pas profit de la vente de ces ressources. C’est le cas pour le pétrole brut et le gaz qui représente respectivement 17 et 18 pour cent des exportations mondiales, précise le rapport. Cependant, il ressort également du rapport que malgré cette abondance des ressources, on note une stagnation économique et une instabilité. Les pays les plus riches en ressources sont moins performants que les plus démunis qui ont bénéficié de leur position géographique (côtiers) pour développer d’autres secteurs.
Il relève également le paradoxe de l’abondance des ressources dont dispose l’Afrique. La question de savoir comment mettre les ressources naturelles au service des pauvres a été évoquée dans le rapport qui en dernier lieu propose des perspectives pour le développement du continent.
Le continent doit relever le défi de la bonne gouvernance en misant sur la transparence et le développement du capital humain, suggère le rapport. Un autre défi non moins important, la maîtrise des cours mondiaux, la dépendance d’une seule ou quelques matières premières et éviter les conflits armés nés souvent de la pauvreté, la faible croissance et les inégalités. Une distribution équitable entre l’environnement, la croissance économique et la gouvernance sont des éléments essentiels étroitement liés pour que les ressources naturelles servent aux pauvres, souligne le rapport.
Il met l’accent sur les perspectives pour mettre le continent sur la voie du développement avec notamment quelques clés à savoir, obtenir plus de recettes, la transparence et la responsabilisation, le renforcement de la gouvernance et des institutions, une politique économique saine, des investissements publics et la mise en place d’un fonds pour le futur à travers des bénéfices générationnels.