Répondant à la question du journaliste de Jeune Afrique sur les retombées concrètes que peuvent attendre les sénégalais sur le Plan Sénégal Emergent à l'issue de sa première séquence en 2018, le président Macky Sall a répondu : "Il s'agit en fait d'un plan divisé en séquences de dix années ayant 2035 pour horizon. Mais nous avons effectivement élaboré une première tranche prioritaire quinquennale. C'est elle qui était concernée par le Groupe Consultatif de Paris pour l'obtention de 20 milliards de dollars soit 10 000 milliards de F CFA sur les cinq prochaines années. Nous avons obtenu l'intégralité de ce financement d'ici 2018. Ce qui est très encourageant et démontre que les bailleurs ont confiance en nous.
Alors qu'est ce qui va changer? Le système productif sénégalais d'abord, et en particulier l'agriculture, en conjuguant son volet traditionnel et l'agro-industrie. Cela passe, entre autres, par l'amélioration de nos infrastructures. Ainsi nous démarrerons la construction de 120 km d'autoroutes d'ici au début de 2015. Nous avons également lancé des productions d'énergie indépendantes pour près de 500 mégawatts avec un mix charbon, hydroélectricité, solaire et fioul. Cela va non seulement nous permettre, d'ici en 2016, de répondre à la demande et d'améliorer la qualité du service et de baisser les coûts de l'électricité. Nous nous occupons également du capital humain, de la politique de protection sociale, de la couverture maladie, des bourses de sécurité familiale, etc.
Cette année, pour la première dans l'histoire du pays, nous comptons 15 milliards de F CFA de transferts directs du budget national aux familles pauvres.
Dakaractu
Alors qu'est ce qui va changer? Le système productif sénégalais d'abord, et en particulier l'agriculture, en conjuguant son volet traditionnel et l'agro-industrie. Cela passe, entre autres, par l'amélioration de nos infrastructures. Ainsi nous démarrerons la construction de 120 km d'autoroutes d'ici au début de 2015. Nous avons également lancé des productions d'énergie indépendantes pour près de 500 mégawatts avec un mix charbon, hydroélectricité, solaire et fioul. Cela va non seulement nous permettre, d'ici en 2016, de répondre à la demande et d'améliorer la qualité du service et de baisser les coûts de l'électricité. Nous nous occupons également du capital humain, de la politique de protection sociale, de la couverture maladie, des bourses de sécurité familiale, etc.
Cette année, pour la première dans l'histoire du pays, nous comptons 15 milliards de F CFA de transferts directs du budget national aux familles pauvres.
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