Le partenariat entre le Sénégal et le Fonds des Nations pour la population (Unfpa) a été salué par directeur national par intérim de la Population et de la Planification du développement humain, Assane Ndiaye.
Il a fait cette déclaration le 12 février 2010 à Thiès, dans le cadre d’un atelier d’évaluation et de planification sur la Santé de la reproduction des adolescents. Le nouveau schéma de coordination du programme a été expliqué aux nombreux participants venus des départements de Mbour, Tivaouane et Thiès et œuvrant, en partie, dans l’encadrement des jeunes. C’est pourquoi, a dit le directeur de la Population et de la Planification du développement humain, « les différentes activités sont maintenant sur de bons rails et devraient atteindre un bon niveau d’exécution ». Surtout dans la région de Thiès où un accent particulier est mis sur la Santé de la reproduction des adolescents, particulièrement les jeunes hors du milieu scolaire, parmi lesquels beaucoup ont moins de 20 ans, comme l’a souligné le Dr Adama Ndoye, coordonnateur du programme appuyé financièrement par le gouvernement luxembourgeois par l’entremise du Fonds des Nations unies pour la population et le développement (Unfpa).
Le Dr Ndoye d’ajouter que les liens qui existent entre les grossesses précoces, les avortements, les décès maternels et l’expansion de la pandémie du Vih/Sida sont connus. C’est pourquoi, il a insisté sur la prévention, surtout en milieu extra scolaire.
Le gouverneur-adjoint de Thiès, Birahim Ndiaye, de saluer cette belle initiative. Car, a-t-il souligné : « il est clair que la tranche d’âge ciblée constitue celle qui pose le plus de problème à l’Etat du Sénégal. Il convient, donc, de les préparer à entrer dans une nouvelle vie et aider l’Etat à ne plus avoir à se préoccuper de cette problématique ».
Mohamadou SAGNE
Le Soleil
Il a fait cette déclaration le 12 février 2010 à Thiès, dans le cadre d’un atelier d’évaluation et de planification sur la Santé de la reproduction des adolescents. Le nouveau schéma de coordination du programme a été expliqué aux nombreux participants venus des départements de Mbour, Tivaouane et Thiès et œuvrant, en partie, dans l’encadrement des jeunes. C’est pourquoi, a dit le directeur de la Population et de la Planification du développement humain, « les différentes activités sont maintenant sur de bons rails et devraient atteindre un bon niveau d’exécution ». Surtout dans la région de Thiès où un accent particulier est mis sur la Santé de la reproduction des adolescents, particulièrement les jeunes hors du milieu scolaire, parmi lesquels beaucoup ont moins de 20 ans, comme l’a souligné le Dr Adama Ndoye, coordonnateur du programme appuyé financièrement par le gouvernement luxembourgeois par l’entremise du Fonds des Nations unies pour la population et le développement (Unfpa).
Le Dr Ndoye d’ajouter que les liens qui existent entre les grossesses précoces, les avortements, les décès maternels et l’expansion de la pandémie du Vih/Sida sont connus. C’est pourquoi, il a insisté sur la prévention, surtout en milieu extra scolaire.
Le gouverneur-adjoint de Thiès, Birahim Ndiaye, de saluer cette belle initiative. Car, a-t-il souligné : « il est clair que la tranche d’âge ciblée constitue celle qui pose le plus de problème à l’Etat du Sénégal. Il convient, donc, de les préparer à entrer dans une nouvelle vie et aider l’Etat à ne plus avoir à se préoccuper de cette problématique ».
Mohamadou SAGNE
Le Soleil