A mi-parcours de son exécution, le Projet de développement local participatif (Pdlp) se fixe de nouvelles orientations prenant en compte la mobilisation des ressources devant permettre l’exécution des programmes.
Ces directions tournent autour de la mobilisation totale des contreparties par les différentes parties pour boucler toutes les conventions de financement et entamer de nouvelles conventions. La décision de les mettre en œuvre trouve en partie sa justification dans les lenteurs liées au décaissement des fonds alloués au projet. Financé à hauteur de 25 milliards Fcfa par le gouvernement du Sénégal, la Banque mondiale et d’autres bailleurs, le Pdlp n’a absorbé que 37 % de ses ressources, selon le secrétaire exécutif, Samba Guèye, qui s’exprimait lors de la revue à mi-parcours. Le secrétaire exécutif demande la relecture de la prise en compte des différentes familles d’acteurs qui soutiennent la mise en œuvre du projet pour plus d’efficacité et d’autonomie, une démarche prospective dans la déclinaison des activités pour éviter le piège classique de gestion de projets, etc. Les différents résultats obtenus par le Pdlp sont articulés autour de l’actualisation du cadre légal, réglementaire et législatif de la Décentralisation par l’entame des axes de travail autour des meilleures conditions d’exercice de la Fonction publique locale, l’amélioration des sources de financement du développement local, l’arrimage de la déconcentration à la politique de décentralisation, le recentrage des modalités paritaires de la mise en œuvre des activités de formation et de communication. Sur le plan opérationnel, la signature de la convention de financement a permis la mise en œuvre de 1.647 micros projets inscrits dans les plans annuels d’investissements.
Un volet ciblant la planification locale avec l’intégration des dimensions, Genre et Tic a été démarrée, selon M. Guèye. Toutefois, le délai requis pour finaliser ces axes de travail semblent très réduit au regard de l’ampleur des activités et du temps nécessaire pour leur finalisation. Le projet arrive à terme en fin 2009. C’est pourquoi, les participants ont plaidé la prorogation de la durée d’exécution du projet au 31 décembre 2011.
B. DIONE
Le Soleil
Ces directions tournent autour de la mobilisation totale des contreparties par les différentes parties pour boucler toutes les conventions de financement et entamer de nouvelles conventions. La décision de les mettre en œuvre trouve en partie sa justification dans les lenteurs liées au décaissement des fonds alloués au projet. Financé à hauteur de 25 milliards Fcfa par le gouvernement du Sénégal, la Banque mondiale et d’autres bailleurs, le Pdlp n’a absorbé que 37 % de ses ressources, selon le secrétaire exécutif, Samba Guèye, qui s’exprimait lors de la revue à mi-parcours. Le secrétaire exécutif demande la relecture de la prise en compte des différentes familles d’acteurs qui soutiennent la mise en œuvre du projet pour plus d’efficacité et d’autonomie, une démarche prospective dans la déclinaison des activités pour éviter le piège classique de gestion de projets, etc. Les différents résultats obtenus par le Pdlp sont articulés autour de l’actualisation du cadre légal, réglementaire et législatif de la Décentralisation par l’entame des axes de travail autour des meilleures conditions d’exercice de la Fonction publique locale, l’amélioration des sources de financement du développement local, l’arrimage de la déconcentration à la politique de décentralisation, le recentrage des modalités paritaires de la mise en œuvre des activités de formation et de communication. Sur le plan opérationnel, la signature de la convention de financement a permis la mise en œuvre de 1.647 micros projets inscrits dans les plans annuels d’investissements.
Un volet ciblant la planification locale avec l’intégration des dimensions, Genre et Tic a été démarrée, selon M. Guèye. Toutefois, le délai requis pour finaliser ces axes de travail semblent très réduit au regard de l’ampleur des activités et du temps nécessaire pour leur finalisation. Le projet arrive à terme en fin 2009. C’est pourquoi, les participants ont plaidé la prorogation de la durée d’exécution du projet au 31 décembre 2011.
B. DIONE
Le Soleil