La promotion des droits économique, culturelle et social est au centre d’un programme citoyen mis en place par l’Ong La Kora Programme ressources et développement (Prd) qui vient de toucher 122 artisans de la commune de Tambacounda qui ont été familiarisés avec le processus électoral, l’Ipres, la caisse de sécurité sociale et les services fiscaux des impôts et des domaines.
Les écoles primaires Dépôt, Pont Médina Coura et Gouye, à proximité des centres artisanaux de la ville de Tambacounda, reçoivent après les cours des élèves particuliers qui ont tronqué marteaux, scies, rabots et autres matériels pour l’arithmétique, la géométrie et les cours de français. Tout est parti, selon Matar Anta Diop, le directeur exécutif de La Kora Prd d’une étude effectuée en 2000 qui a révélé que 66% de l’échantillonnage des artisans ne savait ni lire ni écrire, encore moins utiliser les outils modernes de mesure de précision pour créer de la valeur ajoutée dans leur entreprise artisanale. C’est pourquoi, a-t-il dit, des salles de classe ont été ouvertes pour leur permettre d’avoir des dispositions dans les domaines de la lecture de l’écriture et du calcul (géométrie, arithmétique, table de multiplication). Depuis 15 mois, ces écoles ciblées reçoivent les artisans qui, après 30 semaines de formation, ont eu droit à un programme sur la citoyenneté ainsi qu’une idée sur le fonctionnement des collectivités locales et le processus électoral (de la confection de la carte d’identité au vote).
Ces sessions ont été mises à profit pour permettre aux maîtres artisans et à leurs apprentis de se familiariser avec les institutions comme l’Ipres, la Caisse de sécurité sociale. Dans le cadre citoyen, l’accent sera mis sur la gestion des ordures artisanales, avec la mise en place de bacs. L’objectif de cette session de formation est de permettre à ces institutions d’obtenir de nouveaux créneaux et aux artisans de se mettre en phase avec l’évolution nécessaire qui doit amener les artisans à plus de citoyenneté. Ce processus rentre dans le domaine global du développement et de la promotion des droits économiques, sociaux et culturels qui restent le parent pauvre des droits de l’homme.
Le Soleil
Les écoles primaires Dépôt, Pont Médina Coura et Gouye, à proximité des centres artisanaux de la ville de Tambacounda, reçoivent après les cours des élèves particuliers qui ont tronqué marteaux, scies, rabots et autres matériels pour l’arithmétique, la géométrie et les cours de français. Tout est parti, selon Matar Anta Diop, le directeur exécutif de La Kora Prd d’une étude effectuée en 2000 qui a révélé que 66% de l’échantillonnage des artisans ne savait ni lire ni écrire, encore moins utiliser les outils modernes de mesure de précision pour créer de la valeur ajoutée dans leur entreprise artisanale. C’est pourquoi, a-t-il dit, des salles de classe ont été ouvertes pour leur permettre d’avoir des dispositions dans les domaines de la lecture de l’écriture et du calcul (géométrie, arithmétique, table de multiplication). Depuis 15 mois, ces écoles ciblées reçoivent les artisans qui, après 30 semaines de formation, ont eu droit à un programme sur la citoyenneté ainsi qu’une idée sur le fonctionnement des collectivités locales et le processus électoral (de la confection de la carte d’identité au vote).
Ces sessions ont été mises à profit pour permettre aux maîtres artisans et à leurs apprentis de se familiariser avec les institutions comme l’Ipres, la Caisse de sécurité sociale. Dans le cadre citoyen, l’accent sera mis sur la gestion des ordures artisanales, avec la mise en place de bacs. L’objectif de cette session de formation est de permettre à ces institutions d’obtenir de nouveaux créneaux et aux artisans de se mettre en phase avec l’évolution nécessaire qui doit amener les artisans à plus de citoyenneté. Ce processus rentre dans le domaine global du développement et de la promotion des droits économiques, sociaux et culturels qui restent le parent pauvre des droits de l’homme.
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