Un Comité régional de développement (Crd) consacré à « l’Initiative nationale pour la protection sociale des groupes vulnérables (Inps), « Suqali Jaboot » a eu lieu hier à Dakar. Ce projet va coûter 30 milliards de FCfa sur une période de quatre ans.
Dans le cadre de la réalisation de l’initiative nationale pour la protection sociale des groupes vulnérables (Inps), « Suqali Jaboot », lancée par le président de la République, Abdoulaye Wade, il est attendu une contribution de 10 milliards de francs Cfa de l’Etat du Sénégal et 20 milliards des partenaires techniques et financiers sur une période de quatre ans. La révélation a été faite hier par le coordonnateur du projet, Ousmane Kâ, lors d’un Comité régional de développement (Crd) consacré à l’initiative.
Députés, sénateurs, organisations communautaires de base, etc. ont pris part aux travaux qui ont pour but d’impliquer tous ces acteurs dans la réalisation du projet qui entre en droite dans le programme étatique de lutte contre la pauvreté, selon le ministre d’Etat, ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et de la Petite enfance, Ndèye Khady Diop. « L’initiative constitue une approche globale intégrée, décentralisée et participative dont l’impact sur les conditions de vie des groupes vulnérables doit être visible, pérenne et durable », a souligné le ministre qui annonce le déploiement de 60 volontaires dénommés « Acteur, porteur de dynamique communautaire (Apdc) dans la région de Dakar chargés de sensibiliser les populations sur les visées du projet et d’identifier des créneaux générateurs de revenus en faveur des couches vulnérables.
Les volontaires vont travailler en relation avec des conseils de quartiers et les élus locaux. Cette option a été saluée par les élus locaux présents à la cérémonie. Cependant, certains n’ont pas manqué d’attirer l’attention des femmes sur l’usage des fonds qui seront générés par les financements. « Après avoir lutté pour développer des activités génératrices de revenus, les femmes doivent cesser de gaspiller leur argent dans les cérémonies familiales », a dit la sénatrice Ngoné Ndoye. D’autres orateurs ont insisté sur la solidarité entre les femmes et la transparence dans la gestion des fonds.
Babacar DIONE
Le Soleil
Dans le cadre de la réalisation de l’initiative nationale pour la protection sociale des groupes vulnérables (Inps), « Suqali Jaboot », lancée par le président de la République, Abdoulaye Wade, il est attendu une contribution de 10 milliards de francs Cfa de l’Etat du Sénégal et 20 milliards des partenaires techniques et financiers sur une période de quatre ans. La révélation a été faite hier par le coordonnateur du projet, Ousmane Kâ, lors d’un Comité régional de développement (Crd) consacré à l’initiative.
Députés, sénateurs, organisations communautaires de base, etc. ont pris part aux travaux qui ont pour but d’impliquer tous ces acteurs dans la réalisation du projet qui entre en droite dans le programme étatique de lutte contre la pauvreté, selon le ministre d’Etat, ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et de la Petite enfance, Ndèye Khady Diop. « L’initiative constitue une approche globale intégrée, décentralisée et participative dont l’impact sur les conditions de vie des groupes vulnérables doit être visible, pérenne et durable », a souligné le ministre qui annonce le déploiement de 60 volontaires dénommés « Acteur, porteur de dynamique communautaire (Apdc) dans la région de Dakar chargés de sensibiliser les populations sur les visées du projet et d’identifier des créneaux générateurs de revenus en faveur des couches vulnérables.
Les volontaires vont travailler en relation avec des conseils de quartiers et les élus locaux. Cette option a été saluée par les élus locaux présents à la cérémonie. Cependant, certains n’ont pas manqué d’attirer l’attention des femmes sur l’usage des fonds qui seront générés par les financements. « Après avoir lutté pour développer des activités génératrices de revenus, les femmes doivent cesser de gaspiller leur argent dans les cérémonies familiales », a dit la sénatrice Ngoné Ndoye. D’autres orateurs ont insisté sur la solidarité entre les femmes et la transparence dans la gestion des fonds.
Babacar DIONE
Le Soleil