La petite enfance est l’honneur ce mardi à Dakar où une conférence internationale et une Journée nationale lui seront consacrées. Ceci est dû à l’importance accordée à ce secteur par le chef de l’Etat. Ainsi, d’après le ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et de la Petite enfance, 225 structures en charge de la petite enfance ont été créées sur toute l’étendue du territoire national depuis l’an 2000.
Quelque 225 structures en charge de la petite enfance ont été créées au Sénégal depuis 2000, a révélé, hier à Dakar, le ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et de la Petite enfance, Ndèye Khady Diop. ‘Depuis l’arrivée du président Abdoulaye Wade au pouvoir (en 2000), 225 structures de prises en charge de la petite enfance ont été mises en place sur toute l’étendue du territoire national’, a dit le ministre d’Etat. Mme Diop s’exprimait lors d’une conférence de presse, en prélude à la quatrième conférence internationale sur le développement de la petite enfance en Afrique, prévue du 10 au 13 novembre à Dakar.
Elle a précisé que l’idée de la création par le chef de l’Etat, de la case des tout-petits, est ‘une très belle initiative’. ‘Le président a dit qu’il fallait faire une révolution en passant par la création de la case des tout-petits. Il a eu une très belle initiative et très tôt’, a-t-elle déclaré. ‘La prise en charge de la petite enfance à commencé très tôt au Sénégal, en 1963 avec la création des premiers jardins d’enfants’, a précisé Ndèye Khady Diop, rappelant qu’auparavant la question de la petite enfance était gérée par une direction du ministère de l’Education nationale.
Hier également, un point de presse a été organisé en prélude à la tenue de la Journée nationale de la scolarisation des jeunes filles. Et la secrétaire exécutive du Cadre de coordination des interventions pour l’éducation des filles (Ccief) Aïssatou Dieng Sarr, en a profité pour soutenir que contrairement à une certaine idée, l’initiation des enfants, notamment les jeunes filles, aux disciplines scientifiques et technologiques est ‘bien possible’. ‘Si on s’adresse à une cible qui n’est pas bien avertie, on peut penser qu’au niveau de la Petite enfance, on ne peut pas développer l’initiation scientifique et technologique, or c’est bien possible dès le bas âge’, a-t-elle indiqué. ‘Si nous voulons développer les performances des filles aux autres niveaux (disciplines scientifiques et technologiques), il faut que le mal soit attaqué à la racine’, a-t-elle estimé.
La Journée, célébrée ce mercredi au Théâtre national Daniel Sorano, porte sur le thème : ‘La promotion des filles dans les filières scientifiques et techniques : quelles stratégies dès la Petite enfance’. Aïssatou Dieng Sarr a, à cette occasion, souligné que le préscolaire est un espace ‘privilégié’ pour développer les aptitudes des filles aux scientifiques et techniques. Elle a souligné que ‘la vocation du préscolaire n’est pas d’inculquer des connaissances, mais de développer des aptitudes à travers un environnement favorisant un inducteur qui permet à l’enfant de développer ses capacités dans les domaines scientifiques et technologiques’.
Selon ces initiateurs, la rencontre, organisée par le ministère de l’Enseignement préscolaire, de l’Elémentaire, du moyen secondaire et des Langues nationale, sera un moment fort de mobilisation, de plaidoyer et d’encouragement des filles à accéder et se maintenir dans les filières scientifiques et techniques. La manifestation, quatrième édition qui s’inscrit dans la dynamique de l’année 2008, se déroule dans un contexte particulier marqué par l’organisation, au Sénégal, d’une Conférence internationale sur le développement de la Petite enfance. La rencontre internationale, initiée par le ministère de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et la Petite enfance, se tient du 10 au 14 novembre.
Sur la stratégie de maintien des filles à l’école, Mme Sarr a cité entre autres réponses ’l’octroi de bourse, la création, des cantines scolaires, l’amélioration de l’environnement scolaire, mais aussi l’organisation des cours de renforcement’. Le Ccief, mis en place depuis 2002, travaille en étroite collaboration avec les partenaires impliqués dans la promotion de l’éducation des filles.
(D’après Aps)
Quelque 225 structures en charge de la petite enfance ont été créées au Sénégal depuis 2000, a révélé, hier à Dakar, le ministre de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et de la Petite enfance, Ndèye Khady Diop. ‘Depuis l’arrivée du président Abdoulaye Wade au pouvoir (en 2000), 225 structures de prises en charge de la petite enfance ont été mises en place sur toute l’étendue du territoire national’, a dit le ministre d’Etat. Mme Diop s’exprimait lors d’une conférence de presse, en prélude à la quatrième conférence internationale sur le développement de la petite enfance en Afrique, prévue du 10 au 13 novembre à Dakar.
Elle a précisé que l’idée de la création par le chef de l’Etat, de la case des tout-petits, est ‘une très belle initiative’. ‘Le président a dit qu’il fallait faire une révolution en passant par la création de la case des tout-petits. Il a eu une très belle initiative et très tôt’, a-t-elle déclaré. ‘La prise en charge de la petite enfance à commencé très tôt au Sénégal, en 1963 avec la création des premiers jardins d’enfants’, a précisé Ndèye Khady Diop, rappelant qu’auparavant la question de la petite enfance était gérée par une direction du ministère de l’Education nationale.
Hier également, un point de presse a été organisé en prélude à la tenue de la Journée nationale de la scolarisation des jeunes filles. Et la secrétaire exécutive du Cadre de coordination des interventions pour l’éducation des filles (Ccief) Aïssatou Dieng Sarr, en a profité pour soutenir que contrairement à une certaine idée, l’initiation des enfants, notamment les jeunes filles, aux disciplines scientifiques et technologiques est ‘bien possible’. ‘Si on s’adresse à une cible qui n’est pas bien avertie, on peut penser qu’au niveau de la Petite enfance, on ne peut pas développer l’initiation scientifique et technologique, or c’est bien possible dès le bas âge’, a-t-elle indiqué. ‘Si nous voulons développer les performances des filles aux autres niveaux (disciplines scientifiques et technologiques), il faut que le mal soit attaqué à la racine’, a-t-elle estimé.
La Journée, célébrée ce mercredi au Théâtre national Daniel Sorano, porte sur le thème : ‘La promotion des filles dans les filières scientifiques et techniques : quelles stratégies dès la Petite enfance’. Aïssatou Dieng Sarr a, à cette occasion, souligné que le préscolaire est un espace ‘privilégié’ pour développer les aptitudes des filles aux scientifiques et techniques. Elle a souligné que ‘la vocation du préscolaire n’est pas d’inculquer des connaissances, mais de développer des aptitudes à travers un environnement favorisant un inducteur qui permet à l’enfant de développer ses capacités dans les domaines scientifiques et technologiques’.
Selon ces initiateurs, la rencontre, organisée par le ministère de l’Enseignement préscolaire, de l’Elémentaire, du moyen secondaire et des Langues nationale, sera un moment fort de mobilisation, de plaidoyer et d’encouragement des filles à accéder et se maintenir dans les filières scientifiques et techniques. La manifestation, quatrième édition qui s’inscrit dans la dynamique de l’année 2008, se déroule dans un contexte particulier marqué par l’organisation, au Sénégal, d’une Conférence internationale sur le développement de la Petite enfance. La rencontre internationale, initiée par le ministère de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Microfinance et la Petite enfance, se tient du 10 au 14 novembre.
Sur la stratégie de maintien des filles à l’école, Mme Sarr a cité entre autres réponses ’l’octroi de bourse, la création, des cantines scolaires, l’amélioration de l’environnement scolaire, mais aussi l’organisation des cours de renforcement’. Le Ccief, mis en place depuis 2002, travaille en étroite collaboration avec les partenaires impliqués dans la promotion de l’éducation des filles.
(D’après Aps)