Le Rapport sur l’état de la population présenté hier à Dakar par le Fonds mondial des Nations unies de la population (Unfpa) a montré que les femmes restent les plus vulnérables des couches sociales.
Le Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) a publié hier à Dakar son Rapport annuel sur l’état de la population mondiale, en ciblant un thème relatif aux interrelations entre la population et le développement ainsi libellé : « Face à un monde qui change : les femmes, la population et le climat ».
La représentante-résidente de l’Unfpa au Sénégal, Mme Rose Gakuba d’évoquer d’emblée les facteurs qui bloquent le développement des femmes. Et, elle met notamment l’accent sur les effets du changement climatique, en indiquant qu’ils dépassent le cadre simple de rendement énergétique ou d’émission de gaz à effet de serre.
Selon elle, le changement climatique aborde le problème de la dynamique démographique, de la pauvreté et de l’équité des sexes. Conséquence, les pauvres affrontent les pires effets du changement climatique. Et les femmes restent les plus vulnérables des couches sociales, a fait savoir Rose Gakuba.
Environ 1,5 milliard de femmes dans le monde vivent avec un dollar voire moins par jour. Ainsi, elles courent plus de risque que les hommes et peuvent mourir facilement en cas de catastrophes naturelles.
En plus, le rapport atteste que la Planification familiale, les soins de Santé de reproduction et les relations entre les sexes sont de véritables problèmes que rencontrent les femmes. Ils pourraient influer sur l’évolution future des changements climatiques et la manière dont l’humanité s’y adapte.
Le Rapport de souligner que ces changements climatiques mettront non seulement en danger les vies humaines, mais risquent de compromettre les gains acquis vers l’atteinte des Omd.
Pour sa part, la représentante du ministre de l’Economie et des Finances a reconnu que les conséquences du changement climatique ont provoqué les déplacements des populations dans tous les pays du monde. Au Sénégal, l’érosion côtière, la salinisation des terres, le régime chaotique de la pluviométrie, les inondations sont autant de phénomènes qui ont un impact sur l’agriculture, poussant des Sénégalais à quitter leurs lieux d’habitation à la recherche d’une vie meilleure.
C’est pour cette raison que le gouvernement a pris des mesures pour faire face aux fléaux du changement climatique qui touchent plus les femmes, car elles représentent 70% des travailleurs du monde rural, a-t-elle indiqué.
Eugène KALY
Le Soleil
Le Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) a publié hier à Dakar son Rapport annuel sur l’état de la population mondiale, en ciblant un thème relatif aux interrelations entre la population et le développement ainsi libellé : « Face à un monde qui change : les femmes, la population et le climat ».
La représentante-résidente de l’Unfpa au Sénégal, Mme Rose Gakuba d’évoquer d’emblée les facteurs qui bloquent le développement des femmes. Et, elle met notamment l’accent sur les effets du changement climatique, en indiquant qu’ils dépassent le cadre simple de rendement énergétique ou d’émission de gaz à effet de serre.
Selon elle, le changement climatique aborde le problème de la dynamique démographique, de la pauvreté et de l’équité des sexes. Conséquence, les pauvres affrontent les pires effets du changement climatique. Et les femmes restent les plus vulnérables des couches sociales, a fait savoir Rose Gakuba.
Environ 1,5 milliard de femmes dans le monde vivent avec un dollar voire moins par jour. Ainsi, elles courent plus de risque que les hommes et peuvent mourir facilement en cas de catastrophes naturelles.
En plus, le rapport atteste que la Planification familiale, les soins de Santé de reproduction et les relations entre les sexes sont de véritables problèmes que rencontrent les femmes. Ils pourraient influer sur l’évolution future des changements climatiques et la manière dont l’humanité s’y adapte.
Le Rapport de souligner que ces changements climatiques mettront non seulement en danger les vies humaines, mais risquent de compromettre les gains acquis vers l’atteinte des Omd.
Pour sa part, la représentante du ministre de l’Economie et des Finances a reconnu que les conséquences du changement climatique ont provoqué les déplacements des populations dans tous les pays du monde. Au Sénégal, l’érosion côtière, la salinisation des terres, le régime chaotique de la pluviométrie, les inondations sont autant de phénomènes qui ont un impact sur l’agriculture, poussant des Sénégalais à quitter leurs lieux d’habitation à la recherche d’une vie meilleure.
C’est pour cette raison que le gouvernement a pris des mesures pour faire face aux fléaux du changement climatique qui touchent plus les femmes, car elles représentent 70% des travailleurs du monde rural, a-t-elle indiqué.
Eugène KALY
Le Soleil