La région de la Casamance est la plus touché par la pauvreté. La majorité de la population est du monde rural. Avec la crise qui sévit dans le pays, ces habitants sont obligés d’abandonner leurs terres pour se réfugier dans la commune. Une situation qui appauvri d’avantage la région de Ziguinchor, longtemps considérée comme le grenier du Sénégal. Lundi dernier, régionaux et experts nationaux, ont débattu sur ce problème pour voir dans qu’elle mesure, ils pourront lutter contre ce phénomène. A cet effet, ils ont salué la démarche participative des ONG qui œuvrent pour le retour de la population rurale sur leurs terres en mettant à leur disposition des infrastructures.
Dans le domaine de la santé, même si, on opère une légère amélioration du taux de mortalité, infanto-juvénil ( 510/100 en 1993 contre 410/100 en 2005), la région Sud, demeure, la plus touchée du pays. L’objectif est de le réduire de 2/3. Le paludisme quant à lui, a été maîtrisé dans la région, car chaque foyer, garde au moins un moustiquaire qui est le meilleur moyen de lutte contre cette maladie. Le Sida, lui atteint, plus la gente féminine que masculine qui est le plus vulnérable.
Aujourd’hui, pour aboutir, à une réduction de la pauvreté dans tous les secteurs de la vie, les participants se sont engagés à travailler à la base. A cet effet, l’agriculture qui est le point focal de développement d’un pays, va occuper une place importante dans ce projet. Alexandre Coly, représentant le conseil régional soutient : « la paix s’installe de plus en plus dans le pays. Si le secteur agricole est bien maîtrisé, nous pourrions vaincre la majorité des maux à savoir la famine, la malnutrition qui est la principale cause de mortalité des enfants ».
Pour relever le défi, réduire la pauvreté de moitié ou l’éradiquer en 2015, les adhérents, appellent, tous les régionaux à y mettre du sien et à s’approprier le projet pour l’intérêt de tous. Malgré, la volonté de bien mener ce travail, un problème demeure, la fiabilité des enquêtes menées et c’est dans ce sens qu’Alexandre déclare « si, nous disposons de données fiables, nous pourrions au moins ciblés les localités et lutter contre ce fléau ».
Sud Quotidien
Dans le domaine de la santé, même si, on opère une légère amélioration du taux de mortalité, infanto-juvénil ( 510/100 en 1993 contre 410/100 en 2005), la région Sud, demeure, la plus touchée du pays. L’objectif est de le réduire de 2/3. Le paludisme quant à lui, a été maîtrisé dans la région, car chaque foyer, garde au moins un moustiquaire qui est le meilleur moyen de lutte contre cette maladie. Le Sida, lui atteint, plus la gente féminine que masculine qui est le plus vulnérable.
Aujourd’hui, pour aboutir, à une réduction de la pauvreté dans tous les secteurs de la vie, les participants se sont engagés à travailler à la base. A cet effet, l’agriculture qui est le point focal de développement d’un pays, va occuper une place importante dans ce projet. Alexandre Coly, représentant le conseil régional soutient : « la paix s’installe de plus en plus dans le pays. Si le secteur agricole est bien maîtrisé, nous pourrions vaincre la majorité des maux à savoir la famine, la malnutrition qui est la principale cause de mortalité des enfants ».
Pour relever le défi, réduire la pauvreté de moitié ou l’éradiquer en 2015, les adhérents, appellent, tous les régionaux à y mettre du sien et à s’approprier le projet pour l’intérêt de tous. Malgré, la volonté de bien mener ce travail, un problème demeure, la fiabilité des enquêtes menées et c’est dans ce sens qu’Alexandre déclare « si, nous disposons de données fiables, nous pourrions au moins ciblés les localités et lutter contre ce fléau ».
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