Le Directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, Alioune Badara Wague, a présidé hier la cérémonie d’ouverture du séminaire sous-régional de formation en réalisation de machines mécaniques et en transmission de données par fibre optique au Centre de formation professionnelle et technique Sénégal-Japon. Ce séminaire, le dixième d’une série mise en œuvre depuis 1999, a enregistré la participation de 24 stagiaires de la sous région.
Les objectifs majeurs de ce programme sont d’accroître l’efficacité voire l’opérationnalité de participants intervenant dans la formation professionnelle et technique pour impulser davantage le développement et la productivité dans leur pays, de promouvoir la coopération technique entre pays du Sud, de réduire le coût de l’opération pour pouvoir prendre en charge plus de participants par rapport à un stage qui se déroulerait au Japon, et enfin, fournir aux participants une formation « pour les pays africains » mieux adaptée à leurs besoins et à leur environnement. Ces axes majeurs ont fait dire à Alioune Badara Wague, directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, que ce programme permet la tenue de sessions de formation adaptées aux réalités et besoins des pays africains, la réduction des coûts de formation, la formation des formateurs, le transfert de technologie du Nord au Sud. Selon M. Wague, cela constitue un puissant moyen d’intégration africaine. Auparavant, le représentant résidant du Bureau de la JICA au Sénégal, M. Shiraï, a fait l’historique de l’Aide publique au développement du Japon depuis la 2ème guerre mondiale à nos jours et cité son pays en exemple pour une sortie de crise. Il a dit que ce sont des gens bien formés et bien éduqués qui peuvent assurer et améliorer la production de très haute qualité. C’est pourquoi, la JICA a été créée en 1974 pour aider via l’aide publique du Japon (qui met l’accent sur l’éducation, la santé, l’eau potable) dans les domaines que l’on dit « Besoins de bases humaines » dira-t-il.
Selon Mr Shiraï, l’évolution de la coopération depuis plus de 20 ans au Centre de formation professionnel et technique Sénégal/Japon, les relations fructueuses entre notre pays et le Japon assurent la qualité de d’enseignement à ce centre d’excellence pour former et consolider les ressources humaines répondant aux besoins des secteurs publics et privés.
Le séminaire qui va durer un mois, inaugure selon M. Shiraï, un riche programme de formation qui pourrait satisfaire divers besoins en enseignement technique et professionnel dans nos pays respectifs. Les thèmes du séminaire représentent à ses yeux l’expression des priorités communes au monde industriel globalisé et compétitif. Le directeur du CFPT Sénégal/ Japon, Ousseynou Guèye, dira que les 143 formateurs qui ont bénéficié de ce perfectionnement, auxquels vont s’ajouter les 24 de ce présent séminaire, permettront une meilleure prise en charge par nos pays respectifs, de la formation des cadres et techniciens dont l’Afrique a besoin. D’ailleurs, selon lui, l’axe numéro un du plan d’action de la 4ème TICAD (conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique) s’était fixé comme objectif de « stimuler la croissance économique dans le domaine de la science et de la technologie.
C’est pourquoi, il se réjouit de cette aide concrète et sans cesse renforcée de la JICA qui se matérialise par ce projet pour une atteinte des objectifs de développement de l’Afrique d’une part et d’autre part, une participation à la promotion de la coopération Sud-Sud.
Le Soleil
Les objectifs majeurs de ce programme sont d’accroître l’efficacité voire l’opérationnalité de participants intervenant dans la formation professionnelle et technique pour impulser davantage le développement et la productivité dans leur pays, de promouvoir la coopération technique entre pays du Sud, de réduire le coût de l’opération pour pouvoir prendre en charge plus de participants par rapport à un stage qui se déroulerait au Japon, et enfin, fournir aux participants une formation « pour les pays africains » mieux adaptée à leurs besoins et à leur environnement. Ces axes majeurs ont fait dire à Alioune Badara Wague, directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle, que ce programme permet la tenue de sessions de formation adaptées aux réalités et besoins des pays africains, la réduction des coûts de formation, la formation des formateurs, le transfert de technologie du Nord au Sud. Selon M. Wague, cela constitue un puissant moyen d’intégration africaine. Auparavant, le représentant résidant du Bureau de la JICA au Sénégal, M. Shiraï, a fait l’historique de l’Aide publique au développement du Japon depuis la 2ème guerre mondiale à nos jours et cité son pays en exemple pour une sortie de crise. Il a dit que ce sont des gens bien formés et bien éduqués qui peuvent assurer et améliorer la production de très haute qualité. C’est pourquoi, la JICA a été créée en 1974 pour aider via l’aide publique du Japon (qui met l’accent sur l’éducation, la santé, l’eau potable) dans les domaines que l’on dit « Besoins de bases humaines » dira-t-il.
Selon Mr Shiraï, l’évolution de la coopération depuis plus de 20 ans au Centre de formation professionnel et technique Sénégal/Japon, les relations fructueuses entre notre pays et le Japon assurent la qualité de d’enseignement à ce centre d’excellence pour former et consolider les ressources humaines répondant aux besoins des secteurs publics et privés.
Le séminaire qui va durer un mois, inaugure selon M. Shiraï, un riche programme de formation qui pourrait satisfaire divers besoins en enseignement technique et professionnel dans nos pays respectifs. Les thèmes du séminaire représentent à ses yeux l’expression des priorités communes au monde industriel globalisé et compétitif. Le directeur du CFPT Sénégal/ Japon, Ousseynou Guèye, dira que les 143 formateurs qui ont bénéficié de ce perfectionnement, auxquels vont s’ajouter les 24 de ce présent séminaire, permettront une meilleure prise en charge par nos pays respectifs, de la formation des cadres et techniciens dont l’Afrique a besoin. D’ailleurs, selon lui, l’axe numéro un du plan d’action de la 4ème TICAD (conférence internationale de Tokyo pour le développement de l’Afrique) s’était fixé comme objectif de « stimuler la croissance économique dans le domaine de la science et de la technologie.
C’est pourquoi, il se réjouit de cette aide concrète et sans cesse renforcée de la JICA qui se matérialise par ce projet pour une atteinte des objectifs de développement de l’Afrique d’une part et d’autre part, une participation à la promotion de la coopération Sud-Sud.
Le Soleil