SAINT-LOUIS - JOURNEE MONDIALE DE L’EAU : Lancement de la 3e édition du Campus eau
La célébration de la Journée mondiale de l’eau à l’université Gaston Berger a été l’occasion pour le coordonnateur du Campus eau, Issa Cissé, de rappeler que l’Onu renseigne que 90% des rejets domestiques et industriels ne sont pas traités et contaminent les ressources disponibles.
En plus, a-t-il poursuivi, le manque d’accès à l’eau et à l’assainissement, peut bien constituer la première cause de mortalité au monde par le choléra et les diarrhées. Il s’y ajoute qu’en 2000, on estimait à 1,1 milliard le nombre de personnes privées d’un accès convenable à l’eau potable et à 2,4 milliards d’autres personnes qui ne disposent pas d’un réseau d’assainissant. Sous le même registre et selon le rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), la situation du Sénégal n’est pas meilleure au niveau de l’assainissement. Des chiffres qui, selon M. Cissé, nous renseignent et nous édifient sur la nécessité de maîtriser les facteurs de l’eau et de l’assainissement.
« Ce qui suppose un engagement de la communauté internationale pour offrir à tous un bon cadre de vie et un bien-être social. Il importe donc de promouvoir une bonne qualité de service en eau et en assainissement aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain ». Parlant du thème de cette année, « Eau et Assainissement », le professeur Adrien Coly, spécialiste des questions liées à la gestion des ressources en eau, a insisté sur la nécessité d’installer des stations et des centres d’épuration, de réfléchir sur le dimensionnement de certains réseaux (en tenant compte des impacts de la croissance démographique), d’utiliser à bon escient et d’entretenir les égouts et les blocs d’hygiène en vue de faire face à certains problèmes d’assainissement qui se posent avec acuité dans notre pays. Les intervenants ont rappelé que le monde est à l’écoute du Campus eau qui a démarré un programme de manifestations axé sur les problèmes d’eau et d’assainissement qui va durer une semaine et qui sera marqué par une animation scientifique, pédagogique et sociale.
Le Soleil
En plus, a-t-il poursuivi, le manque d’accès à l’eau et à l’assainissement, peut bien constituer la première cause de mortalité au monde par le choléra et les diarrhées. Il s’y ajoute qu’en 2000, on estimait à 1,1 milliard le nombre de personnes privées d’un accès convenable à l’eau potable et à 2,4 milliards d’autres personnes qui ne disposent pas d’un réseau d’assainissant. Sous le même registre et selon le rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud), la situation du Sénégal n’est pas meilleure au niveau de l’assainissement. Des chiffres qui, selon M. Cissé, nous renseignent et nous édifient sur la nécessité de maîtriser les facteurs de l’eau et de l’assainissement.
« Ce qui suppose un engagement de la communauté internationale pour offrir à tous un bon cadre de vie et un bien-être social. Il importe donc de promouvoir une bonne qualité de service en eau et en assainissement aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain ». Parlant du thème de cette année, « Eau et Assainissement », le professeur Adrien Coly, spécialiste des questions liées à la gestion des ressources en eau, a insisté sur la nécessité d’installer des stations et des centres d’épuration, de réfléchir sur le dimensionnement de certains réseaux (en tenant compte des impacts de la croissance démographique), d’utiliser à bon escient et d’entretenir les égouts et les blocs d’hygiène en vue de faire face à certains problèmes d’assainissement qui se posent avec acuité dans notre pays. Les intervenants ont rappelé que le monde est à l’écoute du Campus eau qui a démarré un programme de manifestations axé sur les problèmes d’eau et d’assainissement qui va durer une semaine et qui sera marqué par une animation scientifique, pédagogique et sociale.
Le Soleil
