SEDHIOU / ACCES A UNE EDUCATION DE QUALITE POUR TOUS Quatre collectivités pilotes à l’école de l’alphabétisation fonctionnelle
A l’horizon 2010, trois mille six cents apprenants devront être capables de lire et d’écrire correctement en langue nationale mandingue dans la toute nouvelle région de Sédhiou.
C’est du moins ce qu’ambitionnent de réaliser les responsables du programme d’alphabétisation « Education de qualité pour tous ». Cet enseignement est dispensé pour l’essentiel dans les communautés rurales de Tanaff, Bémet Bidjini, N’diamacouta et la commune de Goudomp.
Entre autres résultats attendus d’après madame N’diaye Sagui Maye Bèye assistante à la cellule de coordination et de suivi du programme, le recul de l’ignorance et la promotion des activités génératrices de revenus « les objectifs de ce projet sont de mener les apprentissages de l’alphabétisation dans les centres qui ont été retenus dans la présélection au nombre de douze dans le Sédhiou. La finalité de ce programme est de doter les bénéficiaires des capacités dans les matières instrumentales mais aussi en activités génératrices de revenus ; à terme, c’est un programme qui servira de soupape pour lutter contre la pauvreté. Ainsi, ces groupements pourront s’affirmer dans la plus grande autonomie aussi bien dans le secteur de l’économie que social, politique et culturel. Dans l’ensemble, nous avons constaté que le programme se déroule très bien sur le terrain », a dit madame Bèye.
S’exprimant au sujet de l’effectivité des apprentissages dans les différents centres d’animation et de lecture, Bacary Massaly le Responsable du programme d’alphabétisation à l’Inspection départementale de l’Education nationale de Sédhiou dit s’attendre à des résultats escomptés « il y a quatre vingt dix apprenants par opérateur pour la première cohorte donc il y a trois fois ce nombre ; ce qui fait un total de trois mille six cents dans le département de Sédhiou. Au bout de trois ans chaque opérateur aura à former neuf cents apprenants ».
C’est tant mieux contre l’analphabétisme qui annihile quelques fois l’expression des droits et devoirs de certaines catégories de citoyens notamment ceux qui n’ont jamais été à l’école des peuples de l’occident. A noter que ce programme est cofinancé par IDA et le gouvernement du Sénégal dans le cadre de la lutte contre l’analphabétisme.
Sur le terrain les populations se félicitent de la pertinence du contenu des modules dispensés.
Sud Quotidien
C’est du moins ce qu’ambitionnent de réaliser les responsables du programme d’alphabétisation « Education de qualité pour tous ». Cet enseignement est dispensé pour l’essentiel dans les communautés rurales de Tanaff, Bémet Bidjini, N’diamacouta et la commune de Goudomp.
Entre autres résultats attendus d’après madame N’diaye Sagui Maye Bèye assistante à la cellule de coordination et de suivi du programme, le recul de l’ignorance et la promotion des activités génératrices de revenus « les objectifs de ce projet sont de mener les apprentissages de l’alphabétisation dans les centres qui ont été retenus dans la présélection au nombre de douze dans le Sédhiou. La finalité de ce programme est de doter les bénéficiaires des capacités dans les matières instrumentales mais aussi en activités génératrices de revenus ; à terme, c’est un programme qui servira de soupape pour lutter contre la pauvreté. Ainsi, ces groupements pourront s’affirmer dans la plus grande autonomie aussi bien dans le secteur de l’économie que social, politique et culturel. Dans l’ensemble, nous avons constaté que le programme se déroule très bien sur le terrain », a dit madame Bèye.
S’exprimant au sujet de l’effectivité des apprentissages dans les différents centres d’animation et de lecture, Bacary Massaly le Responsable du programme d’alphabétisation à l’Inspection départementale de l’Education nationale de Sédhiou dit s’attendre à des résultats escomptés « il y a quatre vingt dix apprenants par opérateur pour la première cohorte donc il y a trois fois ce nombre ; ce qui fait un total de trois mille six cents dans le département de Sédhiou. Au bout de trois ans chaque opérateur aura à former neuf cents apprenants ».
C’est tant mieux contre l’analphabétisme qui annihile quelques fois l’expression des droits et devoirs de certaines catégories de citoyens notamment ceux qui n’ont jamais été à l’école des peuples de l’occident. A noter que ce programme est cofinancé par IDA et le gouvernement du Sénégal dans le cadre de la lutte contre l’analphabétisme.
Sur le terrain les populations se félicitent de la pertinence du contenu des modules dispensés.
Sud Quotidien
