Le village de Séfa situé dans l’arrondissement de Diendé a abrité une session de formation des populations venues de divers horizons en techniques de préservation des ressources des forêts. L’objectif est de freiner la vitesse de destruction du couvert végétal tout en y tirant des revenus nécessaires à la subsistance dans chacun des terroirs cibles. L’atelier est organisé par l’organisme appelé Synergie d’action pour la formation et le développement (SYAFD) partenaire d’Oxfam dans l’adaptation aux changements climatiques.
Cette session de formation s’inscrit dans le sillage de la capacitation des populations locales à l’adaptation aux changements climatiques en cours et préjudiciables sur l’environnement. Elle a lieu à Séfa, village contigu à celui de Diendé dans l’arrondissement du même nom.
A en croire Mamadou Gaye ingénieur des Eaux et forêts «cette formation donne plus d’aptitude aux bénéficiaires à développer des réflexes de préservation de ressources de l’environnement. Ils ont appris les techniques de reboisement et d’entretien des plants contre les vents et les animaux en divagation, les distances à respecter entre arbres aussi. Il s’agit pour SYAFD d’amener les populations à gérer de façon rationnelle les ressources de l’environnement sans en altérer leur développement».
Mme Rosalie Coly, membre de SYAFD de Séfa et Mouhamed Kabaline de Bambaly Béroto sortent satisfait de cette formation. Ils ont témoigné de leur capacité de développer un maraîchage conformément aux exigences de l’agro foresterie. «Nous savons apprécier la qualité des semences, planter des bananes, des orangers, des papayers et autres tout en respectant la distance réglementaire, les techniques de clôture et d’entretien des plants», ont-ils rassuré à la suite d’un entretien qu’ils nous ont accordé durant la phase pratique de l’atelier.
Amadou Tidiane Sadio, l’animateur du programme Synergie d’action pour la formation et le développement dans les arrondissements de Diendé et de Bambaly ajoute que «cette formation des populations nous facilite le travail de terrain car elle leur permet de savoir comment s’y prendre. Ils connaissent maintenant tout le paquet technologique nécessaire pour tenir un périmètre maraîcher».
L’ensemble de ces efforts visent à préserver les zones boisées des catastrophes naturelles, la divagation du bétail dans les périmètres, l’érosion des sols, la destruction des forêts entre autres.
Moussa DRAME
Cette session de formation s’inscrit dans le sillage de la capacitation des populations locales à l’adaptation aux changements climatiques en cours et préjudiciables sur l’environnement. Elle a lieu à Séfa, village contigu à celui de Diendé dans l’arrondissement du même nom.
A en croire Mamadou Gaye ingénieur des Eaux et forêts «cette formation donne plus d’aptitude aux bénéficiaires à développer des réflexes de préservation de ressources de l’environnement. Ils ont appris les techniques de reboisement et d’entretien des plants contre les vents et les animaux en divagation, les distances à respecter entre arbres aussi. Il s’agit pour SYAFD d’amener les populations à gérer de façon rationnelle les ressources de l’environnement sans en altérer leur développement».
Mme Rosalie Coly, membre de SYAFD de Séfa et Mouhamed Kabaline de Bambaly Béroto sortent satisfait de cette formation. Ils ont témoigné de leur capacité de développer un maraîchage conformément aux exigences de l’agro foresterie. «Nous savons apprécier la qualité des semences, planter des bananes, des orangers, des papayers et autres tout en respectant la distance réglementaire, les techniques de clôture et d’entretien des plants», ont-ils rassuré à la suite d’un entretien qu’ils nous ont accordé durant la phase pratique de l’atelier.
Amadou Tidiane Sadio, l’animateur du programme Synergie d’action pour la formation et le développement dans les arrondissements de Diendé et de Bambaly ajoute que «cette formation des populations nous facilite le travail de terrain car elle leur permet de savoir comment s’y prendre. Ils connaissent maintenant tout le paquet technologique nécessaire pour tenir un périmètre maraîcher».
L’ensemble de ces efforts visent à préserver les zones boisées des catastrophes naturelles, la divagation du bétail dans les périmètres, l’érosion des sols, la destruction des forêts entre autres.
Moussa DRAME