Dakar, 24 nov (APS) – Le gouvernement du Sénégal et la Banque mondiale ont signé mardi à Dakar deux accords de financement d’un montant total de 19,8 millions de dollars (plus de 9 milliards de francs CFA) portant sur la gestion des terres agricoles et des ressources halieutiques du pays.
Le premier financement d’un montant de 4,8 millions de dollars (soit 2 milliards de francs) est un don du Fonds mondial de l’environnement, tandis que le deuxième est un prêt de 15 millions de dollars (7 milliards de francs) de la BM.
‘’Le premier financement servira principale à soutenir les efforts du Sénégal pour réduire la dégradation des terres dans le bassin arachidier, à travers le Programme Services agricoles et organisations de producteurs (PSAOP) qui va mettre en œuvre les activités liées à ce financement’’, a indiqué Habib Fétini, directeur des opérations de la BM au Sénégal.
‘’Grâce à ce don, nous espérons contribuer à la réduction de la dégradation des terres et à l’amélioration des fonctions et services des écosystèmes par l’adoption de pratiques durables de gestion des terres’’, a-t-il ajouté au cours de la cérémonie de signature.
‘’Pour réaliser cet objectif, a-t-il réaffirmé, ce don va soutenir le système de recherche et de conseil agricoles et les organisations de producteurs’’.
‘’Ce don du FME va de pair avec le financement de la Banque mondial d’un montant de 15 millions de dollars pour les mêmes objectifs. Nous espérons ainsi appuyer le Sénégal, le Cap Vert, la Sierra Léone, le Libéria à mieux exploiter leurs ressources halieutiques’’, a ajouté M. Fétini.
‘’Lutter contre la dégradation des terres et la promotion de l’agriculture durable sont des objectifs prioritaires dans le cadre de la Stratégie de la réduction de la pauvreté (DSRP)’’, a pour sa part déclaré le ministre sénégalais de l’Economie et des Finances.
Pour Abdoualaye Diop, ‘’la loi d’orientation agrosylvopastorale a érigé la meilleure exploitation des terres et l’amélioration de la fertilité des sols en objectifs clés de la politique nationale de développement’’.
Selon lui, le projet de lutte contre la dégradation des terres est partiellement intégré au PSAOP avec lequel il partage les mêmes composantes, notamment le renforcement des capacités de l’Institut sénégalais de recherche agricole (ISRA) à générer et à diffuser des résultats et des connaissances relatives à la gestion durable des terres.
‘’La deuxième composante a pour objectifs de renforcer les capacités de l’Agence nationale de conseil agricole et rural (ANCAR) et des fournisseurs de services conseils agricoles’’, a-t-il ajouté.
‘’Le programme régional de pêche en Afrique de l’ouest a pour objectif de renforcer la capacité de notre pays à gérer les pêcheries que nous aurons ciblées, de réduire la pêcherie illégale et d’augmenter la valeur ajoutée locale des produits’’, s’est par ailleurs réjoui M. Diop.
Le premier financement d’un montant de 4,8 millions de dollars (soit 2 milliards de francs) est un don du Fonds mondial de l’environnement, tandis que le deuxième est un prêt de 15 millions de dollars (7 milliards de francs) de la BM.
‘’Le premier financement servira principale à soutenir les efforts du Sénégal pour réduire la dégradation des terres dans le bassin arachidier, à travers le Programme Services agricoles et organisations de producteurs (PSAOP) qui va mettre en œuvre les activités liées à ce financement’’, a indiqué Habib Fétini, directeur des opérations de la BM au Sénégal.
‘’Grâce à ce don, nous espérons contribuer à la réduction de la dégradation des terres et à l’amélioration des fonctions et services des écosystèmes par l’adoption de pratiques durables de gestion des terres’’, a-t-il ajouté au cours de la cérémonie de signature.
‘’Pour réaliser cet objectif, a-t-il réaffirmé, ce don va soutenir le système de recherche et de conseil agricoles et les organisations de producteurs’’.
‘’Ce don du FME va de pair avec le financement de la Banque mondial d’un montant de 15 millions de dollars pour les mêmes objectifs. Nous espérons ainsi appuyer le Sénégal, le Cap Vert, la Sierra Léone, le Libéria à mieux exploiter leurs ressources halieutiques’’, a ajouté M. Fétini.
‘’Lutter contre la dégradation des terres et la promotion de l’agriculture durable sont des objectifs prioritaires dans le cadre de la Stratégie de la réduction de la pauvreté (DSRP)’’, a pour sa part déclaré le ministre sénégalais de l’Economie et des Finances.
Pour Abdoualaye Diop, ‘’la loi d’orientation agrosylvopastorale a érigé la meilleure exploitation des terres et l’amélioration de la fertilité des sols en objectifs clés de la politique nationale de développement’’.
Selon lui, le projet de lutte contre la dégradation des terres est partiellement intégré au PSAOP avec lequel il partage les mêmes composantes, notamment le renforcement des capacités de l’Institut sénégalais de recherche agricole (ISRA) à générer et à diffuser des résultats et des connaissances relatives à la gestion durable des terres.
‘’La deuxième composante a pour objectifs de renforcer les capacités de l’Agence nationale de conseil agricole et rural (ANCAR) et des fournisseurs de services conseils agricoles’’, a-t-il ajouté.
‘’Le programme régional de pêche en Afrique de l’ouest a pour objectif de renforcer la capacité de notre pays à gérer les pêcheries que nous aurons ciblées, de réduire la pêcherie illégale et d’augmenter la valeur ajoutée locale des produits’’, s’est par ailleurs réjoui M. Diop.