Le choix est déjà fait et la décision prise au sommet de l'Etat. C'est le ministre béninois de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui en donne l'assurance : le président béninois se rendra bientôt à Saint-Louis pour recevoir son titre de Docteur Honoris causa que lui a décerné l’Ugb.
(Correspondance) - Il ne reste plus que les formalités d'usage pour que le président du Bénin, Yayi Boni, devienne, officiellement, Docteur Honoris causa de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis. Le choix est déjà fait et la décision prise au sommet de l'Etat. C'est le ministre béninois de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui en donne l'assurance. ’Je viens d'avoir le président de la République du Bénin, Sir Boni Yayi qui a été fait Dr Honoris Causa de cette Université. Dès que les formalités seront réglées, le président Yayi Boni viendra recevoir sa distinction, ici, à Saint-Louis’, a déclaré, hier à Saint-Louis, en marge du séminaire international sur le système Lmd, organisé par l'Unesco, le professeur Vicentia Boco, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Bénin.
Dans l'entretien qu'elle nous a accordé, le ministre Vicentia Boco a tenu à ‘remercier le recteur de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, le ministre de l'Enseignement supérieur du Sénégal pour cette marque d'attention et, bien entendu, le président Abdoulaye Wade, pour cette distinction en l'honneur de notre pays, le Bénin’. Selon le professeur Vicentia Boco, ‘le Dr Yayi Boni est d'abord un économiste qui a travaillé pendant plusieurs années à la Bceao. Il a été ensuite le président de la Boad. Et, depuis deux ans et demi, il tient les rênes de notre pays, le Bénin, en apportant une touche toute personnelle. Il se distingue par sa manière de gérer la chose publique, l'Etat. C'est un monsieur qui va vite et qui essaie de nous entraîner dans cette dynamique vers le développement. Et c'est en cela que beaucoup d'universitaires le félicitent. C'est pour cela qu'il a été distingué, mais aussi à cause de sa vision du développement pour l'Afrique et la manière de conduire les affaires pour arriver à ce développement pour que l'Afrique ne soit plus à la traîne’.
Le Soleil
(Correspondance) - Il ne reste plus que les formalités d'usage pour que le président du Bénin, Yayi Boni, devienne, officiellement, Docteur Honoris causa de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis. Le choix est déjà fait et la décision prise au sommet de l'Etat. C'est le ministre béninois de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui en donne l'assurance. ’Je viens d'avoir le président de la République du Bénin, Sir Boni Yayi qui a été fait Dr Honoris Causa de cette Université. Dès que les formalités seront réglées, le président Yayi Boni viendra recevoir sa distinction, ici, à Saint-Louis’, a déclaré, hier à Saint-Louis, en marge du séminaire international sur le système Lmd, organisé par l'Unesco, le professeur Vicentia Boco, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique du Bénin.
Dans l'entretien qu'elle nous a accordé, le ministre Vicentia Boco a tenu à ‘remercier le recteur de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis, le ministre de l'Enseignement supérieur du Sénégal pour cette marque d'attention et, bien entendu, le président Abdoulaye Wade, pour cette distinction en l'honneur de notre pays, le Bénin’. Selon le professeur Vicentia Boco, ‘le Dr Yayi Boni est d'abord un économiste qui a travaillé pendant plusieurs années à la Bceao. Il a été ensuite le président de la Boad. Et, depuis deux ans et demi, il tient les rênes de notre pays, le Bénin, en apportant une touche toute personnelle. Il se distingue par sa manière de gérer la chose publique, l'Etat. C'est un monsieur qui va vite et qui essaie de nous entraîner dans cette dynamique vers le développement. Et c'est en cela que beaucoup d'universitaires le félicitent. C'est pour cela qu'il a été distingué, mais aussi à cause de sa vision du développement pour l'Afrique et la manière de conduire les affaires pour arriver à ce développement pour que l'Afrique ne soit plus à la traîne’.
Le Soleil