L’Association des artistes du Centre culturel régional de Ziguinchor organise, depuis hier à Djimbéring, et ce jusqu’au 28 février prochain, un Festival d’arts, de lutte, danses, coutumes et de la musique. Un événement qui verra la participation des populations de ladite communauté rurale, mais aussi d’artistes belges, sénégalais, camerounais et guinéens pour faire revivre à la région ses moments glorieux perdus à cause de la guerre en Casamance.
Par Erick Salemon BASSENE
Pour accompagner le processus de paix en Casamance et faire vivre à la région des moments glorieux qui tendent à disparaître avec la guerre, l’Association des artistes du Centre culturel régional de Ziguinchor et André Paul Laixhay, un artiste d’origine belge, organisent un Festival d’arts, de coutumes, de lutte et de la musique qui a débuté depuis hier à Djimbéring et va se poursuivre jusqu’au 28 février 2009. Ce festival dénommé Cas’Art Djimbéring et qui a un cachet international, puisque des artistes sénégalais, belges, camerounais et guinéens, de concert avec les populations des villages de Djimbéring, Bouyouye, Boucotte Djimbéring et celles de Kabrousse, vont prendre part à cet important événement.
De l’avis de André Paul Laixhay, conseiller technique dudit festival, «à travers cette manifestation, l’Association des artistes du Centre culturel régional de Ziguinchor, les populations de Djimbéring et les autorités locales de la région, en partenariat avec le centre culturel régionale de Ziguinchor, cherchent à créer un événement qui a pour but d´être pérennisé». Avec ce festival, les organisateurs veulent réussir à avoir du répondant à l’extérieur dans le souci de réunir assez de moyens pour faire participer les populations à des projets artistiques qui vont se dérouler dans tout le territoire de la communauté rurale de Djimbéring.
Ainsi, pour le conseiller technique, c’est un festival qui se veut itinérant, car comptant se déplacer dans tous les villages de la communauté rurale de Djimbéring ayant différentes sensibilités pour permettre à leurs troupes de se produire. «Le but, c’est de faire participer les différentes populations à un événement qu’elles ne connaissent pas. Car, c’est la première fois qu’un festival de musiques et d’art plastique itinérant se passe dans un paysage de mangroves et dans la brousse», a expliqué André Paul Laixhay, lors d’un point de presse tenu dans les locaux de Sud Fm Ziguinchor, vendredi dernier.
Le Quotidien
Par Erick Salemon BASSENE
Pour accompagner le processus de paix en Casamance et faire vivre à la région des moments glorieux qui tendent à disparaître avec la guerre, l’Association des artistes du Centre culturel régional de Ziguinchor et André Paul Laixhay, un artiste d’origine belge, organisent un Festival d’arts, de coutumes, de lutte et de la musique qui a débuté depuis hier à Djimbéring et va se poursuivre jusqu’au 28 février 2009. Ce festival dénommé Cas’Art Djimbéring et qui a un cachet international, puisque des artistes sénégalais, belges, camerounais et guinéens, de concert avec les populations des villages de Djimbéring, Bouyouye, Boucotte Djimbéring et celles de Kabrousse, vont prendre part à cet important événement.
De l’avis de André Paul Laixhay, conseiller technique dudit festival, «à travers cette manifestation, l’Association des artistes du Centre culturel régional de Ziguinchor, les populations de Djimbéring et les autorités locales de la région, en partenariat avec le centre culturel régionale de Ziguinchor, cherchent à créer un événement qui a pour but d´être pérennisé». Avec ce festival, les organisateurs veulent réussir à avoir du répondant à l’extérieur dans le souci de réunir assez de moyens pour faire participer les populations à des projets artistiques qui vont se dérouler dans tout le territoire de la communauté rurale de Djimbéring.
Ainsi, pour le conseiller technique, c’est un festival qui se veut itinérant, car comptant se déplacer dans tous les villages de la communauté rurale de Djimbéring ayant différentes sensibilités pour permettre à leurs troupes de se produire. «Le but, c’est de faire participer les différentes populations à un événement qu’elles ne connaissent pas. Car, c’est la première fois qu’un festival de musiques et d’art plastique itinérant se passe dans un paysage de mangroves et dans la brousse», a expliqué André Paul Laixhay, lors d’un point de presse tenu dans les locaux de Sud Fm Ziguinchor, vendredi dernier.
Le Quotidien