Quinze présidents de communautés rurales du département de Louga ont signé, vendredi, avec l’Ong Plan Sénégal, leur énième convention de financements. Cette convention qui porte sur un montant global de 429 millions de francs Cfa, est destinée à la prise en charge des questions de développement en faveur de l’enfance.
En présence du coordonnateur régional de Plan Louga, du responsable des ressources humaine, des autorités administratives, les présidents des communautés rurales ont ratifié cette convention de 429.198.168 francs Cfa destinée à la réalisation de programmes liés à la protection de l’enfance. Un accord de financement qui boucle un long processus de planification des actions prioritaires des communautés rurales pour l’année budgétaire 2010-2011, a fait savoir M Ousseynou Diop. Selon lui, tous les problèmes identifiés chez la petite enfance, dans les secteurs de l’éducation, la santé, l’eau et dans la participation des enfants ont été pris en comptes dans ce financement global. Une occasion pour le coordonnateur d’inviter les présidents de communautés rurales partenaires à plus d’engagement et une synergie dans le travail qui sera effectué en collaboration avec les groupes de mise en œuvre (GMO), structure créée au niveau communauté rurale pour l’exécution des projets. Un appui très bien apprécié par les élus locaux qui, par la voix du président Samba Kanté, ont vivement remercié le partenaire Plan Sénégal qui a beaucoup contribué au développement local. Aussi, le président de l’association régionale des présidents des communautés rurales, a-t-il plaidé, pour un grand soutien des trois communautés rurales de Gandé, Pété Ouarack et Syer, jugés les plus pauvres et les plus faibles du département. « Ce sont des collectivités rurales très pauvres, sans partenaires pour la plupart, et qui connaissent beaucoup de problématiques de développement qui méritent l’intervention des partenaires », souligne M Kanté. Mais pour le représentant du directeur de l’Agence régionale de développement (ARD) Seynabou Sarr, il n’y a pas à désespérer. « Le processus de planification locale est lancé et avec le soutien de partenaire privilégié comme Plan à travers sa démarche et son approche qui fait de la collectivité locale sa porte d’entrée, et la conférence d’harmonisation des interventions, ces communautés rurales seront davantage prises en compte dans les actions de développement ».
Ousmane MBENGUE
Le Soleil
En présence du coordonnateur régional de Plan Louga, du responsable des ressources humaine, des autorités administratives, les présidents des communautés rurales ont ratifié cette convention de 429.198.168 francs Cfa destinée à la réalisation de programmes liés à la protection de l’enfance. Un accord de financement qui boucle un long processus de planification des actions prioritaires des communautés rurales pour l’année budgétaire 2010-2011, a fait savoir M Ousseynou Diop. Selon lui, tous les problèmes identifiés chez la petite enfance, dans les secteurs de l’éducation, la santé, l’eau et dans la participation des enfants ont été pris en comptes dans ce financement global. Une occasion pour le coordonnateur d’inviter les présidents de communautés rurales partenaires à plus d’engagement et une synergie dans le travail qui sera effectué en collaboration avec les groupes de mise en œuvre (GMO), structure créée au niveau communauté rurale pour l’exécution des projets. Un appui très bien apprécié par les élus locaux qui, par la voix du président Samba Kanté, ont vivement remercié le partenaire Plan Sénégal qui a beaucoup contribué au développement local. Aussi, le président de l’association régionale des présidents des communautés rurales, a-t-il plaidé, pour un grand soutien des trois communautés rurales de Gandé, Pété Ouarack et Syer, jugés les plus pauvres et les plus faibles du département. « Ce sont des collectivités rurales très pauvres, sans partenaires pour la plupart, et qui connaissent beaucoup de problématiques de développement qui méritent l’intervention des partenaires », souligne M Kanté. Mais pour le représentant du directeur de l’Agence régionale de développement (ARD) Seynabou Sarr, il n’y a pas à désespérer. « Le processus de planification locale est lancé et avec le soutien de partenaire privilégié comme Plan à travers sa démarche et son approche qui fait de la collectivité locale sa porte d’entrée, et la conférence d’harmonisation des interventions, ces communautés rurales seront davantage prises en compte dans les actions de développement ».
Ousmane MBENGUE
Le Soleil