Développement local : Plan appui l'approche de développement centré sur l'enfant
THIES - Trois cent trente-cinq millions de francs, c’est l’enveloppe financière que l’Ong Plan Sénégal vient de mettre à la disposition des communautés rurales de Ngoundiane, Notto Dobass, Tassète et Ndieyenne Sirah, toutes de collectivités locales de la région de Thiès. Un financement qui entre dans le cadre de la mise en œuvre de ‘l’approche de développement communautaire centrée sur l’enfant’ que l’organisation non gouvernementale développe dans la région de Thiès depuis 2003. Lequel programme s’articule autour des secteurs de l’éducation, de la santé, de l’alimentation correcte en eau potable entre autres.
La cérémonie de signature des conventions de financement qui s’est tenue dans la salle de conférence du conseil régional sera ainsi l’occasion pour Cheikh Sarr, directeur financier de Plan Sénégal, de préciser que la subvention est destinée à l’opérationalisation de trois projets déjà identifiés par les populations elles-mêmes dans trois domaines que sont, l’accès aux ressources, la protection, le suivi et le développement de l’enfant par le biais de campagnes d’information, d’éducation et de communication, la formation d’éducateurs communautaires de santé, l’équipement de structures de santé, la construction de salles de classe, des bourses d’excellence et l’extension des réseaux d’adduction et enfin le partenariat et le plaidoyer en faveur des enfants. Lesquels domaines sont d’ailleurs inscrits dans la planification opérationnelle annuelle des différentes localités bénéficiaires. Aussi, de l’avis du directeur financier de Plan Sénégal, il s’agit avec ce programme de financement de mieux responsabiliser les communautés et d’appuyer les acteurs locaux ainsi que les populations dans la gestion des projets qu’ils initient en faveur des enfants, mais aussi et surtout d’accompagner la politique de l’Etat en matière de décentralisation.
Cet appui que Plan Sénégal apporte aux collectivités depuis son avènement dans la région, Maguette Lèye, président de la communauté rurale de Tassète qui parlait au nom de ses pairs, l'apprécie à sa juste valeur. En ce sens que, dira-t-il, il contribue à résolution des principales préoccupations des populations en assurant l'éducation, la couverture sanitaire et surtout l'accès durable à l'eau potable. Même son de cloche du côté du directeur de l'Agence régionale de développement qui se réjouit que les actions de Plan s'inscrivent dans une ère de rationalisation d'une démarche participative. En effet, ce sont les populations elles-mêmes qui identifient leurs besoins sous de forme de projets que l'Ong s'engage à financer et à suivre tout au long de leur exécution.
Wal Fadjri
La cérémonie de signature des conventions de financement qui s’est tenue dans la salle de conférence du conseil régional sera ainsi l’occasion pour Cheikh Sarr, directeur financier de Plan Sénégal, de préciser que la subvention est destinée à l’opérationalisation de trois projets déjà identifiés par les populations elles-mêmes dans trois domaines que sont, l’accès aux ressources, la protection, le suivi et le développement de l’enfant par le biais de campagnes d’information, d’éducation et de communication, la formation d’éducateurs communautaires de santé, l’équipement de structures de santé, la construction de salles de classe, des bourses d’excellence et l’extension des réseaux d’adduction et enfin le partenariat et le plaidoyer en faveur des enfants. Lesquels domaines sont d’ailleurs inscrits dans la planification opérationnelle annuelle des différentes localités bénéficiaires. Aussi, de l’avis du directeur financier de Plan Sénégal, il s’agit avec ce programme de financement de mieux responsabiliser les communautés et d’appuyer les acteurs locaux ainsi que les populations dans la gestion des projets qu’ils initient en faveur des enfants, mais aussi et surtout d’accompagner la politique de l’Etat en matière de décentralisation.
Cet appui que Plan Sénégal apporte aux collectivités depuis son avènement dans la région, Maguette Lèye, président de la communauté rurale de Tassète qui parlait au nom de ses pairs, l'apprécie à sa juste valeur. En ce sens que, dira-t-il, il contribue à résolution des principales préoccupations des populations en assurant l'éducation, la couverture sanitaire et surtout l'accès durable à l'eau potable. Même son de cloche du côté du directeur de l'Agence régionale de développement qui se réjouit que les actions de Plan s'inscrivent dans une ère de rationalisation d'une démarche participative. En effet, ce sont les populations elles-mêmes qui identifient leurs besoins sous de forme de projets que l'Ong s'engage à financer et à suivre tout au long de leur exécution.
Wal Fadjri
