Mme Ndèye Khady Diop Mbaye, ministre d’Etat chargé de la Famille, de la Sécurité alimentaire, de l’Entreprenariat féminin, de la Micro finance et de la Petite enfance a procédé, à Louga, au lancement du projet de développement intégré de la petite enfance dans les régions de Louga et de Saint-Louis.
« Ce projet que nous lançons est le résultat d’une coopération décentralisée et d’un match de football joué il y a un peu plus de deux ans entre le Sénégal et la Norvège. Et comme résultat, le bureau norvégien de Plan a mis à la disposition de Plan-Sénégal une enveloppe de 1,5 milliard de Fcfa", a déclaré à Louga, le directeur national de Plan-Sénégal, M. Ousmane Raymond Sèye.
Selon lui, ce projet vise à réduire dans les 5 prochaines années la mortalité maternelle, néonatale et infanto juvénile de 30.000 enfants de 17 Communautés rurales des régions de Louga et de Saint-Louis.
Il va s’employer à améliorer le développement psychomoteur, cognitif et socio affectif des enfants de 0 à 6 ans. Pour Mme le ministre d’Etat, Ndèye Khady Diop, "c’est un projet qui vient à son heure si l’on considère les difficiles conditions de vie de ces couches sociales avec les conséquences néfastes sur leur santé ». Elle a révélé qu’au Sénégal, si l’on a noté une baisse de la mortalité infanto juvénile, la mortalité maternelle et néonatale est, pour sa part, passée au cours de ces dernières années, de 31 à 34,9 pour mille.
L’analyse des causes fait ressortir, selon le ministre d’Etat, plusieurs facteurs qui influencent des comportements qui favorisent le décès des femmes et des enfants. Parmi ces facteurs, elle citera la pauvreté des femmes, l’analphabétisme, le faible pouvoir de décision des femmes et leur faible accès à l’eau potable et à l’assainissement.
Mme Ndèye Khady Diop a vivement salué ce nouveau programme de Plan-Sénégal qui permettra de renforcer la capacité des mères et des autres membres de la famille sur la survie et l’éveil du jeune enfant. Le projet prendra aussi en compte neuf stratégies dont la prise en charge intégrée des maladies de l’enfant en milieu communautaire, la stimulation de l’enfant au niveau familial et communautaire mais également le suivi évaluation.
Ousmane MBENGUE
Le Soleil
« Ce projet que nous lançons est le résultat d’une coopération décentralisée et d’un match de football joué il y a un peu plus de deux ans entre le Sénégal et la Norvège. Et comme résultat, le bureau norvégien de Plan a mis à la disposition de Plan-Sénégal une enveloppe de 1,5 milliard de Fcfa", a déclaré à Louga, le directeur national de Plan-Sénégal, M. Ousmane Raymond Sèye.
Selon lui, ce projet vise à réduire dans les 5 prochaines années la mortalité maternelle, néonatale et infanto juvénile de 30.000 enfants de 17 Communautés rurales des régions de Louga et de Saint-Louis.
Il va s’employer à améliorer le développement psychomoteur, cognitif et socio affectif des enfants de 0 à 6 ans. Pour Mme le ministre d’Etat, Ndèye Khady Diop, "c’est un projet qui vient à son heure si l’on considère les difficiles conditions de vie de ces couches sociales avec les conséquences néfastes sur leur santé ». Elle a révélé qu’au Sénégal, si l’on a noté une baisse de la mortalité infanto juvénile, la mortalité maternelle et néonatale est, pour sa part, passée au cours de ces dernières années, de 31 à 34,9 pour mille.
L’analyse des causes fait ressortir, selon le ministre d’Etat, plusieurs facteurs qui influencent des comportements qui favorisent le décès des femmes et des enfants. Parmi ces facteurs, elle citera la pauvreté des femmes, l’analphabétisme, le faible pouvoir de décision des femmes et leur faible accès à l’eau potable et à l’assainissement.
Mme Ndèye Khady Diop a vivement salué ce nouveau programme de Plan-Sénégal qui permettra de renforcer la capacité des mères et des autres membres de la famille sur la survie et l’éveil du jeune enfant. Le projet prendra aussi en compte neuf stratégies dont la prise en charge intégrée des maladies de l’enfant en milieu communautaire, la stimulation de l’enfant au niveau familial et communautaire mais également le suivi évaluation.
Ousmane MBENGUE
Le Soleil