Grâce à un partenariat signé entre la mairie, le foirail et le Programme de développement de marché agricole au Sénégal (Pademas), des travaux de réhabilitation et d’extension ont été effectués pour un coût global de près de 125 millions de FCfa, nous apprend Ada Coumba Ndiaye, 1er adjoint au maire de Dahra. Cela a permis la construction d’une salle de réunion et des bureaux pour les membres du Gie et les services vétérinaires. Toujours dans le cadre de ce programme, il est prévu une seconde phase qui concernera l’électrification des lieux. Selon M. Ndiaye, l’innovation de taille dans cette collaboration, c’est l’implication des éleveurs à travers le Gie « Darral Dahra » qui va prendre en charge la gestion du foirail. Ce qui était difficile au départ, car il y avait 2 autres structures qui voulaient également s’occuper de la gestion, dit-il. «Depuis janvier 2012, nous avons signé une convention de concession qui attribue l’exploitation du foirail au Gie qui va verser les redevances à la municipalité», explique l’adjoint au maire. Dans ce contrat d’un an renouvelable, ajoute-il, le Foirail est tenu à verser, chaque lundi, 60% des recettes encaissées. Les recettes sont versées dans la caisse du Gie « Darral Dahra ».
Le partenariat avec le programme prévoit également le foirail des petits ruminants dont la clôture du périmètre est prévue dans l’exercice du projet de budget 2013 de la mairie. Si l’on en croit aux autorités municipales avec, l’arrivée de l’actuel commandant de la brigade de gendarmerie de la localité, les choses ont évolué positivement, car il met toujours à leur disposition des éléments de force de l’ordre pour la sécurisation des éleveurs et de leurs biens.
L’extension du foirail des petits ruminants pour booster les recettes
Les recettes sont allées en croissance durant les dernières années de gestion de la mairie. Par exemple, en 2011 près de 23 millions de FCfa ont été récoltés. Mais en 2012, les recettes ont atteint 27 millions de FCfa, soit une hausse de 4 millions FCfa.
Les recettes proviennent essentiellement de la taxe prélevée sur chaque tête de bétail vendu. Elle varie entre 100 à 500 FCfa. A en croire Lamine Gassama, régisseur des recettes municipales de Dahra, lorsque la mairie assurait la gestion du foirail, les 23 millions de FCfa qu’elle encaissait venaient essentiellement de la vente du bétail. Les 2 millions de FCfa de recettes venaient des 5 zones de parcage des animaux.
C’est dire qu’avec l’extension prévue du foirail des petits ruminants et le nombre plus important de bétail qu’il devrait accueillir chaque dimanche, les recettes vont connaître une bonne croissance.
De l’avis de Daouda Kâ, président du foirail des petits ruminants, le nombre du bétail va varier suivant les périodes. En saison sèche, il pourrait aller jusqu’à 3. 500 voire 4.000 têtes, et plus de 5.000 têtes pendant la période d’hivernage.
A. DIAW
Le Soleil
Le partenariat avec le programme prévoit également le foirail des petits ruminants dont la clôture du périmètre est prévue dans l’exercice du projet de budget 2013 de la mairie. Si l’on en croit aux autorités municipales avec, l’arrivée de l’actuel commandant de la brigade de gendarmerie de la localité, les choses ont évolué positivement, car il met toujours à leur disposition des éléments de force de l’ordre pour la sécurisation des éleveurs et de leurs biens.
L’extension du foirail des petits ruminants pour booster les recettes
Les recettes sont allées en croissance durant les dernières années de gestion de la mairie. Par exemple, en 2011 près de 23 millions de FCfa ont été récoltés. Mais en 2012, les recettes ont atteint 27 millions de FCfa, soit une hausse de 4 millions FCfa.
Les recettes proviennent essentiellement de la taxe prélevée sur chaque tête de bétail vendu. Elle varie entre 100 à 500 FCfa. A en croire Lamine Gassama, régisseur des recettes municipales de Dahra, lorsque la mairie assurait la gestion du foirail, les 23 millions de FCfa qu’elle encaissait venaient essentiellement de la vente du bétail. Les 2 millions de FCfa de recettes venaient des 5 zones de parcage des animaux.
C’est dire qu’avec l’extension prévue du foirail des petits ruminants et le nombre plus important de bétail qu’il devrait accueillir chaque dimanche, les recettes vont connaître une bonne croissance.
De l’avis de Daouda Kâ, président du foirail des petits ruminants, le nombre du bétail va varier suivant les périodes. En saison sèche, il pourrait aller jusqu’à 3. 500 voire 4.000 têtes, et plus de 5.000 têtes pendant la période d’hivernage.
A. DIAW
Le Soleil