L’organisation de cet événement dans une région, annonce un communiqué des initiateurs reçu à l’Aps, « permettra aussi de mettre en place un cadre d’échanges entre la région Nord Pas de- Calais et la région de Saint- Louis du Sénégal ».
Les écrivains et poètes de Saint-Louis, qui ont eu cette initiative avec des partenaires français, comptent faire participer une trentaine d’auteurs et une quinzaine d’artistes (musiciens, conteurs, plasticiens…) à cette fête qui a pour objectif d’amener les collèges, lycées et l’Université Gaston Berger à tisser des relations avec les écrivains et éditeurs invités au salon. Le cachet populaire sera assuré par une dizaine de troupes issues des quartiers, selon ce document qui indique que l’événement laissera sur place quatre bibliothèques de quartier et sera immortalisé par la réalisation d’un film documentaire. Selon les écrivains, « cette heureuse initiative a fortement été encouragée par la Direction du livre et de la lecture du ministère sénégalais de la Culture ».
« Le principe de cette fête du livre étant retenu, nous avons décidé de l’organiser sur le modèle de l’alternance et de l’itinérance : une année à Saint Louis, une autre dans un des pays du partenariat qui sont disséminés dans l’Océan Indien, dans les Iles Caraïbes, au Mali et au Sénégal (Saint-Louis) », souligne le document.
En décidant d’organiser les années impaires, le télescopage avec la Fildak est évité mais toutes les années, les écrivains sénégalais ont l’occasion de participer annuellement à un salon du livre. Le thème proposé par le Conseil scientifique, que préside Alioune Badara Coulibaly, président du Ceps, est : « Le livre, outil de promotion ou article de luxe ? ».
A l’origine de cet événement, des contacts noués par le collectif des conseils de quartier qui ont facilité les relations entre l’Association Colère du Présent et les écrivains de Saint-Louis.
Les écrivains et poètes de Saint-Louis, qui ont eu cette initiative avec des partenaires français, comptent faire participer une trentaine d’auteurs et une quinzaine d’artistes (musiciens, conteurs, plasticiens…) à cette fête qui a pour objectif d’amener les collèges, lycées et l’Université Gaston Berger à tisser des relations avec les écrivains et éditeurs invités au salon. Le cachet populaire sera assuré par une dizaine de troupes issues des quartiers, selon ce document qui indique que l’événement laissera sur place quatre bibliothèques de quartier et sera immortalisé par la réalisation d’un film documentaire. Selon les écrivains, « cette heureuse initiative a fortement été encouragée par la Direction du livre et de la lecture du ministère sénégalais de la Culture ».
« Le principe de cette fête du livre étant retenu, nous avons décidé de l’organiser sur le modèle de l’alternance et de l’itinérance : une année à Saint Louis, une autre dans un des pays du partenariat qui sont disséminés dans l’Océan Indien, dans les Iles Caraïbes, au Mali et au Sénégal (Saint-Louis) », souligne le document.
En décidant d’organiser les années impaires, le télescopage avec la Fildak est évité mais toutes les années, les écrivains sénégalais ont l’occasion de participer annuellement à un salon du livre. Le thème proposé par le Conseil scientifique, que préside Alioune Badara Coulibaly, président du Ceps, est : « Le livre, outil de promotion ou article de luxe ? ».
A l’origine de cet événement, des contacts noués par le collectif des conseils de quartier qui ont facilité les relations entre l’Association Colère du Présent et les écrivains de Saint-Louis.