L’édition 2012 du Festival des Rizières débute ce jeudi à Diembéring. Second du genre, l’évènement est placé cette année sous le sceau des arts en général. Cependant, une place d e choix sera réservée aux arts vivants. Aussi, diverses activités sont au menu des festivités. Notamment des animations musicales, de la danse, des prestations de théâtre, des déclamations de poèmes, de la lutte traditionnelle, des conférences-débats, des ateliers de formation. A l’initiative de l’Association «Kamanou» en étroite collaboration avec les des populations de la communauté de Diembéring, la manifestation est une opportunité de revisiter l’art de la culture casamançaise dans son ensemble.
Pour cette seconde édition particulièrement, les arts vivants seront promus grâce aux prestations des artistes et des populations locales qui, par la même occasion, entendent renforcer les liens et partager un savoir intellectuel et artistique. Revenant sur l’importance de ce festival, le président de l’Association, par ailleurs initiateur dudit festival, révèle que plus de douze mille (12.000) visiteurs ont participé à la première édition. Pour cette année, de l’avis de M. Diatta, plus de trois mille (3000) participants sont attendus à la cérémonie d’ouverture. Ce rendez-vous culturel est pour les festivaliers une occasion de revisiter les pans de la culture diola du Kassa. A cet effet, plusieurs troupes théâtrales locales occupent une grande place dans l’agenda culturel des festivaliers. A ces activités se greffent la lutte, le hip hop et bien d’autres.
La danse et la musique traditionnelle sont également au rendez-vous. Situé à une dizaine de kilomètres de Cap Skiring, Diembérin est une localité multiethnique, un «véritable paradis touristique», disposant de nombreuses infrastructures touristiques à l’instar des campements et autres auberges. Intitulé Festival des rizières, les âmes vivant dans cette partie de la région sud accordant un grand intérêt à la culture du riz, ledit événement est une réelle opportunité de vendre cette zone où l’on parle l’un des rares dialectes diolas, le Kwatay. Village d’agriculteurs, Diembéring est pourtant confronté à de véritables problèmes environnementaux, à savoir la perte progressive de la biodiversité. «Ce qui est à l’origine de la création de l’Ecoparc pour la sauvegarde de quatre cent hectares de forêts englobant les dunes de la mangrove, les rivières et la mer… ».
Mamy Sy et Lamine Sagna (correspondant)
Le Messager
Pour cette seconde édition particulièrement, les arts vivants seront promus grâce aux prestations des artistes et des populations locales qui, par la même occasion, entendent renforcer les liens et partager un savoir intellectuel et artistique. Revenant sur l’importance de ce festival, le président de l’Association, par ailleurs initiateur dudit festival, révèle que plus de douze mille (12.000) visiteurs ont participé à la première édition. Pour cette année, de l’avis de M. Diatta, plus de trois mille (3000) participants sont attendus à la cérémonie d’ouverture. Ce rendez-vous culturel est pour les festivaliers une occasion de revisiter les pans de la culture diola du Kassa. A cet effet, plusieurs troupes théâtrales locales occupent une grande place dans l’agenda culturel des festivaliers. A ces activités se greffent la lutte, le hip hop et bien d’autres.
La danse et la musique traditionnelle sont également au rendez-vous. Situé à une dizaine de kilomètres de Cap Skiring, Diembérin est une localité multiethnique, un «véritable paradis touristique», disposant de nombreuses infrastructures touristiques à l’instar des campements et autres auberges. Intitulé Festival des rizières, les âmes vivant dans cette partie de la région sud accordant un grand intérêt à la culture du riz, ledit événement est une réelle opportunité de vendre cette zone où l’on parle l’un des rares dialectes diolas, le Kwatay. Village d’agriculteurs, Diembéring est pourtant confronté à de véritables problèmes environnementaux, à savoir la perte progressive de la biodiversité. «Ce qui est à l’origine de la création de l’Ecoparc pour la sauvegarde de quatre cent hectares de forêts englobant les dunes de la mangrove, les rivières et la mer… ».
Mamy Sy et Lamine Sagna (correspondant)
Le Messager