Dakar, 26 oct (APS) – Quelque 2500 danseurs et figurants vont exécuter le 10 décembre prochain la chorégraphie d’ouverture de la troisième édition du Festival mondial des Arts nègres, annonce mardi une lettre d’information de la Délégation générale de la manifestation.
Les techniciens qui viennent de terminer une mission de repérage et d’inspection des sites promettent, à l’ouverture du festival, un spectacle ‘’fort’’ axé sur la ‘’formidable aventure’’ du peuple africain à travers les âges, précise la même source.
Le chef de projet ‘’cérémonie d’ouverture’’, Arnaud De La Villebrune, a conduit une mission d’inspection au stade Léopold Sédar Senghor, qui va abriter la cérémonie d’ouverture et sur le site du Centre internationale du commerce extérieur du Sénégal (CICES), retenu pour abriter les répétitions.
Selon la Délégation générale, Kwame Kwei Armah, le directeur artistique du troisième Festival mondial des Arts nègres prévu du 10-31 décembre, et l’équipe internationale travaillant avec lui sur le terrain sont ‘’d’un enthousiasme contagieux’’.
Cité dans la lettre d’information, le chef du projet ‘’cérémonie d’ouverture’’ indique que les participants à la chorégraphie seront amenés à ‘’raconter la +formidable aventure+ du peuple d’Afrique, parti à la conquête du monde, avant de revenir sur +son territoire qui est l’Afrique+’’.
Lors de sa visite, Arnaud de la Villebrune a dit : ‘’Il s’agit de voir si tout ce que nous avons pensé dans nos coins peut fonctionner, mis ensemble, en fonction du lieu, de la logistique et de l’esprit du Festival’’.
Il était accompagné dans sa mission du directeur de la production, Raymond Lopes, du chorégraphe franco-ivoirien Georges Momboye, et du designer Marc Friend, signale la lettre d’information de la Délégation générale.
Des danseurs ivoiriens, guinéens, sénégalais, entre autres, avec qui Georges Momboye a l’habitude de travailler, ont déjà été recrutés, assurent les organisateurs, précisant que ‘’le reste des danseurs et figurants sera sélectionné sur place, à travers la communauté artistique locale’’.
Selon le chef du projet ‘’cérémonie d’ouverture’’, ‘’il faudra ensuite recruter danseurs et figurants et commencer les répétitions dans les meilleurs délais’’. C’est un ‘’très gros travail’’ qui sera fait en partenariat avec la commissaire du programme danse du festival, Gacirah Diagne, a-t-il indiqué, insistant, selon la Délégation générale, sur ‘’la nécessité de s’attacher les services de danseurs qui ont un +niveau satisfaisant+ pour suivre les indications’’.
‘’Le spectacle va en même temps mettre en exergue la relation fondamentale liant ceux qui sont partis et les Africains restés sur place, pour une dynamique nouvelle se justifiant par le fait que +le prochain siècle sera un siècle africain+’’, poursuit la lettre d’information.
La Délégation générale assure qu’en accord avec les responsables du festival, ‘’des choses ont été adaptées, d’autres supprimées, pour proposer de l’émotion et raconter la grande histoire des peuples africains’’, à travers ‘’un énorme travail assez moderne qui part du virtuel à la réalité, par le biais d’une projection en 3D’’.
A l’issue de cette visite qui a pris fin dimanche dernier, ‘’on aura arrêté le scénario du spectacle, déterminé le cahier des charges et les moyens techniques dont nous avons besoin’’, a dit Arnaud de la Villebrune cité dans la lettre d’information.
ADC/ASG
Les techniciens qui viennent de terminer une mission de repérage et d’inspection des sites promettent, à l’ouverture du festival, un spectacle ‘’fort’’ axé sur la ‘’formidable aventure’’ du peuple africain à travers les âges, précise la même source.
Le chef de projet ‘’cérémonie d’ouverture’’, Arnaud De La Villebrune, a conduit une mission d’inspection au stade Léopold Sédar Senghor, qui va abriter la cérémonie d’ouverture et sur le site du Centre internationale du commerce extérieur du Sénégal (CICES), retenu pour abriter les répétitions.
Selon la Délégation générale, Kwame Kwei Armah, le directeur artistique du troisième Festival mondial des Arts nègres prévu du 10-31 décembre, et l’équipe internationale travaillant avec lui sur le terrain sont ‘’d’un enthousiasme contagieux’’.
Cité dans la lettre d’information, le chef du projet ‘’cérémonie d’ouverture’’ indique que les participants à la chorégraphie seront amenés à ‘’raconter la +formidable aventure+ du peuple d’Afrique, parti à la conquête du monde, avant de revenir sur +son territoire qui est l’Afrique+’’.
Lors de sa visite, Arnaud de la Villebrune a dit : ‘’Il s’agit de voir si tout ce que nous avons pensé dans nos coins peut fonctionner, mis ensemble, en fonction du lieu, de la logistique et de l’esprit du Festival’’.
Il était accompagné dans sa mission du directeur de la production, Raymond Lopes, du chorégraphe franco-ivoirien Georges Momboye, et du designer Marc Friend, signale la lettre d’information de la Délégation générale.
Des danseurs ivoiriens, guinéens, sénégalais, entre autres, avec qui Georges Momboye a l’habitude de travailler, ont déjà été recrutés, assurent les organisateurs, précisant que ‘’le reste des danseurs et figurants sera sélectionné sur place, à travers la communauté artistique locale’’.
Selon le chef du projet ‘’cérémonie d’ouverture’’, ‘’il faudra ensuite recruter danseurs et figurants et commencer les répétitions dans les meilleurs délais’’. C’est un ‘’très gros travail’’ qui sera fait en partenariat avec la commissaire du programme danse du festival, Gacirah Diagne, a-t-il indiqué, insistant, selon la Délégation générale, sur ‘’la nécessité de s’attacher les services de danseurs qui ont un +niveau satisfaisant+ pour suivre les indications’’.
‘’Le spectacle va en même temps mettre en exergue la relation fondamentale liant ceux qui sont partis et les Africains restés sur place, pour une dynamique nouvelle se justifiant par le fait que +le prochain siècle sera un siècle africain+’’, poursuit la lettre d’information.
La Délégation générale assure qu’en accord avec les responsables du festival, ‘’des choses ont été adaptées, d’autres supprimées, pour proposer de l’émotion et raconter la grande histoire des peuples africains’’, à travers ‘’un énorme travail assez moderne qui part du virtuel à la réalité, par le biais d’une projection en 3D’’.
A l’issue de cette visite qui a pris fin dimanche dernier, ‘’on aura arrêté le scénario du spectacle, déterminé le cahier des charges et les moyens techniques dont nous avons besoin’’, a dit Arnaud de la Villebrune cité dans la lettre d’information.
ADC/ASG