L’atelier sur : « Politiques tarifaires et politiques sectorielles, cohérence et synergie : Une exigence pour le développement des filières animales locales » a pris fin hier, mercredi 26 août à Dakar. Les deux jours de réflexion ont été sanctionnés par une déclaration des éleveurs, magnifiant ainsi leur volonté de prendre en main leur destin avec la mise en place d’un réseau.
Ceci pour contribuer, à côté des autres acteurs, à ce que l’élevage soit bien considéré et pris en compte dans des politiques de développement, environnementales et commerciales cohérentes, doté le secteur de ressources adéquates.
Dans leur déclaration, éleveurs gambiens, mauritaniens, maliens, bissau-guinéens et sénégalais demandent aux pays frontaliers et aux organisations communautaires sous-régionales d’appuyer le renforcement de capacité des Organisations professionnelles d’éleveurs (Ope) dans la définition des stratégies et politiques de développement.
Ces acteurs de l’élevage s’attendent également au renforcement de la cohérence des politiques qui touchent au développement des filières animales locales aux différents niveaux. A cet effet, ils appellent à prendre en main la question de la transhumance transfrontalière, laquelle traduit, selon eux, la mobilité du cheptel qui « est une dimension incontournable d’une gestion durable des ressources naturelles dans le contexte du Sahel ».
Dans ce cadre, ont-ils précisé, les États doivent la prendre en compte de façon plus significative et lever les contraintes actuelles à la Libre circulation des personnes et des biens (Lcpb). Concernant les Ope, les éleveurs pensent que ces dernières devront promouvoir une organisation régionale forte pour suivre et défendre la transhumance transfrontalière.
Les éleveurs de la sous-région, dans leur plaidoirie, appellent les autorités des différents pays à faciliter un traitement diligent de la question du vol de bétail avec la collaboration active des États, des organisations nationales Ope et des organisations sous-régionales. Ils incitent également à la consolidation des espaces de concertation et de dialogue sectoriels et multisectoriels pour une meilleure intégration et cohérence des politiques de développement avec celles commerciales, environnementales, sanitaires, etc.
A travers leur réseau, ils sensibilisent sur la nécessité de veiller à une amélioration des conditions de commercialisation du bétail à travers l’aménagement de marchés sous-régionaux. A cela, s’ajoute, la promotion des femmes et jeunes dans le développement et la redynamisation de l’élevage dans la sous-région.
Sud Quotidien
Ceci pour contribuer, à côté des autres acteurs, à ce que l’élevage soit bien considéré et pris en compte dans des politiques de développement, environnementales et commerciales cohérentes, doté le secteur de ressources adéquates.
Dans leur déclaration, éleveurs gambiens, mauritaniens, maliens, bissau-guinéens et sénégalais demandent aux pays frontaliers et aux organisations communautaires sous-régionales d’appuyer le renforcement de capacité des Organisations professionnelles d’éleveurs (Ope) dans la définition des stratégies et politiques de développement.
Ces acteurs de l’élevage s’attendent également au renforcement de la cohérence des politiques qui touchent au développement des filières animales locales aux différents niveaux. A cet effet, ils appellent à prendre en main la question de la transhumance transfrontalière, laquelle traduit, selon eux, la mobilité du cheptel qui « est une dimension incontournable d’une gestion durable des ressources naturelles dans le contexte du Sahel ».
Dans ce cadre, ont-ils précisé, les États doivent la prendre en compte de façon plus significative et lever les contraintes actuelles à la Libre circulation des personnes et des biens (Lcpb). Concernant les Ope, les éleveurs pensent que ces dernières devront promouvoir une organisation régionale forte pour suivre et défendre la transhumance transfrontalière.
Les éleveurs de la sous-région, dans leur plaidoirie, appellent les autorités des différents pays à faciliter un traitement diligent de la question du vol de bétail avec la collaboration active des États, des organisations nationales Ope et des organisations sous-régionales. Ils incitent également à la consolidation des espaces de concertation et de dialogue sectoriels et multisectoriels pour une meilleure intégration et cohérence des politiques de développement avec celles commerciales, environnementales, sanitaires, etc.
A travers leur réseau, ils sensibilisent sur la nécessité de veiller à une amélioration des conditions de commercialisation du bétail à travers l’aménagement de marchés sous-régionaux. A cela, s’ajoute, la promotion des femmes et jeunes dans le développement et la redynamisation de l’élevage dans la sous-région.
Sud Quotidien