Cette rencontre qui va s’étaler sur une durée de deux jours est la poursuite du programme national de concertation que l’état du Sénégal par le biais de son ministère a lancé en 2006 en direction des acteurs de la base afin de mobiliser toutes les expériences devant servir au plan national de développement du secteur.
Appuyé par l’union européenne dans le cadre de la mise en place d’une nouvelle loi d’orientation Agro-sylvo-pastorale ou son amendement, ce projet vise à redéfinir un nouveau plan opérationnel pour retracer une nouvelle vision plus pertinente dans le secteur de l’élevage au Sénégal.
D’abord, il consiste à aller à la rencontre de l’ensemble des acteurs régionaux du pays, afin de capitaliser l’essentiel des analyses et propositions multisectorielles venues de l’ensemble des segments mobilisés autour de la filière.
C’est surtout une démarche lancée pour disposer à l’avenir d’un support de taille, mais également d’un cadre de réflexions cohérent où sera logé l’ensemble des projets, et qui facilitera pour le reste du projet, le développement des stratégies nécessaires.
Selon le directeur de l’élevage Mamadou Ousseynou Sakho, « le plan qu’il convient aujourd’hui d’élaborer suivant une approche concertée et participative fait partie des dispositions de la loi d’orientation Agro-sylvo-pastoral. Il s’agira dés lors d’engager une réflexion concertée en direction du partage et de la validation des synthèses régionales, mais également d’identifier toutes les contraintes liées au développement de l’élevage sur le sphère local, et procéder à l’étude de la situation sur les différentes filières de productions animales, tout en définissant les orientations stratégiques, et cela, en marge de la validation d’un plan d’action régional pour le développement de l’élevage au niveau local ».
Ainsi dans le fond, le projet de définir une nouvelle loi d’orientation Agro-sylvo-pastorale est une affaire que l’état du Sénégal s’engage à réaliser d’ici les 20 prochaines années. Ainsi en collaboration avec l’union européenne, il s’est toujours inscrit dans une dynamique de poursuivre son combat de pouvoir supporter sans faille la demande sociale par rapport aux produits tirés de l’élevage, mais aussi d’annuler pour le reste de l’histoire la facture d’importation des produits laitiers estimée chaque année à 36 milliards de nos francs.
Dans ce pays où le secteur de l’élevage occupe 70 % de la population active, et 35 % du produit intérieur brut (PIB) selon l’inspecteur régional de Kaolack, il est aujourd’hui une nécessité de booster encore en faveur d’un développement généralisé du secteur, mais particulièrement en direction d’un élevage sédentarisé dont les résultats commencent à prendre des proportions satisfaisantes dans les milieux urbains comme ruraux ;
Sud Quotidien
Appuyé par l’union européenne dans le cadre de la mise en place d’une nouvelle loi d’orientation Agro-sylvo-pastorale ou son amendement, ce projet vise à redéfinir un nouveau plan opérationnel pour retracer une nouvelle vision plus pertinente dans le secteur de l’élevage au Sénégal.
D’abord, il consiste à aller à la rencontre de l’ensemble des acteurs régionaux du pays, afin de capitaliser l’essentiel des analyses et propositions multisectorielles venues de l’ensemble des segments mobilisés autour de la filière.
C’est surtout une démarche lancée pour disposer à l’avenir d’un support de taille, mais également d’un cadre de réflexions cohérent où sera logé l’ensemble des projets, et qui facilitera pour le reste du projet, le développement des stratégies nécessaires.
Selon le directeur de l’élevage Mamadou Ousseynou Sakho, « le plan qu’il convient aujourd’hui d’élaborer suivant une approche concertée et participative fait partie des dispositions de la loi d’orientation Agro-sylvo-pastoral. Il s’agira dés lors d’engager une réflexion concertée en direction du partage et de la validation des synthèses régionales, mais également d’identifier toutes les contraintes liées au développement de l’élevage sur le sphère local, et procéder à l’étude de la situation sur les différentes filières de productions animales, tout en définissant les orientations stratégiques, et cela, en marge de la validation d’un plan d’action régional pour le développement de l’élevage au niveau local ».
Ainsi dans le fond, le projet de définir une nouvelle loi d’orientation Agro-sylvo-pastorale est une affaire que l’état du Sénégal s’engage à réaliser d’ici les 20 prochaines années. Ainsi en collaboration avec l’union européenne, il s’est toujours inscrit dans une dynamique de poursuivre son combat de pouvoir supporter sans faille la demande sociale par rapport aux produits tirés de l’élevage, mais aussi d’annuler pour le reste de l’histoire la facture d’importation des produits laitiers estimée chaque année à 36 milliards de nos francs.
Dans ce pays où le secteur de l’élevage occupe 70 % de la population active, et 35 % du produit intérieur brut (PIB) selon l’inspecteur régional de Kaolack, il est aujourd’hui une nécessité de booster encore en faveur d’un développement généralisé du secteur, mais particulièrement en direction d’un élevage sédentarisé dont les résultats commencent à prendre des proportions satisfaisantes dans les milieux urbains comme ruraux ;
Sud Quotidien