M. Ndiaye s’exprimait lors de la célébration de la journée internationale des archives axée sur cette année sur le thème général :’’ les archives en tant que support pour la bonne gouvernance et la mémoire collective’’.
‘’L’histoire suit son cours et nous devons laisser des marques pour la postérité par conséquent les hommes politiques et autorités administratives responsables doivent veiller à ce que la mémoire collective soit respectée et restaurée’’, a soutenu M. Ndiaye.
L’histoire est le fondement d’une nation qui doit reposer sur le socle profond bâti par des hommes de qualité depuis des siècles, a indiqué l’archiviste ajoutant qu’’’un peuple sans histoire est voué à l’échec’’.
Les membres de la cellule régionale de l’association des bibliothécaires, archivistes et documentalistes (ASBAD) ont organisé au centre culturel une exposition sur l’histoire de la ville de Louga, des personnalités politiques, religieuses et coutumières du Ndiambour.
A travers cette exposition, les archivistes et documentalistes ont voulu retracer Louga dans le contexte du Cayor, en tant que commune mixte créée en 1904 et rafraîchir la mémoire des visiteurs sur les œuvres de fils du terroir comme Bouna Alboury, Massourang Sourang, Lat Dior Diop, Djily Mbaye, Abass Sall, Abdou Diouf, etc.
Cette initiative est salutaire et devrait être pérennisée pour permettre aux populations de connaître des pans entiers de l’histoire de leur terroir et aux communicateurs traditionnels de se ressourcer, d’avoir des éléments écrits d’appréciation de l’histoire léguée par les ancêtres, a souligné le conservateur du musée du FESFOP (festival international de folklore et de percussions), Youssou Mbargane Mbaye.
‘’Louga est effectivement une vitrine de l’histoire du pays pour avoir été le premier bassin arachidier, abrité tous les comptoirs commerciaux, avoir été la terre ou les français ont été battus par Lat Dior Diop qui avait tué le capitaine Salmon’’, a dit M. Mbaye.
Le vice-président de l’association nationale des communicateurs traditionnels a également relaté le séjour d’une journée du fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba en route pour un exil de 8 ans, les années glorieuses des troupes théâtrales du Cercle de la jeunesse et du Ngalam.
La journée internationale des archives a pris fin à Louga par une conférence animée par le directeur du centre national des archives judiciaires sur le thème : ‘’Louga, une vitrine dans l’histoire du Sénégal’’.
‘’L’histoire suit son cours et nous devons laisser des marques pour la postérité par conséquent les hommes politiques et autorités administratives responsables doivent veiller à ce que la mémoire collective soit respectée et restaurée’’, a soutenu M. Ndiaye.
L’histoire est le fondement d’une nation qui doit reposer sur le socle profond bâti par des hommes de qualité depuis des siècles, a indiqué l’archiviste ajoutant qu’’’un peuple sans histoire est voué à l’échec’’.
Les membres de la cellule régionale de l’association des bibliothécaires, archivistes et documentalistes (ASBAD) ont organisé au centre culturel une exposition sur l’histoire de la ville de Louga, des personnalités politiques, religieuses et coutumières du Ndiambour.
A travers cette exposition, les archivistes et documentalistes ont voulu retracer Louga dans le contexte du Cayor, en tant que commune mixte créée en 1904 et rafraîchir la mémoire des visiteurs sur les œuvres de fils du terroir comme Bouna Alboury, Massourang Sourang, Lat Dior Diop, Djily Mbaye, Abass Sall, Abdou Diouf, etc.
Cette initiative est salutaire et devrait être pérennisée pour permettre aux populations de connaître des pans entiers de l’histoire de leur terroir et aux communicateurs traditionnels de se ressourcer, d’avoir des éléments écrits d’appréciation de l’histoire léguée par les ancêtres, a souligné le conservateur du musée du FESFOP (festival international de folklore et de percussions), Youssou Mbargane Mbaye.
‘’Louga est effectivement une vitrine de l’histoire du pays pour avoir été le premier bassin arachidier, abrité tous les comptoirs commerciaux, avoir été la terre ou les français ont été battus par Lat Dior Diop qui avait tué le capitaine Salmon’’, a dit M. Mbaye.
Le vice-président de l’association nationale des communicateurs traditionnels a également relaté le séjour d’une journée du fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba en route pour un exil de 8 ans, les années glorieuses des troupes théâtrales du Cercle de la jeunesse et du Ngalam.
La journée internationale des archives a pris fin à Louga par une conférence animée par le directeur du centre national des archives judiciaires sur le thème : ‘’Louga, une vitrine dans l’histoire du Sénégal’’.