Le stage de formation professionnelle et technique pour les pays africains qui se tenait depuis le 21 décembre dernier au Centre de formation professionnelle et technique (Cfpt) a pris fin hier. A l’initiative de la Jica, cette formation a permis à une vingtaine de formateurs de dix pays africains de s’exercer à la réalisation de matériels didactiques en électronique de puissance et en contrôle électronique automobile.
Une vingtaine de formateurs intervenant dans la formation technique et professionnelle issus de dix pays africains ont reçu, hier, leur attestation qui sanctionne cinq semaines de stage entrant dans le cadre du Programme de formation en pays tiers de la Jica. Cette première édition de la phase 4 du programme s’est traduite par la mise en œuvre de deux séminaires de formation, du 21 décembre 2015 au 23 janvier 2016, en « Réalisation de matériels didactiques en électronique de puissance » et en «Contrôle électronique automobile ».
Les bénéficiaires viennent du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Togo et du Sénégal. Ils ont été encouragés à mettre à profit les résultats de ce stage pour impulser davantage le développement technique et la productivité dans leurs pays respectifs. Par la voix de leur porte-parole, Mme Aminatou Moulay Guig, ils se disent prêts à relever ce défi. Pour le directeur du Cfpt, Babacar Seck, les deux thèmes sur lesquels a porté ce stage couvrent des secteurs importants et variés dans les domaines prioritaires pour la satisfaction des besoins des différents pays participants.
Se félicitant de la volonté et du dévouement dont ont fait montre les bénéficiaires de ce stage, le Premier conseiller de l’Ambassade du Japon au Sénégal a rappelé la place fondamentale que son pays a accordé à l’éducation et au capital humain pour impulser son développement. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre, selon lui, la coopération japonaise en termes de formation et de renforcement des ressources humaines hautement qualifiées. Cheikh Sadibou Dia, secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat a abondé dans le même sens en rappelant que depuis plus de 30 ans, « le Japon ne ménage aucun effort pour aider à la déclinaison opérationnelle de différents programmes et projets dans le secteur de la formation professionnelle et technique dont la finalité est d’en faire un pilier du développement du capital humain, un puissant instrument de lutte contre la pauvreté ».
Elhadji I. THIAM
Le Soleil
Une vingtaine de formateurs intervenant dans la formation technique et professionnelle issus de dix pays africains ont reçu, hier, leur attestation qui sanctionne cinq semaines de stage entrant dans le cadre du Programme de formation en pays tiers de la Jica. Cette première édition de la phase 4 du programme s’est traduite par la mise en œuvre de deux séminaires de formation, du 21 décembre 2015 au 23 janvier 2016, en « Réalisation de matériels didactiques en électronique de puissance » et en «Contrôle électronique automobile ».
Les bénéficiaires viennent du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, de la Guinée, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Togo et du Sénégal. Ils ont été encouragés à mettre à profit les résultats de ce stage pour impulser davantage le développement technique et la productivité dans leurs pays respectifs. Par la voix de leur porte-parole, Mme Aminatou Moulay Guig, ils se disent prêts à relever ce défi. Pour le directeur du Cfpt, Babacar Seck, les deux thèmes sur lesquels a porté ce stage couvrent des secteurs importants et variés dans les domaines prioritaires pour la satisfaction des besoins des différents pays participants.
Se félicitant de la volonté et du dévouement dont ont fait montre les bénéficiaires de ce stage, le Premier conseiller de l’Ambassade du Japon au Sénégal a rappelé la place fondamentale que son pays a accordé à l’éducation et au capital humain pour impulser son développement. C’est dans ce sens qu’il faut comprendre, selon lui, la coopération japonaise en termes de formation et de renforcement des ressources humaines hautement qualifiées. Cheikh Sadibou Dia, secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat a abondé dans le même sens en rappelant que depuis plus de 30 ans, « le Japon ne ménage aucun effort pour aider à la déclinaison opérationnelle de différents programmes et projets dans le secteur de la formation professionnelle et technique dont la finalité est d’en faire un pilier du développement du capital humain, un puissant instrument de lutte contre la pauvreté ».
Elhadji I. THIAM
Le Soleil