Avec plus de 219 millions de cas de paludisme en 2017, avec 435 000 décès enregistrés et près de 96 % des cas localisés en Afrique, le Paludisme fait des ravages. La Journée mondiale de lutte contre le paludisme, a été l’occasion pour le ministre de la Santé Abdoulaye Diouf Sarr de faire le point. «Cette maladie constitue un énorme fardeau économique pour les pays africains.
Mais, le Sénégal a réalisé des progrès significatifs, au cours de ces dernières années, dans la lutte contre le paludisme, avec une incidence positive sur la charge de la morbidité et de la mortalité palustres. La morbidité proportionnelle palustre est passée de 5,40 % en 2017 à 4,2 %, soit une réduction de 22 %. La mortalité proportionnelle palustre, quant à elle, est passée de 7,5 % en 2013, à 1,9 % en 2018, soit une réduction de 75 %. Chez les moins de 5 ans, la morbidité proportionnelle palustre est passée de 3,77 % en 2013 à 2,6% en 2017 soit une réduction de 31% et la mortalité proportionnelle palustre de 11,15% en 2013 à 1,5% en 2017 soit une réduction de 87 % », a-t-il déclaré. Selon le ministre, le défi majeur est l’élimination du paludisme en 2030.
http://www.lesoleil.sn/le-palu-un-fardeau-economique-selon-le-ministre-de-la-sante/
Mais, le Sénégal a réalisé des progrès significatifs, au cours de ces dernières années, dans la lutte contre le paludisme, avec une incidence positive sur la charge de la morbidité et de la mortalité palustres. La morbidité proportionnelle palustre est passée de 5,40 % en 2017 à 4,2 %, soit une réduction de 22 %. La mortalité proportionnelle palustre, quant à elle, est passée de 7,5 % en 2013, à 1,9 % en 2018, soit une réduction de 75 %. Chez les moins de 5 ans, la morbidité proportionnelle palustre est passée de 3,77 % en 2013 à 2,6% en 2017 soit une réduction de 31% et la mortalité proportionnelle palustre de 11,15% en 2013 à 1,5% en 2017 soit une réduction de 87 % », a-t-il déclaré. Selon le ministre, le défi majeur est l’élimination du paludisme en 2030.
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