Dakar, 3 juin (APS) - Le pavage des rues de Dakar par la mairie facilite l’écoulement des eaux pluviales et constitue, par conséquent, une solution aux inondations, a estimé lundi Cheikh Guèye, premier adjoint du maire de la ville.
Le pavage est fait de sorte qu'il "facilite l’écoulement des eaux pluviales. C'est donc une solution aux inondations", a souligné M. Guèye lors d'une réunion du conseil municipal.
Le canal 4 de Dakar, qui traverse plusieurs quartiers de la ville, est source de "problèmes écologiques", a signalé Cheikh Guèye.
"A cause de sa position géographique et de la nature des déchets qu'il reçoit, ce canal pose d’énormes problèmes écologiques", a-t-il affirmé, ajoutant que l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) est sur le point de procéder au curage de l'ouvrage.
Les tabliers, qui ont récemment fait les frais d'une opération de désencombrement de la ville, doivent apporter une contrepartie égale à 25 % du coût de la construction du nouveau site qui leur est dédié, a par ailleurs précisé M. Guèye.
Ils doivent s'acquitter du versement de cette contrepartie, dans une durée de 18 mois, selon le premier adjoint du maire.
MF/ESF
Le pavage est fait de sorte qu'il "facilite l’écoulement des eaux pluviales. C'est donc une solution aux inondations", a souligné M. Guèye lors d'une réunion du conseil municipal.
Le canal 4 de Dakar, qui traverse plusieurs quartiers de la ville, est source de "problèmes écologiques", a signalé Cheikh Guèye.
"A cause de sa position géographique et de la nature des déchets qu'il reçoit, ce canal pose d’énormes problèmes écologiques", a-t-il affirmé, ajoutant que l’Office national de l’assainissement du Sénégal (ONAS) est sur le point de procéder au curage de l'ouvrage.
Les tabliers, qui ont récemment fait les frais d'une opération de désencombrement de la ville, doivent apporter une contrepartie égale à 25 % du coût de la construction du nouveau site qui leur est dédié, a par ailleurs précisé M. Guèye.
Ils doivent s'acquitter du versement de cette contrepartie, dans une durée de 18 mois, selon le premier adjoint du maire.
MF/ESF