Saint-Louis, 9 juil (APS) - Le directeur général de l'Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA), Alioune Fall s'est dit mercredi confiant quant à la reconstitution du capital semencier en dépit du retard enregistré dans le démarrage de cette opération.
''Nous avons accusé un retard mais des corrections sont en cours pour atteindre annuellement 60 tonnes de semences que nous mettrons à la disposition des multiplicateurs'', a-t-il lors d'une tournée de prise de contact de deux jours dans le delta du fleuve Sénégal (nord).
Il a plaidé pour la professionnalisation de cette filière et invité les sociétés agricoles à s y investir pour le sécuriser à l'image de ce que fait la Société des conserveries du Sénégal (SOCAS) qui a mis à la disposition de l'ISRA des surfaces pour développer ses activités.
Selon lui, "il n'est plus question de stagner ou de reculer'' dans le processus de reconstitution du capital semencier. Les quantités déjà disponibles doivent être multipliées avec l'implication de professionnels expérimentés.
Le directeur général de l'ISRA s'est rendu au Centre de recherches de Ndiol et à Savoigne où se trouvent les champs de la SOCAS. Il a fait part dans ces localités de sa volonté de contribuer au succès de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition (NASAN) et à l'atteinte de l'autosuffisance alimentaire.
L'ISRA est en train de trouver des semences de qualité nécessaires à la réalisation de ces objectifs qui sont ''au cœur" du Plan Sénégal émergent (PSE), nouveau référentiel des politiques publiques au Sénégal.
De même, l'ISRA est en train de réhabiliter ses surfaces cultivables, a déclaré son directeur général, avant de justifier le choix porté sur la SOCAS "pour mener certaines activités''.
AMD/BK
''Nous avons accusé un retard mais des corrections sont en cours pour atteindre annuellement 60 tonnes de semences que nous mettrons à la disposition des multiplicateurs'', a-t-il lors d'une tournée de prise de contact de deux jours dans le delta du fleuve Sénégal (nord).
Il a plaidé pour la professionnalisation de cette filière et invité les sociétés agricoles à s y investir pour le sécuriser à l'image de ce que fait la Société des conserveries du Sénégal (SOCAS) qui a mis à la disposition de l'ISRA des surfaces pour développer ses activités.
Selon lui, "il n'est plus question de stagner ou de reculer'' dans le processus de reconstitution du capital semencier. Les quantités déjà disponibles doivent être multipliées avec l'implication de professionnels expérimentés.
Le directeur général de l'ISRA s'est rendu au Centre de recherches de Ndiol et à Savoigne où se trouvent les champs de la SOCAS. Il a fait part dans ces localités de sa volonté de contribuer au succès de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition (NASAN) et à l'atteinte de l'autosuffisance alimentaire.
L'ISRA est en train de trouver des semences de qualité nécessaires à la réalisation de ces objectifs qui sont ''au cœur" du Plan Sénégal émergent (PSE), nouveau référentiel des politiques publiques au Sénégal.
De même, l'ISRA est en train de réhabiliter ses surfaces cultivables, a déclaré son directeur général, avant de justifier le choix porté sur la SOCAS "pour mener certaines activités''.
AMD/BK