Louga, 27 mai (APS) - Le directeur du Centre culturel régional de Louga, Hugues Diaz, a annoncé vendredi l’ouverture prochaine d’une boutique culturelle dédiée au label "Louga en création" afin de servir de vitrine aux produits artisanaux locaux.
‘’Le projet qui est le fruit d’un partenariat public privé servira de vitrine aux produits artisanaux et culturels des artistes et créateurs qui résident dans la région de Louga’’, a-t-il confié à l’APS.
M. Diaz s’exprimait en marge de la clôture d’un séminaire portant sur l’investissement dans le secteur culturel.
‘’La boutique, dont la mise en place nécessite un investissement de 125 millions de francs CFA sera ouverte avant la fin de l’année dans le but de valoriser les produits des artistes locaux et d’inciter les amateurs d’art à les consommer’’, a-t-il souligné.
M. Diaz a indiqué que cette infrastructure permettra également aux artistes de s’affiner sur le plan de la qualité. ‘’Le Centre culturel régional se chargera de faire une sélection rigoureuse des œuvres qui y seront exposées’’, a signalé son directeur.
Hugues Diaz s’est en outre défendu de vouloir copier le village artisanal de Louga.
‘’Il s’agit de servir d’un cadre de valorisation des produits artisanaux locaux. On ne peut pas parler de concurrence quand bien même elle créerait une émulation chez les artistes et artisans’’, a-t-il ainsi indiqué.
Le Centre culturel régional de Louga a abrité du mardi au vendredi un séminaire portant sur le thème : "Investir dans les entreprises culturelles et créatives", sous l’égide du Programme de promotion des entreprises culturelles et créatives (FOMECC).
Les travaux de ces quatre jours permettront d’accompagner les artistes locaux, dans la durée à travers un plan d’appui en service de conseil, d’assistance technique et d’accompagnement, a déclaré à la presse la responsable de la communication du FOMECC, Youma Fall.
Le développement d’un secteur dépend de la bonne volonté et de l’engagement des pouvoirs publics, des privés et des acteurs ses acteurs, a-t-elle relevé.
‘’A Louga, a-t-elle dit, nous avons été surpris par l’engagement des acteurs qui ont plus exprimé des besoins en formation et en professionnalisation qu’en financement.’’
AKS/SAB
‘’Le projet qui est le fruit d’un partenariat public privé servira de vitrine aux produits artisanaux et culturels des artistes et créateurs qui résident dans la région de Louga’’, a-t-il confié à l’APS.
M. Diaz s’exprimait en marge de la clôture d’un séminaire portant sur l’investissement dans le secteur culturel.
‘’La boutique, dont la mise en place nécessite un investissement de 125 millions de francs CFA sera ouverte avant la fin de l’année dans le but de valoriser les produits des artistes locaux et d’inciter les amateurs d’art à les consommer’’, a-t-il souligné.
M. Diaz a indiqué que cette infrastructure permettra également aux artistes de s’affiner sur le plan de la qualité. ‘’Le Centre culturel régional se chargera de faire une sélection rigoureuse des œuvres qui y seront exposées’’, a signalé son directeur.
Hugues Diaz s’est en outre défendu de vouloir copier le village artisanal de Louga.
‘’Il s’agit de servir d’un cadre de valorisation des produits artisanaux locaux. On ne peut pas parler de concurrence quand bien même elle créerait une émulation chez les artistes et artisans’’, a-t-il ainsi indiqué.
Le Centre culturel régional de Louga a abrité du mardi au vendredi un séminaire portant sur le thème : "Investir dans les entreprises culturelles et créatives", sous l’égide du Programme de promotion des entreprises culturelles et créatives (FOMECC).
Les travaux de ces quatre jours permettront d’accompagner les artistes locaux, dans la durée à travers un plan d’appui en service de conseil, d’assistance technique et d’accompagnement, a déclaré à la presse la responsable de la communication du FOMECC, Youma Fall.
Le développement d’un secteur dépend de la bonne volonté et de l’engagement des pouvoirs publics, des privés et des acteurs ses acteurs, a-t-elle relevé.
‘’A Louga, a-t-elle dit, nous avons été surpris par l’engagement des acteurs qui ont plus exprimé des besoins en formation et en professionnalisation qu’en financement.’’
AKS/SAB