Ce projet financé à hauteur de 20milliards de francs sur une durée de cinq ans(2009-2013) vise l’accès des enfants vulnérables à une éducation de base de qualité, la définition d’un curriculum plus adapté au développement socio-économique du Sénégal, l’amélioration de la gestion et de la gouvernance de l’éducation avec la participation des parents d’élèves, l’accès accru des élèves et enseignants à des informations et des ressources d’éducation de qualité à travers l’Internet sans fil et l’accroissement de la contribution du secteur privé dans l’éducation.
Le projet intervient dans les régions de Dakar, Louga, Saint-Louis et Matam. Pour ce qui est du développement de l’enseignement moyen, les régions concernées sont celles de Fatick, Ziguinchor, Sédhiou, Kolda Tambacounda et Kédougou. D’après Kevin J Mullally Directeur de l’Usaid, « Ce projet de quarante millions de dollars, soit 20 milliards de nos francs, vise en priorité à contribuer au développement de l’éducation de base et particulièrement à l’amélioration de la pertinence et de la qualité des apprentissages dans l’enseignement. A la fin du projet, nous voulons que plus de cinquante mille talibés et enfants de la rue soient inscrits dans les écoles élémentaires, les établissements d’enseignement moyen, secondaire et professionnel avec l’implication des maîtres d’écoles coraniques », a-t-il poursuit .
Un nouveau Curriculum de l’enseignement moyen au service du développement
Dans ce nouveau programme, il s’agit de mettre en place un programme qui répond aux réalités socio-culturelles du Sénégal. Tout en favorisant le développement de la pensée critique, des valeurs de bonne gouvernance et des aptitudes d’insertion dans le monde du travail. Il s’agit également de procéder à l’élaboration, au test et à la distribution des guides et des matériels didactiques favorisant l’émergence d’une pensée critique et des aptitudes de bonne gouvernance. Tout cela, avec la définition du nouveau profil de l’élève sortant de l’enseignement moyen. C’est dans le cadre de ce développement que Alioune Ndiaye, directeur de cabinet de Kalidou Diallo a annoncé que « ce projet de 20 milliards qui s’inscrit dans le cadre du PDEF contribue à l’accès et au développement de l’éducation »
Mise en place d’un nouveau système d’évaluation pour plus d’efficacité et de bonne gouvernance
Faire de l’échec une exception, telle est l’ambition des leaders du Projet de l’Éducation de base de l’Usaid. Ainsi pour relever ce défi, ces leaders entendent mettre sur pied une formation continue et suivie des enseignants afin de permettre une meilleure amélioration des apprentissages avec l’implication de plus 600 collèges, 7500 enseignants, 1000 agents de personnel administratifs et d’encadrement et environ 2000 parents d’élèves.
Pour assurer une gestion plus efficace et une bonne transparence dans le fonctionnement de l’enseignement moyen, il est prévu de mettre sur pied des sessions de renforcement de capacités de 2500 gestionnaires des services déconcentrés du ministère de l’éducation, des élus régionaux et locaux. Il convient aussi de former 251 associations et fédérations d’associations de parents d’élèves et plus de 5000 parents d’élèves pour une meilleure connaissance de l’exercice des rôles et responsabilités des associations des parents d’élèves. Avec l’élaboration et la publication des comptes nationaux et locaux de l’éducation.
Selon Djim Momar Cissé, le responsable de la communication de la fédération nationale des parents d’élèves (Fenapes), « Gouvernance ne pouvait être plus bonne que lorsqu’elle appelle toutes les parties prenantes (Ong, parents d’élèves, Etat) à regarder ensemble dans une dynamique partenariale à l’intérieur et l’extérieur du système éducatif. »
L’Usaid à travers son programme d’appui à l’enseignement moyen (Paem) contribue depuis 2003 à l’amélioration de l’enseignement moyen au Sénégal avec la construction de collèges, le recyclage et la formation de professeurs, etc.
Sud Quotidien
Le projet intervient dans les régions de Dakar, Louga, Saint-Louis et Matam. Pour ce qui est du développement de l’enseignement moyen, les régions concernées sont celles de Fatick, Ziguinchor, Sédhiou, Kolda Tambacounda et Kédougou. D’après Kevin J Mullally Directeur de l’Usaid, « Ce projet de quarante millions de dollars, soit 20 milliards de nos francs, vise en priorité à contribuer au développement de l’éducation de base et particulièrement à l’amélioration de la pertinence et de la qualité des apprentissages dans l’enseignement. A la fin du projet, nous voulons que plus de cinquante mille talibés et enfants de la rue soient inscrits dans les écoles élémentaires, les établissements d’enseignement moyen, secondaire et professionnel avec l’implication des maîtres d’écoles coraniques », a-t-il poursuit .
Un nouveau Curriculum de l’enseignement moyen au service du développement
Dans ce nouveau programme, il s’agit de mettre en place un programme qui répond aux réalités socio-culturelles du Sénégal. Tout en favorisant le développement de la pensée critique, des valeurs de bonne gouvernance et des aptitudes d’insertion dans le monde du travail. Il s’agit également de procéder à l’élaboration, au test et à la distribution des guides et des matériels didactiques favorisant l’émergence d’une pensée critique et des aptitudes de bonne gouvernance. Tout cela, avec la définition du nouveau profil de l’élève sortant de l’enseignement moyen. C’est dans le cadre de ce développement que Alioune Ndiaye, directeur de cabinet de Kalidou Diallo a annoncé que « ce projet de 20 milliards qui s’inscrit dans le cadre du PDEF contribue à l’accès et au développement de l’éducation »
Mise en place d’un nouveau système d’évaluation pour plus d’efficacité et de bonne gouvernance
Faire de l’échec une exception, telle est l’ambition des leaders du Projet de l’Éducation de base de l’Usaid. Ainsi pour relever ce défi, ces leaders entendent mettre sur pied une formation continue et suivie des enseignants afin de permettre une meilleure amélioration des apprentissages avec l’implication de plus 600 collèges, 7500 enseignants, 1000 agents de personnel administratifs et d’encadrement et environ 2000 parents d’élèves.
Pour assurer une gestion plus efficace et une bonne transparence dans le fonctionnement de l’enseignement moyen, il est prévu de mettre sur pied des sessions de renforcement de capacités de 2500 gestionnaires des services déconcentrés du ministère de l’éducation, des élus régionaux et locaux. Il convient aussi de former 251 associations et fédérations d’associations de parents d’élèves et plus de 5000 parents d’élèves pour une meilleure connaissance de l’exercice des rôles et responsabilités des associations des parents d’élèves. Avec l’élaboration et la publication des comptes nationaux et locaux de l’éducation.
Selon Djim Momar Cissé, le responsable de la communication de la fédération nationale des parents d’élèves (Fenapes), « Gouvernance ne pouvait être plus bonne que lorsqu’elle appelle toutes les parties prenantes (Ong, parents d’élèves, Etat) à regarder ensemble dans une dynamique partenariale à l’intérieur et l’extérieur du système éducatif. »
L’Usaid à travers son programme d’appui à l’enseignement moyen (Paem) contribue depuis 2003 à l’amélioration de l’enseignement moyen au Sénégal avec la construction de collèges, le recyclage et la formation de professeurs, etc.
Sud Quotidien