Le Fonds des nations unies pour la population (Unfpa) en partenariat avec le Grand Duché de Luxembourg, a offert un lot de matériels et d’équipements médicaux au gouvernement du Sénégal. Ces matériels, destinés aux districts sanitaires de Matam et de Saint-Louis, ont été réceptionnés par Abdoulaye Diop, ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances.
Quatre ambulances médicalisées, deux appareils d’échographie, soixante dix tables d’accouchement, cent quarante lits complets de maternités, autant en bassins de lits, quatre ordinateurs... Ce sont, entre autres, matériels et équipements médicaux réceptionnés hier à Dakar par le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances Abdoulaye Diop.
L’acquisition de ce matériel entre dans le cadre de la mise en œuvre du sixième programme de coopération du Fonds des nations unies pour la population (Unfpa) avec le gouvernement du Sénégal, en partenariat avec le Grand-duché de Luxembourg, pour l’amélioration de la santé et le bien être des populations particulièrement en matière de santé de la reproduction.
Cette dotation en matériels et équipements médicaux rejoint, selon le ministre d’Etat, la volonté du gouvernement du Sénégal de renforcer les moyens techniques d’intervention des unités de base afin que l’accès des populations à des soins de qualité soit une réalité quotidienne, notamment pour les habitants des districts sanitaires des régions de Saint-Louis et Matam bénéficiaires de ces matériels et équipements médicaux obtenus dans le cadre du sixième programme de coopération avec le Sénégal pour une période 2007-2011. Lequel met un accent particulier sur les stratégies visant à réduire la morbidité et la mortalité maternelle et néonatale. Son objectif, selon Mme Suzanne Maïga Konaté, représentante résidente de l’Unfpa, est de faire en sorte que chaque grossesse soit désirée, que chaque accouchement soit sans danger, que chaque individu soit protégé du Vih/Sida, mieux, que toutes les femmes et filles soient traitées avec dignité et respect.
Améliorer la qualité de vie
La représentante de l’Unfpa a rappelé, qu’au Sénégal, malgré les succès et résultats atteints ces dix dernières années, la situation de la santé maternelle et néonatale mérite plus d’attention. Selon elle, les données de l’Eds4 (Enquête démographique et de santé réalisée en 2005) révèlent un taux de 401 décès maternels pour 100000 naissances vivantes, 10,3% de prévalence contraceptive moderne, 39% de besoins non satisfaits pour l’espacement des naissances et un indice synthétique de fécondité de 5,3 enfants par femme au Sénégal. Conscient de ces enjeux, l’Unfpa œuvre depuis plusieurs années aux côtés du gouvernement du Sénégal pour améliorer la qualité de vie de ses populations et particulièrement dans le domaine de la santé de la reproduction.
Des propos confirmés par le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, qui a affirmé que la réduction de la mortalité maternelle et infantile est une question qui tient à cœur le président de la République, Me Abdoulaye Wade. Selon lui, « cette préoccupation érigée en priorité nationale, est bien prise en charge par le Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) qui fait de la promotion de la santé de la femme et de l’enfant un axe majeur d’intervention ». Il a magnifié l’option de décentraliser des activités de ce sixième programme qui a consacré l’essentiel des ressources aux régions de Tambacounda, Kolda, Saint-Louis, Thiès et Matam. Mme Suzanne Maïga Konaté a indiqué que l’Unfpa va continuer à appuyer les efforts du gouvernement du Sénégal dans la lutte contre la morbidité et la mortalité maternelle et néonatale. La formation des prestataires (médecins, sages-femmes et infirmiers) ainsi que la fourniture de produits de santé de la reproduction en feront aussi partie.
Le Soleil
Quatre ambulances médicalisées, deux appareils d’échographie, soixante dix tables d’accouchement, cent quarante lits complets de maternités, autant en bassins de lits, quatre ordinateurs... Ce sont, entre autres, matériels et équipements médicaux réceptionnés hier à Dakar par le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances Abdoulaye Diop.
L’acquisition de ce matériel entre dans le cadre de la mise en œuvre du sixième programme de coopération du Fonds des nations unies pour la population (Unfpa) avec le gouvernement du Sénégal, en partenariat avec le Grand-duché de Luxembourg, pour l’amélioration de la santé et le bien être des populations particulièrement en matière de santé de la reproduction.
Cette dotation en matériels et équipements médicaux rejoint, selon le ministre d’Etat, la volonté du gouvernement du Sénégal de renforcer les moyens techniques d’intervention des unités de base afin que l’accès des populations à des soins de qualité soit une réalité quotidienne, notamment pour les habitants des districts sanitaires des régions de Saint-Louis et Matam bénéficiaires de ces matériels et équipements médicaux obtenus dans le cadre du sixième programme de coopération avec le Sénégal pour une période 2007-2011. Lequel met un accent particulier sur les stratégies visant à réduire la morbidité et la mortalité maternelle et néonatale. Son objectif, selon Mme Suzanne Maïga Konaté, représentante résidente de l’Unfpa, est de faire en sorte que chaque grossesse soit désirée, que chaque accouchement soit sans danger, que chaque individu soit protégé du Vih/Sida, mieux, que toutes les femmes et filles soient traitées avec dignité et respect.
Améliorer la qualité de vie
La représentante de l’Unfpa a rappelé, qu’au Sénégal, malgré les succès et résultats atteints ces dix dernières années, la situation de la santé maternelle et néonatale mérite plus d’attention. Selon elle, les données de l’Eds4 (Enquête démographique et de santé réalisée en 2005) révèlent un taux de 401 décès maternels pour 100000 naissances vivantes, 10,3% de prévalence contraceptive moderne, 39% de besoins non satisfaits pour l’espacement des naissances et un indice synthétique de fécondité de 5,3 enfants par femme au Sénégal. Conscient de ces enjeux, l’Unfpa œuvre depuis plusieurs années aux côtés du gouvernement du Sénégal pour améliorer la qualité de vie de ses populations et particulièrement dans le domaine de la santé de la reproduction.
Des propos confirmés par le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop, qui a affirmé que la réduction de la mortalité maternelle et infantile est une question qui tient à cœur le président de la République, Me Abdoulaye Wade. Selon lui, « cette préoccupation érigée en priorité nationale, est bien prise en charge par le Document de stratégie de réduction de la pauvreté (Dsrp) qui fait de la promotion de la santé de la femme et de l’enfant un axe majeur d’intervention ». Il a magnifié l’option de décentraliser des activités de ce sixième programme qui a consacré l’essentiel des ressources aux régions de Tambacounda, Kolda, Saint-Louis, Thiès et Matam. Mme Suzanne Maïga Konaté a indiqué que l’Unfpa va continuer à appuyer les efforts du gouvernement du Sénégal dans la lutte contre la morbidité et la mortalité maternelle et néonatale. La formation des prestataires (médecins, sages-femmes et infirmiers) ainsi que la fourniture de produits de santé de la reproduction en feront aussi partie.
Le Soleil