La ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck, a pris connaissance lundi de la Carte O’, une plateforme numérique destinée aux agents de Orange Sénégal, en leur permettant de faire des échanges sécurisés et dématérialisés avec les professionnels de la santé.
‘’La Carte O’ permet de faciliter la vie des patients utilisant l’IPM (l’institution de prévoyance maladie de l’entreprise). Elle peut éviter les va-et-vient entre l’hôpital et la pharmacie, faciliter le travail aux cabinets médicaux, faciliter le paiement des factures pour moins de charges’’, a soutenu le Directeur général de Orange Business Service, Papa Demba Diallo.
Il s’exprimait lors de la visite effectuée dans les locaux de sa direction par la ministre de la Santé et de l’Action sociale, à qui elle présentait l’expérience de groupe de télécoms en matière de couverture maladie universelle.
Dans le dossier remis à la presse, il est noté que la Carte O’ va permettre de simplifier les processus de gestion, de limiter les cas d’abus ou de fraude aux assurances, d’éviter la sur-prescription, la surfacturation des actes médicaux et la substitution d’identité.
‘’Elle permet de façon générale de réduire les coûts de gestion dans le domaine médical et donc par effet balancier, l’augmentation des moyens alloués pour le soin’’, selon la même source. Cette solution a été mise en place il y a de cela quelques mois.
M. Diallo a annoncé l’objectif de couvrir en juin prochain l’ensemble du personnel du groupe, avec leurs familles. ‘’Nos perspectives avec ce projet est d’avoir 609 prestataires et cela dans tout le Sénégal, car la solution peut fonctionner dans toutes les localités du pays’’, a-t-il ajouté.
L’IPM SONATEL a été créée en 1993 et depuis, il y a eu 2000 adhérents et 8000 bénéficiaires. Elle vise en juin une participation de 609 professionnels de santé agréés. La phase-pilote de la Carte O’ s’est déroulée il y a quatre mois, avec 343 adhérents, 1200 bénéficiaires et 100 professionnels.
Pour le Directeur général d’Orange Business Service, ce projet est adopté au contexte rural. ‘’Nous prenons en compte la réalité du terrain’’, a-t-il dit, anticipant sur les remarques concernant l’extension du projet sur l’ensemble du territoire.
La directrice du développement, Diariétou Dieng, qui a présenté le projet à la ministre Awa Marie Coll Seck, a indiqué que cette idée était une opportunité pour son ministère d’introduire l’utilisation de l’Internet dans ses services.
Pour la ministre de la Santé, ce projet, qui permet aux ‘’Sonatelliens’’ d’aller vers les spécialistes de la médecine et les pharmacies, est une ‘’expérience très intéressante pour la SONATEL et un élément d’expérience qui va aider à faciliter la couverture maladie universelle’’.
Mme Seck a dit sa satisfaction de l’opération qui lui a été présentée et de la démonstration qui a suivie, malgré quelques difficultés concernant la connectivité, l’augmentation du coût téléphonique entre autres, que connaît la Carte O’.
La ministre a confié qu’elle repartait de cette visite satisfaite et confortée à l’idée que son ministère est disposé à utiliser cette solution pour permettre aux populations d’avoir accès à la santé sans avoir des contraintes d’argent.
‘’Partout où nous pouvons avoir des expériences qui vont nous permettre d’améliorer notre couverture maladie, nous irons vers là-bas. Il est important que nous ne nous attelions pas seulement à aller dans un sens’’, a-t-elle assuré.
SK/SAB
‘’La Carte O’ permet de faciliter la vie des patients utilisant l’IPM (l’institution de prévoyance maladie de l’entreprise). Elle peut éviter les va-et-vient entre l’hôpital et la pharmacie, faciliter le travail aux cabinets médicaux, faciliter le paiement des factures pour moins de charges’’, a soutenu le Directeur général de Orange Business Service, Papa Demba Diallo.
Il s’exprimait lors de la visite effectuée dans les locaux de sa direction par la ministre de la Santé et de l’Action sociale, à qui elle présentait l’expérience de groupe de télécoms en matière de couverture maladie universelle.
Dans le dossier remis à la presse, il est noté que la Carte O’ va permettre de simplifier les processus de gestion, de limiter les cas d’abus ou de fraude aux assurances, d’éviter la sur-prescription, la surfacturation des actes médicaux et la substitution d’identité.
‘’Elle permet de façon générale de réduire les coûts de gestion dans le domaine médical et donc par effet balancier, l’augmentation des moyens alloués pour le soin’’, selon la même source. Cette solution a été mise en place il y a de cela quelques mois.
M. Diallo a annoncé l’objectif de couvrir en juin prochain l’ensemble du personnel du groupe, avec leurs familles. ‘’Nos perspectives avec ce projet est d’avoir 609 prestataires et cela dans tout le Sénégal, car la solution peut fonctionner dans toutes les localités du pays’’, a-t-il ajouté.
L’IPM SONATEL a été créée en 1993 et depuis, il y a eu 2000 adhérents et 8000 bénéficiaires. Elle vise en juin une participation de 609 professionnels de santé agréés. La phase-pilote de la Carte O’ s’est déroulée il y a quatre mois, avec 343 adhérents, 1200 bénéficiaires et 100 professionnels.
Pour le Directeur général d’Orange Business Service, ce projet est adopté au contexte rural. ‘’Nous prenons en compte la réalité du terrain’’, a-t-il dit, anticipant sur les remarques concernant l’extension du projet sur l’ensemble du territoire.
La directrice du développement, Diariétou Dieng, qui a présenté le projet à la ministre Awa Marie Coll Seck, a indiqué que cette idée était une opportunité pour son ministère d’introduire l’utilisation de l’Internet dans ses services.
Pour la ministre de la Santé, ce projet, qui permet aux ‘’Sonatelliens’’ d’aller vers les spécialistes de la médecine et les pharmacies, est une ‘’expérience très intéressante pour la SONATEL et un élément d’expérience qui va aider à faciliter la couverture maladie universelle’’.
Mme Seck a dit sa satisfaction de l’opération qui lui a été présentée et de la démonstration qui a suivie, malgré quelques difficultés concernant la connectivité, l’augmentation du coût téléphonique entre autres, que connaît la Carte O’.
La ministre a confié qu’elle repartait de cette visite satisfaite et confortée à l’idée que son ministère est disposé à utiliser cette solution pour permettre aux populations d’avoir accès à la santé sans avoir des contraintes d’argent.
‘’Partout où nous pouvons avoir des expériences qui vont nous permettre d’améliorer notre couverture maladie, nous irons vers là-bas. Il est important que nous ne nous attelions pas seulement à aller dans un sens’’, a-t-elle assuré.
SK/SAB