L’entretien des équipements hospitaliers pose un sérieux problème comme en attestent les discussions lors des travaux de l’atelier de validation de la politique nationale de maintenance.
S’exprimant sur cette problématique devant les partenaires de développement Mme Safiétou Thiam ministre de la santé et de la prévention s’est longuement appesantie sur les mutations technologiques qui ont engendré dans ce domaine des équipements et appareillages de pointe indispensables aux services de qualité. C’est le cas par exemple de l’hôpital Principal de Dakar avec l’installation d’une imagerie médicale (avec scanner et radiologie télécommandée) d’un coût global de 5 milliards Fcfa. Mais pour satisfaire cette exigence, a-t-elle fait remarquer, une politique cohérente et efficiente de maintenance reste nécessaire.
C’est d’ailleurs, a -t-elle poursuivi, ce qui a motivé la mise en place par l’Etat des sections techniques de maintenance dans certains districts et régions ainsi que la création de la Direction des équipements médicaux en 2007 au ministère de la Santé et de la Prévention. C’est dans ce sens que l’atelier a été chargé de discuter du document de base issu d’un long processus de concertation entre experts et dont l’application devra permettre d’améliorer de façon qualitative la gestion de la maintenance des infrastructures.
Quant au représentant résident de la Banque Africaine de Développement (Bad) M. Mohamed H‘Midouche, il est revenu sur la coopération entre le gouvernement du Sénégal et son institution dans le secteur de la santé, qui a conduit la Bad à apporter sa contribution à l’exécution des projets qui concernent les régions de Tambacounda, Fatick et Kaolack pour un montant global estimé à 24 milliards de Cfa et qui s’étend entre 2000 et 2010. Une telle contribution a permis aujourd’hui, selon lui, aux districts sanitaires de ces régions ciblées de disposer de services techniques de maintenance avec la possibilité de participer à la formation des agents et à l’appui logistique.
Le réseau sanitaire du Sénégal est composé aujourd’hui de 22 hôpitaux, 78 centres de santé, 971 postes de santé, qui représentent environ 7000 lits d’hospitalisation.
Sud Quotidien
S’exprimant sur cette problématique devant les partenaires de développement Mme Safiétou Thiam ministre de la santé et de la prévention s’est longuement appesantie sur les mutations technologiques qui ont engendré dans ce domaine des équipements et appareillages de pointe indispensables aux services de qualité. C’est le cas par exemple de l’hôpital Principal de Dakar avec l’installation d’une imagerie médicale (avec scanner et radiologie télécommandée) d’un coût global de 5 milliards Fcfa. Mais pour satisfaire cette exigence, a-t-elle fait remarquer, une politique cohérente et efficiente de maintenance reste nécessaire.
C’est d’ailleurs, a -t-elle poursuivi, ce qui a motivé la mise en place par l’Etat des sections techniques de maintenance dans certains districts et régions ainsi que la création de la Direction des équipements médicaux en 2007 au ministère de la Santé et de la Prévention. C’est dans ce sens que l’atelier a été chargé de discuter du document de base issu d’un long processus de concertation entre experts et dont l’application devra permettre d’améliorer de façon qualitative la gestion de la maintenance des infrastructures.
Quant au représentant résident de la Banque Africaine de Développement (Bad) M. Mohamed H‘Midouche, il est revenu sur la coopération entre le gouvernement du Sénégal et son institution dans le secteur de la santé, qui a conduit la Bad à apporter sa contribution à l’exécution des projets qui concernent les régions de Tambacounda, Fatick et Kaolack pour un montant global estimé à 24 milliards de Cfa et qui s’étend entre 2000 et 2010. Une telle contribution a permis aujourd’hui, selon lui, aux districts sanitaires de ces régions ciblées de disposer de services techniques de maintenance avec la possibilité de participer à la formation des agents et à l’appui logistique.
Le réseau sanitaire du Sénégal est composé aujourd’hui de 22 hôpitaux, 78 centres de santé, 971 postes de santé, qui représentent environ 7000 lits d’hospitalisation.
Sud Quotidien