Fatick, 14 nov (APS) - Le docteur Ibra Ndoye, secrétaire exécutif du Conseil national de lutte contre le Sida (CNLS), a signalé mercredi que parmi les districts sanitaires de la région de Fatick (Centre), celui de la capitale régionale a le taux de prévalence du VIH/Sida le plus élevé, de l'ordre de 0,5%.
La région de Fatick a un taux de prévalence moyen du VIH/Sida de 0,3%, mais seul le district de Fatick, qui couvre la capitale régionale, a atteint 0,5%, selon le docteur Ndoye.
"De tous les districts sanitaires de la région, c'est celui de Fatick qui pose le plus de problèmes", en termes de prévalence du VIH/Sida, a-t-il dit en marge d’une réunion d'évaluation des activités anti-VIH.
"Sur les sept districts que compte la région, cinq ont présenté des taux de prévalence très faibles, qui tournent autour de 0,3%", a-t-il précisé.
Il estime qu'il est "important que des efforts soient faits pour baisser la prévalence, surtout chez les jeunes filles, mais aussi chez les femmes, dans le district de Fatick". "Elle est plus élevée chez elles que chez les hommes."
"Si nous faisons des efforts supplémentaires dans la capitale régionale, on pourrait arriver à un taux de prévalence très bas", espère-t-il.
Le niveau de prévalence du VIH/Sida dans la ville de Fatick n'est pas une nouveauté, a-t-il signalé, précisant que la plupart des capitales régionales ont des taux de prévalence plus élevés que ceux des autres localités.
"Le même phénomène, on l’a constaté à Kaolack, à Kaffrine, et dans d'autres chefs-lieux de région", a-t-il dit.
AB/ESF
La région de Fatick a un taux de prévalence moyen du VIH/Sida de 0,3%, mais seul le district de Fatick, qui couvre la capitale régionale, a atteint 0,5%, selon le docteur Ndoye.
"De tous les districts sanitaires de la région, c'est celui de Fatick qui pose le plus de problèmes", en termes de prévalence du VIH/Sida, a-t-il dit en marge d’une réunion d'évaluation des activités anti-VIH.
"Sur les sept districts que compte la région, cinq ont présenté des taux de prévalence très faibles, qui tournent autour de 0,3%", a-t-il précisé.
Il estime qu'il est "important que des efforts soient faits pour baisser la prévalence, surtout chez les jeunes filles, mais aussi chez les femmes, dans le district de Fatick". "Elle est plus élevée chez elles que chez les hommes."
"Si nous faisons des efforts supplémentaires dans la capitale régionale, on pourrait arriver à un taux de prévalence très bas", espère-t-il.
Le niveau de prévalence du VIH/Sida dans la ville de Fatick n'est pas une nouveauté, a-t-il signalé, précisant que la plupart des capitales régionales ont des taux de prévalence plus élevés que ceux des autres localités.
"Le même phénomène, on l’a constaté à Kaolack, à Kaffrine, et dans d'autres chefs-lieux de région", a-t-il dit.
AB/ESF