L’Ong One World Uk a, dans le cadre de son programme « Apprendre à vivre au Sénégal », signé avant-hier, une convention de partenariat avec le ministère de l’Education Nationale. L’objectif étant d’apporter des réponses aux besoins des jeunes en termes d’informations sur la santé de la reproduction en milieu scolaire.
La prise en charge de la santé de la reproduction en milieu scolaire nécessite une approche multisectorielle et multidimensionnelle. C’est ainsi que l’Ong One world, à travers son programme : « Apprendre à vivre au Sénégal », a signé avant-hier, une convention de partenariat avec le ministre de l’Education. Selon le chargé du projet de l’Ong, Kevin Adomayakpor, ce partenariat basé sur le respect, facilite l’accès à l’information des adolescents en milieu scolaire à travers l’utilisation des NTIC et des média sur la santé de la reproduction. « L’éducation, c’est la porte d’entrée à tout. Nous nous réjouissons de cette convention de partenariat entre le ministère de l’Education et notre organisation », a-t-il déclaré.
Initié au Nigéria depuis 2007, le programme Learning About Living (Lal) ou « Apprendre à vivre au Sénégal » permet aux jeunes d’envoyer, de façon anonyme, des Sms à des conseillers spécialisés qui répondent en moins de 24 heures. « C’est avec les moyens de communication modernes tels que le téléphone portable, l’ordinateur, l’internet et les média que ces jeunes adolescents reçoivent des informations sur la santé de la reproduction et sur le vih/sida », a-t-il indiqué. L’Ong ambitionne d’étendre son champ d’action aux régions de Ziguinchor et de Kolda. Elle prévoit de former 5000 élèves dans 10 collèges et lycées, de créer 3 espaces éducatifs non formels dans 2 régions (Dakar et Ziguinchor) et de former près de 100 enseignants et 30 pairs éducateurs à l’utilisation de la plate-forme e-Learning.
Le secrétaire du ministère de l’Education, Mafakha Touré, s’est félicité de cette convention. « Une étude a révélé que les élèves ont des besoins de connaissances pour la prise en charge des problèmes de santé de la reproduction. Si aujourd’hui votre organisation choisit le Sénégal comme premier pays francophone pour développer de nouvelles stratégies par l’utilisation des Tic pour lutter contre ces violences qui constituent un motif d’abandon des cours pour certains élèves, nous ne pouvons que nous en réjouir », a-t-il souligné. Il reste convaincu que l’école demeure l’un des espaces privilégiés où le combat doit prendre racine afin de forger les consciences des futurs responsables de la nation.
Tata SANE
Le Soleil
La prise en charge de la santé de la reproduction en milieu scolaire nécessite une approche multisectorielle et multidimensionnelle. C’est ainsi que l’Ong One world, à travers son programme : « Apprendre à vivre au Sénégal », a signé avant-hier, une convention de partenariat avec le ministre de l’Education. Selon le chargé du projet de l’Ong, Kevin Adomayakpor, ce partenariat basé sur le respect, facilite l’accès à l’information des adolescents en milieu scolaire à travers l’utilisation des NTIC et des média sur la santé de la reproduction. « L’éducation, c’est la porte d’entrée à tout. Nous nous réjouissons de cette convention de partenariat entre le ministère de l’Education et notre organisation », a-t-il déclaré.
Initié au Nigéria depuis 2007, le programme Learning About Living (Lal) ou « Apprendre à vivre au Sénégal » permet aux jeunes d’envoyer, de façon anonyme, des Sms à des conseillers spécialisés qui répondent en moins de 24 heures. « C’est avec les moyens de communication modernes tels que le téléphone portable, l’ordinateur, l’internet et les média que ces jeunes adolescents reçoivent des informations sur la santé de la reproduction et sur le vih/sida », a-t-il indiqué. L’Ong ambitionne d’étendre son champ d’action aux régions de Ziguinchor et de Kolda. Elle prévoit de former 5000 élèves dans 10 collèges et lycées, de créer 3 espaces éducatifs non formels dans 2 régions (Dakar et Ziguinchor) et de former près de 100 enseignants et 30 pairs éducateurs à l’utilisation de la plate-forme e-Learning.
Le secrétaire du ministère de l’Education, Mafakha Touré, s’est félicité de cette convention. « Une étude a révélé que les élèves ont des besoins de connaissances pour la prise en charge des problèmes de santé de la reproduction. Si aujourd’hui votre organisation choisit le Sénégal comme premier pays francophone pour développer de nouvelles stratégies par l’utilisation des Tic pour lutter contre ces violences qui constituent un motif d’abandon des cours pour certains élèves, nous ne pouvons que nous en réjouir », a-t-il souligné. Il reste convaincu que l’école demeure l’un des espaces privilégiés où le combat doit prendre racine afin de forger les consciences des futurs responsables de la nation.
Tata SANE
Le Soleil