Mbour, 13 jan (APS) – La mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation peut être un bénéfice pour l’établissement public de santé de niveau 1 (EPS 1) de Mbour (ouest) qui ne bénéficie ni d’une subvention de la commune de Mbour ni des autres collectivités locales du département, a indiqué son directeur Mor Diaw, dans un entretien avec l’APS.
‘’Dans le cadre de la décentralisation en vigueur, l’EPS 1 de Mbour dépend du Conseil régional de Thiès, qui n’a pas de budget mais un fonds de dotation. Ce qui fait qu’on avait une maigre subvention de 15 millions de francs CFA chaque année pour appuyer l’hôpital de Mbour’’, a expliqué le docteur Diaw.
Avec la mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation, cet hôpital va dépendre du département de Mbour qui sera érigé en collectivité locale avec un budget. Mor Diaw espère ainsi que la subvention va être ‘’grandement améliorée'' pour servir les populations.
‘’J’attends avec impatience la mise en œuvre de cette réforme au niveau de Mbour’’, a lancé le directeur de l'hôpital, soulignant l’existence d’une seule ambulance pour faire toutes les évacuations.
‘’Nous sommes en train de travailler dans le cadre d’une interconnexion pour mutualiser les moyens logistiques médicaux du département de Mbour. Parce que la plupart de nos districts sanitaires ont des ambulances mais elles ne sont pas médicalisées. Ce sont plutôt des véhicules de liaison’’, a-t-il signalé.
D’après lui, l'hôpital de Mbour et le service d’assistance médicale d’urgence (SAMU) sont en train de travailler et le SAMU national qui a promis de mettre à la disposition de l’hôpital de Mbour une médicalisée qui sera cogérée par les deux parties.
Par ailleurs, dans le cadre de la coopération décentralisée, Mor Diaw est en train de discuter avec des partenaires français qui vont, à partir du mois de février prochain, mettre une ambulance médicalisée à la disposition de l'hôpital.
‘’Nous espérons, avec l’appui de l’administration, mettre en place, cette année, une association des usagers de l’hôpital de Mbour, une structure qui va écouter les plaintes, les orientations, les avis et conseils des populations par rapport à cette structure que nous gérons. Il faut qu’on puisse évaluer régulièrement le niveau de satisfaction des populations pour qui nous travaillons’’, a insisté le docteur Diaw.
ADE/AD
‘’Dans le cadre de la décentralisation en vigueur, l’EPS 1 de Mbour dépend du Conseil régional de Thiès, qui n’a pas de budget mais un fonds de dotation. Ce qui fait qu’on avait une maigre subvention de 15 millions de francs CFA chaque année pour appuyer l’hôpital de Mbour’’, a expliqué le docteur Diaw.
Avec la mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation, cet hôpital va dépendre du département de Mbour qui sera érigé en collectivité locale avec un budget. Mor Diaw espère ainsi que la subvention va être ‘’grandement améliorée'' pour servir les populations.
‘’J’attends avec impatience la mise en œuvre de cette réforme au niveau de Mbour’’, a lancé le directeur de l'hôpital, soulignant l’existence d’une seule ambulance pour faire toutes les évacuations.
‘’Nous sommes en train de travailler dans le cadre d’une interconnexion pour mutualiser les moyens logistiques médicaux du département de Mbour. Parce que la plupart de nos districts sanitaires ont des ambulances mais elles ne sont pas médicalisées. Ce sont plutôt des véhicules de liaison’’, a-t-il signalé.
D’après lui, l'hôpital de Mbour et le service d’assistance médicale d’urgence (SAMU) sont en train de travailler et le SAMU national qui a promis de mettre à la disposition de l’hôpital de Mbour une médicalisée qui sera cogérée par les deux parties.
Par ailleurs, dans le cadre de la coopération décentralisée, Mor Diaw est en train de discuter avec des partenaires français qui vont, à partir du mois de février prochain, mettre une ambulance médicalisée à la disposition de l'hôpital.
‘’Nous espérons, avec l’appui de l’administration, mettre en place, cette année, une association des usagers de l’hôpital de Mbour, une structure qui va écouter les plaintes, les orientations, les avis et conseils des populations par rapport à cette structure que nous gérons. Il faut qu’on puisse évaluer régulièrement le niveau de satisfaction des populations pour qui nous travaillons’’, a insisté le docteur Diaw.
ADE/AD