NETTALI.NET - Des prêts pour venir en aide à 129 familles démunies pour le financement d’activités génératrices de revenus. Voilà l’opération dans laquelle se lance ce mardi 19 juillet la ville de Dakar grâce à son fonds dénommé "Projet d’appui aux familles en situation d’extrême pauvreté" (Pafsep)
Dans le cadre du Projet d’appui aux familles en situation d’extrême pauvreté (Pafsep), la Ville de Dakar remet ce mardi 19 juillet, des chèques allant de 50 000 FCFA à 200 000 FCFA à 129 familles démunies pour le financement d’activités génératrices de revenus. Le montant total des fonds alloués est de 13 millions de FCFA. Un financement remboursable sur 12 mois, à un taux de 1%, avec un différé de deux mois.
Pour être éligibles à ce financement, « les bénéficiaires doivent habiter le périmètre de la Ville de Dakar, être indigents, présenter un projet viable et être encadrés par la Ville de Dakar, avoir une qualification ou une aptitude à exercer une activité génératrice de revenus, accepter d’appartenir à un groupe solidaire et, enfin, avoir adressé une demande au Maire de la Ville de Dakar ».
Une action de lutte contre la pauvreté, en même temps qu’elle une manière de suppléer les banques et les mutuelles qui accordent des crédits à des taux souvent exorbitants. Des catégories de populations qui pour la plupart sont exclus des circuits de prêts d’argent.
Mouhamed Diaw
Dans le cadre du Projet d’appui aux familles en situation d’extrême pauvreté (Pafsep), la Ville de Dakar remet ce mardi 19 juillet, des chèques allant de 50 000 FCFA à 200 000 FCFA à 129 familles démunies pour le financement d’activités génératrices de revenus. Le montant total des fonds alloués est de 13 millions de FCFA. Un financement remboursable sur 12 mois, à un taux de 1%, avec un différé de deux mois.
Pour être éligibles à ce financement, « les bénéficiaires doivent habiter le périmètre de la Ville de Dakar, être indigents, présenter un projet viable et être encadrés par la Ville de Dakar, avoir une qualification ou une aptitude à exercer une activité génératrice de revenus, accepter d’appartenir à un groupe solidaire et, enfin, avoir adressé une demande au Maire de la Ville de Dakar ».
Une action de lutte contre la pauvreté, en même temps qu’elle une manière de suppléer les banques et les mutuelles qui accordent des crédits à des taux souvent exorbitants. Des catégories de populations qui pour la plupart sont exclus des circuits de prêts d’argent.
Mouhamed Diaw