Dans sa politique de bouter le paludisme au Sénégal, le Pnlp, en collaboration avec ses partenaires, a formé en deux sessions 51 médecins chefs et adjoints de district sur les nouvelles stratégies de lutte contre le paludisme.
Le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) a formé, en deux sessions, 51 médecins chefs et adjoints de district. La deuxième session, qui a démarré le 16 mars à l’Institut de santé et de développement de Mbour (Ised), a pris fin le 4 avril dernier. La cérémonie de clôture de cette session dénommée « Cours national sur le paludisme et la planification de lutte antipaludique », qui a vu la participation de 26 médecins, a été présidée par le Conseiller technique du ministère de la Santé et de la Prévention, le Dr Hassane Yéradou.
Le coordinateur du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), le Dr Papa Moussa Thior, a indiqué que cette formation entre dans le cadre du maintien du taux de morbidité et de mortalité du paludisme au Sénégal. Un taux qui baisse de plus en plus grâce aux stratégies de lutte mises en place. Il s’agit, entre autres stratégies, de la distribution des moustiquaires imprégnées, la disponibilité des médicaments (Act) à un coût bas, des tests de diagnostic rapides. Ce taux a atteint en 2008, 5,6% selon le Dr Thior. Et ce dernier d’ajouter : « si nous continuons de faire des efforts, nous allons pouvoir non seulement maintenir ce taux, mais contrôler ce nouveau type de paludisme ». A son avis, pour traquer le paludisme, il faut un nouveau type de médecins, de manageurs afin de maintenir cette baisse de mortalité et morbidité. « C’est pour cette raison que nous nous sommes engagés à former nos médecins en renforçant leurs connaissances en matière du traitement du paludisme », a souligné le coordinateur du Pnlp.
La directrice de l’Ised, le Pr Anta Tal Dia, quant à elle, a invité les médecins formés à être des leaders et de manageurs dans la lutte contre le paludisme au nouveau de leurs différents districts. Les médecins bénéficiaires de ce cours se sont félicité de la qualité de la formation car les formateurs ont été à la hauteur de leurs attentes.
Eugène KALY
Le Soleil
Le Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp) a formé, en deux sessions, 51 médecins chefs et adjoints de district. La deuxième session, qui a démarré le 16 mars à l’Institut de santé et de développement de Mbour (Ised), a pris fin le 4 avril dernier. La cérémonie de clôture de cette session dénommée « Cours national sur le paludisme et la planification de lutte antipaludique », qui a vu la participation de 26 médecins, a été présidée par le Conseiller technique du ministère de la Santé et de la Prévention, le Dr Hassane Yéradou.
Le coordinateur du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), le Dr Papa Moussa Thior, a indiqué que cette formation entre dans le cadre du maintien du taux de morbidité et de mortalité du paludisme au Sénégal. Un taux qui baisse de plus en plus grâce aux stratégies de lutte mises en place. Il s’agit, entre autres stratégies, de la distribution des moustiquaires imprégnées, la disponibilité des médicaments (Act) à un coût bas, des tests de diagnostic rapides. Ce taux a atteint en 2008, 5,6% selon le Dr Thior. Et ce dernier d’ajouter : « si nous continuons de faire des efforts, nous allons pouvoir non seulement maintenir ce taux, mais contrôler ce nouveau type de paludisme ». A son avis, pour traquer le paludisme, il faut un nouveau type de médecins, de manageurs afin de maintenir cette baisse de mortalité et morbidité. « C’est pour cette raison que nous nous sommes engagés à former nos médecins en renforçant leurs connaissances en matière du traitement du paludisme », a souligné le coordinateur du Pnlp.
La directrice de l’Ised, le Pr Anta Tal Dia, quant à elle, a invité les médecins formés à être des leaders et de manageurs dans la lutte contre le paludisme au nouveau de leurs différents districts. Les médecins bénéficiaires de ce cours se sont félicité de la qualité de la formation car les formateurs ont été à la hauteur de leurs attentes.
Eugène KALY
Le Soleil