Au niveau de chacune de ces structures, une présentation détaillée des activités menées, y a été faite. Ce qui a permis de revenir sur la stratégie du ministère de la santé en matière de santé de la reproduction particulièrement chez les adolescents .
A l’occasion, le docteur Adama Ndoye a expliqué les raisons profondes qui expliquent l’installation d’un kiosque de santé à l’intérieur de la gare routière de Mbour. A l’en croire, le taux de prévalence du Vih/Sida est à 0,7 % au niveau national, mais relativement élevé chez certains groupes vulnérables comme les routiers. La politique d’implantation des kiosques de santé entre dans la stratégie de lutte contre le Vih/sida.
Selon l’assistante qui officie au niveau du kiosque, des séances de sensibilisation sont menées en relation avec les services du district sanitaire de Mbour. Elle reçoit une centaine de visiteurs chaque mois. Des dizaines de personnes y ont déjà organisé des tests pour connaître leur état de sérologie. Le kiosque s’occupe aussi de soins d’urgences des usagers et passagers de la gare routière. Un des animateurs a, à l’occasion, émis une doléance relative à l’augmentation de la subvention allouée par L’Unfpa à l’assistante. Elle assure la distribution gratuite de condom féminin et masculin. En plus de la prévention et de la lutte contre le Vih/Sida, des efforts sont faits en direction du paludisme avec la vente de médicaments de première nécessité et de moustiquaires imprégnées, à 1000 francs la pièce.
La délégation de parlementaires espagnols a eu droit à des explications du professeur Papa Ndiaye de l’Ised, un spécialiste très versé dans les questions de gynécologie et de santé publique. Il a expliqué le rôle important de l’Institut santé et développement de Mbour qui est le lieu par excellence de formation des médecins chefs de district. Une fois recruté, ils sont placés au niveau de l’Ised où ils apprennent la gestion et l’administration des structures sanitaires. L’expérience sénégalaise pour lui, intéresse des pays de la sous région ouest africaine.
Mbacké Diouf, le responsable du Centre conseil pour adolescents de Mbour a fait le point sur l’objectif de la structure qu’il dirige. La promotion de la santé de la reproduction des jeunes et des adolescents de 10 à 25 ans vise la modification des attitudes et comportements pour une vie adulte responsable. Les jeunes qui fréquentent le Cca sont formés à des tâches d’acteurs relais dans le cadre des activités de sensibilisation . Des jeunes interrogés sont très intéressés par la diversité des activités menées par le Cca comme les causeries, les conférences, les podiums, les entretiens et séances de dépistage au Vih/sida.
Sud Quotidien
A l’occasion, le docteur Adama Ndoye a expliqué les raisons profondes qui expliquent l’installation d’un kiosque de santé à l’intérieur de la gare routière de Mbour. A l’en croire, le taux de prévalence du Vih/Sida est à 0,7 % au niveau national, mais relativement élevé chez certains groupes vulnérables comme les routiers. La politique d’implantation des kiosques de santé entre dans la stratégie de lutte contre le Vih/sida.
Selon l’assistante qui officie au niveau du kiosque, des séances de sensibilisation sont menées en relation avec les services du district sanitaire de Mbour. Elle reçoit une centaine de visiteurs chaque mois. Des dizaines de personnes y ont déjà organisé des tests pour connaître leur état de sérologie. Le kiosque s’occupe aussi de soins d’urgences des usagers et passagers de la gare routière. Un des animateurs a, à l’occasion, émis une doléance relative à l’augmentation de la subvention allouée par L’Unfpa à l’assistante. Elle assure la distribution gratuite de condom féminin et masculin. En plus de la prévention et de la lutte contre le Vih/Sida, des efforts sont faits en direction du paludisme avec la vente de médicaments de première nécessité et de moustiquaires imprégnées, à 1000 francs la pièce.
La délégation de parlementaires espagnols a eu droit à des explications du professeur Papa Ndiaye de l’Ised, un spécialiste très versé dans les questions de gynécologie et de santé publique. Il a expliqué le rôle important de l’Institut santé et développement de Mbour qui est le lieu par excellence de formation des médecins chefs de district. Une fois recruté, ils sont placés au niveau de l’Ised où ils apprennent la gestion et l’administration des structures sanitaires. L’expérience sénégalaise pour lui, intéresse des pays de la sous région ouest africaine.
Mbacké Diouf, le responsable du Centre conseil pour adolescents de Mbour a fait le point sur l’objectif de la structure qu’il dirige. La promotion de la santé de la reproduction des jeunes et des adolescents de 10 à 25 ans vise la modification des attitudes et comportements pour une vie adulte responsable. Les jeunes qui fréquentent le Cca sont formés à des tâches d’acteurs relais dans le cadre des activités de sensibilisation . Des jeunes interrogés sont très intéressés par la diversité des activités menées par le Cca comme les causeries, les conférences, les podiums, les entretiens et séances de dépistage au Vih/sida.
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