Dakar, 21 déc (APS) – La Fédération internationale des ligues des droits de l'homme (FIDH) et l’Association malienne des droits de l'homme (AMDH) s'inquiètent du ''manque d'avancée dans le processus de transition politique'' au Mali et exhortent les autorités de transition à créer les conditions d’''un dialogue politique véritablement inclusif''.
''Nos organisations s'inquiètent du manque d'avancée dans le processus de transition politique, comme l'a récemment illustré la démission forcée du Premier ministre [Cheick Modibo] Diarra'', remplacé depuis le 12 décembre par Django Sissoko, rapporte un communiqué de la FIDH et de l’AMDH.
''Le dialogue politique dans sa forme actuelle demeure également entaché par une sous-représentation des différents partis politiques et des organisations de la société civile'', lit-on dans le communiqué.
Au Mali, pays dont le Nord est entre les mains de groupes rebelles islamistes depuis plusieurs mois, ''le dialogue politique, dans sa forme actuelle, demeure également entaché par une sous-représentation des différents partis politiques et des organisations de la société civile'', relèvent ces deux organisations.
Elles appellent les autorités de transition du Mali à ''mettre en place toutes les conditions nécessaires pour le développement d'un dialogue politique véritablement inclusif, et à préparer la tenue d'élections présidentielle et législatives, afin d'assurer la crédibilité et la représentativité des institutions du pays''.
L’armée malienne ne parait pas en mesure de reconquérir le Nord du pays maintenant aux mains de groupes islamistes, après qu’elle a écarté le président Amadou Toumani Touré du pouvoir en mars dernier.
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union africaine (UA) et les Nations unies préparent, avec le gouvernement de transition de Bamako, une force armée pour libérer le Nord du Mali des groupes rebelles.
ESF/ASG
''Nos organisations s'inquiètent du manque d'avancée dans le processus de transition politique, comme l'a récemment illustré la démission forcée du Premier ministre [Cheick Modibo] Diarra'', remplacé depuis le 12 décembre par Django Sissoko, rapporte un communiqué de la FIDH et de l’AMDH.
''Le dialogue politique dans sa forme actuelle demeure également entaché par une sous-représentation des différents partis politiques et des organisations de la société civile'', lit-on dans le communiqué.
Au Mali, pays dont le Nord est entre les mains de groupes rebelles islamistes depuis plusieurs mois, ''le dialogue politique, dans sa forme actuelle, demeure également entaché par une sous-représentation des différents partis politiques et des organisations de la société civile'', relèvent ces deux organisations.
Elles appellent les autorités de transition du Mali à ''mettre en place toutes les conditions nécessaires pour le développement d'un dialogue politique véritablement inclusif, et à préparer la tenue d'élections présidentielle et législatives, afin d'assurer la crédibilité et la représentativité des institutions du pays''.
L’armée malienne ne parait pas en mesure de reconquérir le Nord du pays maintenant aux mains de groupes islamistes, après qu’elle a écarté le président Amadou Toumani Touré du pouvoir en mars dernier.
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’Union africaine (UA) et les Nations unies préparent, avec le gouvernement de transition de Bamako, une force armée pour libérer le Nord du Mali des groupes rebelles.
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